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13 mars 2017

La routine soin bien zen

Je ne vais pas ENCORE te faire un dessin de la misère d’une peau sous traitement dermato, mais, histoire d’établir un référent pour ceux qui n’ont jamais connu ça, c’est comme de passer son temps à se faire picorer le minois par des moineaux en se prenant un vent frais de plein fouet.

Ni vu ni connu.

Depuis quelques mois, désert cutané oblige, je tourne avec des produits qui sont censés remettre sur pied les bouilles les plus sèches et ridées, à 29 ans, je pourrais presque mal le prendre.

Oui, bon, entre nous, je l’ai mal pris. Même si c’était le bon réflexe et que je ne regrette absolument rien.

 

First of all, petit topo dermato

J’ai été parader chez Dr. Couenne il y a une ou deux semaines, en lui montrant que « là et là, c’est impressionnant comme changement, mais que sur le menton, j’ai toujours deux boules de kystes qui s’amusent comme deux compères de blagounettes salaces ». Pas un pour dégager tant que l’autre campe sur ses positions, ça s’accroche à la couenne comme une moule à son rocher. Merde.

Elle m’a dit de continuer l’antibiotique pendant deux mois supplémentaires, « pour faire fondre ce qu’il reste, on va les avoir à force », parce que s’il n’y a pas de réaction du comité Peau, va falloir inciser dans le gras et ôter les deux rigolos.

Et on ne veut pas en arriver là, n’est-ce pas.

 

De loin, je suis assez contente, parce que j’ai bien moins à me plaindre – goumiche qui la boucle est une goumiche heureuse. Mais de près, j’ai encore des cicatrices en dormance là où Gros 1 et Gros 2 sont tapis. Ce qui, parfois, me donne encore l’impression d’avoir le menton rouge d’acné alors que ce ne sont que deux ridicules taches qui ne veulent pas dégager.

En ajoutant par-dessus le marché que j’ai l’estomac en compote à cause des cachetons, je suis mi-figue mi-raisin, alors que, très objectivement, c’est le jour et la nuit par rapport à début janvier.

 

La routine de soin pour pores en manque de tout

Je pense que n’importe quelle personne qui prend des antibios pour son acné sera d’accord avec moi : la couenne devient lunatique au possible, on dirait un gosse hyperactif incapable de se décider entre un tour de balançoire ou fabriquer une compote de tourbe.

Souvent, l’hystérie ressemble au désert puis vire gras, honnêtement, j’ai beau avoir de la connaissance couennale sous la sandale, ça ne m’a pas menée bien loin dans cette bataille-ci; j’ai bien mis deux semaines avant d’arriver à un combo valable.

En gros, et comme chaque fois que je nage dans la semoule, j’ai repris mes basiques et me suis imposé un classicisme cosmétique. 

 

Le nettoyant / démaquillant

Pour le démaquillage, je suis toujours bloquée sur le baume, raclant les bords du De Mamiel (j’ai du lui dire adieu il y a peu)(snif snurf), ou vidant celui de chez Liz Earle.

J’avais énormément besoin de douceur, donc je préférais rester sur des valeurs sûres et grasses en amont.

 

En revanche, j’ai du dire adieu au no cleanse du matin, à grands renforts de « non non non » qui n’ont rien changé.

Vu que je mets un gel antibio sur certaines zones avant de dormir, je suis obligée de passer ma bouille sous le robinet le lendemain – j’ai donc plutôt choisi l’option safe qui avait déjà très bien fonctionné sur moi : la crème lavante cleanance hydra d’Avène.

Ce produit en particulier a plus une connotation nostalgique qu’autre chose, il a toujours fait partie de mes routines anti-pustules.

Au lieu de l’appliquer sur peau mouillée, j’en masse une petit noisette un peu partout sur peau sèche, puis je rajoute de l’eau au fur et à mesure. J’ai l’impression que le résultat est meilleur et plus hydratant (même si pour un wash-wash pour face à problèmes, il est déjà très doux). De temps en temps, je ressors aussi ma Foreo Luna, pour défriper la toile et ajouter de la douceur au nettoyage; j’avais complètement oublié le côté agréable de ce genre d’engin, mais il est plus que bienvenu !

 

Le sérum

Mêlé à la crème, de toute façon, pour avoir une meilleure pénétration et ne pas me retrouver avec un épiderme huileux (sinon on se tape un minois qui ne veut rien boire juste parce que l’hydratant n’arrive pas à traverser la barrière grassouillette)(et crois-moi, tu veux du soulagement i-mmé-diat).

Le massage a été une étape ultra importante pour m’éviter la bouille d’un crocodile en fin de vie, j’assouplissais les zones les plus déshydratées en pétrissant ma couenne comme un boulanger travaille sa baguette (de pain); qui dit meilleure texture dit maquillage qui ressemble à quelque chose dès le matin – sinon impossible de mettre un blush poudre sans ressembler à Mémé La Folle, c’aurait fait des paquets monstrueux.

En sérum, j’ai d’abord siphonné le Repair & Renew d’Angela langford, synonyme de bain de jouvence pétillant, il a très probablement sauvé mes journées et mon humeur en adoucissant les plaques des joues et en réduisant l’inconfort. Mais depuis peu, je suis passée à la fameuse huile d’églantier de Trilogy (best seller, toussa), en espérant qu’elle agisse un peu plus précisément sur mes taches résiduelles – ça fera ENCORE l’objet d’un topic grassouillette, tiens, tu l’avais pas vue venir, celle-là.

La crème

De manière générale, si vous commencez un traitement trash de la nouille, je vous conseille de ne PAS vous diriger vers le 100% naturel bourré d’huiles essentielles si vous n’y comprenez rien.

Certes, certaines d’entre elles font des miracles et permettent de remettre sur pied une peau ravagée jusqu’à l’os, mais…ce n’est pas ce qu’il y a de plus safe si on n’a jamais été du côté vert de la force.

 

Il vaut mieux éviter :

  • toutes les substances très/trop actives
    HE, donc, mais aussi les peelings – j’ai utilisé mon revival masque d’amour alors que je savais pertinemment que j’avais la face un peu réticente; résultat des courses, j’ai passé deux jours à me tartiner du baume B5 cicaplast pour rattraper la misère sur les joues. FACEPALM
  • des ingrédients en tête de liste auxquels on a jamais touché: on est déjà sur un terrain glissant, pourquoi tenter le diable ?
  • du purifiant/le décapage : ça tombe peut-être sous le sens, mais ça fait double emploi
  • et enfin de chipoter ou de vouloir traiter PAR-DESSUS le traitement pour que « ça aille plus vite ». NON.

 

J’ai choisi une crème douce chez Trevarno avec des composants safes et non agressifs que j’avais déjà pu croiser lors d’autres tartinages, donc pas de surprise de ce côté-là.

Il y a 3 huiles essentielles en fin de liste, mais, de un, elles viennent après les conservateurs – donc la dose est limitée à 1/3 de larmichette maximum par pot, et de deux, elles ne font pas partie des plus irritantes.

 

Dedans il y a : de l’eau florale de lavande (apaisante olfactive et cicatrisante), du macérât de carotte (pour la bonne mine grâce à la vitamine A, reconnu comme revitalisant des couennes sèches), de la jojoba (normalisante), de l’huile de germe de blé (réparatrice, apporte un beau glow), de la cire d’abeille (protectrice), un émulsifiant naturel, du beurre de cacao (assouplissant profond), de l’extrait de pamplemousse (conservateur), de la vitamine E (conservateur number 2), de l’huile essentielle d’encens et de bois de rose  (réparatrices) et de cèdre atlantique (tonique et bénéfique dans les cas d’eczéma).

Organically Produced* Lavendula Angustifolia Flower Distillate* (Lavender Flower Water) Sesamum Indicum Daucus Carota* (Sesame with Carrot Oil) Simmondsia Chinensis* (Jojoba Oil) Triticum Vulgare* (Wheatgerm Oil) Cera Alba* (Beeswax) Emulsifying Wax (Vegetable based-used to combine Flower Water and oil) Theobroma Cacao* (Cocoa Butter) Citrus Grandis* (Grapefruit Seed Extract) Tocopherol (Vitamin E) Boswellia Thurifera Essential Oil (Frankincense) Octea Caudata Essential Oil (Rosewood) Cedrus Atlantica Essential Oil* (Cedarwood) (Constituents of Essential Oil: Linalol, Gerariol)

 

Le soin hydratant de chez Esse Skincare aux probiotiques m’a tellement laissée pantoise qu’il m’arrive d’utiliser celle de Trevarno également le matin. De loin, elle me fait penser à la crème essentielle de Trilogy, avec une texture plus agréable encore et une odeur de lavande à relaxer les patounes les plus tendues.

Malgré son onctuosité, elle n’engorge pas les pores pour un sou (oui parce que le côté « riche » me décourage parfois, par peur de me muer en point noir géant). Elle laisse la couenne douce et souple au réveil – ce qui n’était pas gagné d’avance et surtout, sa composition est TOP DE CHEZ TOP sans pour autant exagérer au niveau des actifs. Un bien belle formule, quoi !

Son prix peut paraître élevé, mais il vous en faut peu pour le visage et le cou, donc un très bon achat sur le long terme  🙂

 

C’est vraiment TOUT, et super simple. Je ne me suis pas foulée, ça se résume à un baume, un nettoyant, une crème régulière et deux sérums.

Le contour des yeux est un peu oublié dans ma routine, j’ai juste eu le réflexe de monter ma crème jusque-là plutôt que d’investir dans un énième tube minuscule qui ne m’aurait servi à rien. Ceci étant dit, je garde toujours celui de La Roche-Posay sous la main quand j’ai la paupière qui tire (on a de ces problèmes).

Pour les lèvres, je t’en parlais ici, ça n’a pas changé d’un iota. Et quand je dois passer un moment en balade dehors, je fais ultra-gaffe au soleil – pas envie de me débarrasser de boutons et de décrocher la timbale en me brûlant avec les UV, au besoin, j’applique le fluide ultra-léger visage Anthélios de LRP en bonne couche. The best.

 

Mon seul regret, pour le moment est de ne pas pouvoir faire mumuse avec les bidules qui me plaisent le plus au monde comme les acides, les antioxydants, le micro-needling, de l’éclaircissant, du fouettant qui me ferait hurler « vavavoum! »… C’est tout un pan cosmétique que je boude par obligation, pour ne pas empirer ma situation.

Mais, oh god, qui me titille tellement. J’en rêve parfois, la nuit.

 

Des bisous les Caribous !
Toutes les références disponibles sur Love Lula,
Replenishing night cream de Trevarno, 25 euros / 60ml
Produits reçus par Love Lula sur demande

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20 février 2017

Angela Langford Repair & Renew face oil, avec du kiwi dedans

ABOUT
Repair & Renew Angela Langford sur @lovelula
Huile balanced & beautiful, dispo sur @angelalangford

Depuis le début de mon traitement antibio, j’ai l’impression que ma peau me parle en morse.

Le signal n’est pas très clair, j’arrive à détecter le sens, mais entre SEC ou DESHYDRATE, mon coeur balance. J’ai du, j’avoue, un peu patouiller dans mes pots pour me trouver des soins qui me parlent et causent enfin ma langue.

Parce que jusqu’à présent, c’était charabia sur charabia en passant par carabistouille et tralala.
Même toi t’y pigerais rien à ces bafouilles.

 

En commandant le sérum dont je vais vous parler, je dansais d’un pied sur deux, parce que la structure générale de la formulation était plutôt destinée aux peaux les plus arides et les plus rêches de la terre, tout comme les matures.

Comme mon minois a toujours plus connu le manque d’eau que de gras (même si ça se rejoint)(voir mon article sur pourquoi j’hydrate ma peau), je me demandais si je n’étais pas occupée à craquer avec déraison.

Même si j’avais comme un pressentiment que le bidule allait coller à mes besoins, en grande partie parce qu’il était riche en huile de kiwi. Oui oui, ça existe.

 

Après quelques semaines sous thérapie anti-bubon, je n’avais pas le visage abîmé en tant que tel, juste un peu capricieux, à tirer puis à s’inflammer d’un jour à l’autre – oui, c’était la merdasse couennale mais j’ai géré comme une baleine à bosse nage, avec grâce et remous.

Il me manquait seulement un petit plus pour survivre avec un épiderme sans plaques ni résidus de pomortes.

En soi, je voulais bien prendre des cachetons pour éviter les kystes, mais l’inconfort cutané était l’une des choses les plus difficiles à vivre pour moi.

Comparable au moment où je veux me préparer un thé et que le réservoir de ma bouilloire est vide. Et qu’il faut le remplir. Blah.


A
ngela Langford, une aventure personnelle

A la base, la créatrice de la marque était surtout passionnée par la cuisine et frustrée car elle n’arrivait pas à avoir accès à ses soins préférés pendant son séjour en Espagne. Lui était alors venu l’idée de préparer sa propre tambouille, histoire de toujours disposer de ce dont sa bouille avait besoin, sans dépendre de ce qui était disponible sur le marché.

Elle a d’abord créé sa gamme pour toujours avoir des soins de qualité sous la main, pour ensuite les vendre au grand public.

Angela Langford ne teste pas sur les animaux – uniquement sur des humains consentants, et les produits sont exclusivement fabriqués en Grande-Bretagne, la plupart convenant aux végétariens comme aux vegans.

Aussi, tant que faire se peut, elle essaie de se fournir en ingrédients bio ou tout du moins naturels (le pourcentage étant à chaque fois mentionné sur le site, pour l’un comme l’autre).

 

 

Une fiole dorée ULTRA-ACTIVE

Vous commencez à me connaître, je choisis mes soins comme une psychopate: faut que ce soit actif/mais pas trop, chargé en naturel/mais avec sens et SURTOUT, d’une sensorialité à te détendre jusqu’au panard.

Dans le repair & renew on trouve tout ce qu’elle a pu choper dans la forêt, avec, dans l’ordre (je t’ai divisé le bloc sinon c’était indigeste) –

de l’huile végétale de kiwi et d’églantier (riches en omegas 3, des acides gras essentiels, elles apaisent les rougeurs et revitalisent les teints ternes et fripés en hydratant en profondeur et en encourageant le renouvellement cellulaire),

de la vitamine E (antioxydante),

de l’HV d’onagre, d’argan (les huiles de base pour nourrir et assouplir les couennes en manque de lipides, antirides naturels), de riz (un adoucissant cutané de dingue), de macadamia (basique et riche en acide oléique pour la santé de la peau à travers les âges), du squalane hydratant (issu de l’huile d’olive), de l’HV de coco fractionnée,

de l’extrait de cassis (anti-inflammatoire puissant), de romarin (purifiant et revitalisant),

de la vitamine A (stimule la synthèse du collagène, en chute à partir de 25-30 ans), de l’huile essentielle d’encens, de palmarosa et de néroli (toutes trois tonifiants cutanés qui stimulent les cellules et la qualité épidermique),

de citron (pour l’éclat), de bois de rose (pour encore un peu plus booster la jeunesse de la peau), de mandarine (encore un agrume, riche en vitamine C, excellent pour les couennes fatiguées ou plus matures), de petitgrain (tonique de couenne et régénérant), de poivre noir (stimulant et anti-inflammatoire), de brèdes mafane (une plante raffermissante souvent utilisée dans les anti-rides)

et du Q10 (le couteau suisse pour ralentir les effets naturels du vieillissement).

actinidia chinensis seed oil, rosa rubignosa oil*, tocopherol , oenothera biennia oil*, argania spinosa oil*, oryza sativa bran oil, macadamia ternifolia seed oil*, squalane, caprylic/capric triglyceride, ribes nigrum fruit extract, rosmarinus officinalis leaf extract*, retinyl palmitate, boswellia carterii oil*, cymbopogon martinii oil*, citrus aurantium flower oil, citrus limon peel oil*, aniba roseodora wood oil*, citrus reticulate peel oil*, citrus aurantium leaf oil*, piper nigrum fruit oil*, spilanthes acmella flower extract, ubiquinone

 

L’huile qui répare et renouvelle

J’ai eu 29 ans, donc je touche encore du pied la petite portion de fin de vingtaine, mais de loin comme de près on me donne souvent moins que mon âge. Peut-être est-ce du à la génétique (sûrement même), mais il ne faut pas ôter son heure de gloire à mon choix méticuleux des soins qui habitent ma salle de bain.

Si je passe des heures à me pencher sur la composition de 1000 & 1 produits, c’est aussi souvent parce que je cherche l’unique, ce qui sort de l’ordinaire et n’est pas juste un aplat d’eau, de glycérine et d’huile de tournesol.

 

La repair & renew face oil entre dans la catégorie des huiles pour le visage à utiliser par saison pour choquer la peau et lui donner un coup de boost.

Au niveau de l’odeur, je la trouve assez neutre, rien de déplaisant ni citronné, ça sent bien quelque chose de fruité mais mon naseau n’est pas des plus fins.

Concernant l’action, elle est excellente : comme on a un complexe d’omega 3 – 6 et 9, on va à la fois avoir une action anti-inflammatoire, mais aussi éviter la déperdition d’eau et observer sa peau s’adoucir et se détendre au fur et à mesure des applications (je ne parle pas du glissant de l’huile, le lissage sera presque visible – je ne suis pas encore assez mature pour avoir un avis tranché là-dessus, mais déjà sur moi, je vois un changement).

Les ingrédients sont tournés vers la clarté (qui ne voudrait pas briller comme une licorne à paillettes ?) mais également vers une recherche de stimulation de l’élasticité (avec le Q10 et le retinyl palmitate).

En gros, dans ce mini flacon, on a de quoi envoyer du bonheur aux couennes ternes comme plus matures, tout en passant par la case déshydratation et sécheresse aride, du jamais vu.

 

Je l’applique en mêlant deux trois gouttes à mon soin de nuit, ça dépend un peu du temps que je veux passer à me masser la binette. Les huiles ont une très grande affinité avec la peau, mais le mieux est de choisir une crème hydratante pour optimiser leur pénétration – une HV mettra bien plus de temps à être absorbée si elle n’est pas massée sur une trombine encore légèrement humide.

C’était le quick tip du jour.

 

Une solution pour les peaux mixtes

Pour celles et ceux qui ont la couenne peu tolérante, je trouve la repair & renew extrêmement bien dosée en actifs (pas d’huiles essentielles qui crèvent le plafond et mon nez par la même occasion), le mix est très équilibré et le résultat progressif comme tout. Donc non, pas de « peau sensible s’abstenir », elle conviendra vraiment à tout le monde.

Peut-être un peu moins aux minois plus impurs ou à tendance grasse – je testerais plutôt celle-ci à votre place, la balanced & beautiful, moins chargée que la mienne, c’est l’autre version qui m’avait tentée mais uniquement disponible sur le site mère.

Elle contient un mélange plus basique en huiles végétales intéressantes (même si la plus grosse partie est identique), on retrouve surtout des ingrédients plus « pore-friendly » pour nettoyer ses petites cuvettes et profiter d’un léger effet peeling.

Voilà, j’arrête de te tenir la jambe comme un chien enragé pour aujourd’hui, je pense que tu as compris que la repair & renew était une ultra-bombe en flacon. Le seul mini-rikiki bémol est la contenance, mais après un mois, je n’en ai utilisé qu’un bon tiers, donc je devrais facilement tenir les 2 mois et demi avec 15ml en l’utilisant une fois par jour.

Au regard de ce que m’offre le menu – la qualité des matières premières et le résultat, je te garantis que ce sont 25 euros bien placés.

Et au moins, TU SAIS que ce qu’il y a dedans est là pour te faire du bien. Elle est pas belle la vie ?

 

Des bisous les Caribous !
Sérum Repair & Renew Angela Langford sur @lovelula
Reçu sur demande via Love Lula

Huile balanced & beautiful, dispo sur @angelalangford

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27 novembre 2016

Le cheveu précieux avec l’huile de camélia

ABOUT
Huile de Camélia Laboratoire du Haut-Ségala
camelia

Cette année, j’ai brûlé ma perruque chez le coiffeur. Façon de parler.

Je traînais sur pinterest en plein milieu des vacances, la chaleur estivale me chatouillant les narines, je me suis dit qu’un petit ombré tirant sur du auburn serait le must de la sexitude pour trancher avec le ciel bleu. Deux jours plus tard, je me suis pris une douche chimique sur la trogne pour avoir un bout d’Ariel dans la fibre.

Sans vraiment me préoccuper des conséquences – tu penses.

Mi-brune mi-rouge du tif, la coiffeuse a du s’y reprendre à deux fois pour me décolorer les cheveux, tout en clamant qu’ils étaient en excellent état – tu apprécieras le contraste du monstre qui te prend en chasse tout en te complimentant sur le fait que tu coures bien.

Trois mois plus tard, je ne suis plus aussi joyeuse du bulbe. La faute à ma faute.

J’en ai eu marre de ressembler à une ado « qui essaie des choses », j’ai reteint par-dessus mes restes de mèches décolorées pour repartir sur un brun foncé uniforme qui s’est patiné depuis. Si le tout a encore plus ou moins de la gueule (avec des zones rouges-châtain qui ressortent, bonjour), c’est parce que le lundi soir est dédié au soin du cheveuillou en profondeur.

Même la raclette ne passe pas avant. Ni les hot-dog moutarde d’Ikea à 1 balle.

 

Après quelques mois de traque, j’ai enfin pu mettre la main sur un trésor végétal sur lequel je zieutais depuis un bail, la merveilleuse huile de camelia (oui, non, même gougeul ne voulait pas coopérer, pourtant je tapais bien le mot, pas cameliane, ni cameline, tu vois). La fameuse se vante d’être le secret des japonaises pour avoir des lianes impeccables et qui réfléchissent la lumière comme un miroir, en gros, si tu n’as pas ce flacon, tu rates ta vie capillaire et ta reconversion en panneau solaire.

 

Il en existe trois variétés essentielles :

le camelia sinensis ou camelia chinois, essentiellement utilisé pour la cérémonie du thé

le camelia oleifera dont les graines produisent l’huile qu’on retrouve en général dans le domaine alimentaire et cosmétique

le camelia japonica, la version japonaise du sinensis, qu’on se passait sous le manteau à une époque, tellement elle coûtait cher et se faisait rare

Ceci étant dit, les trois produisent l’huile de camelia.

 

Je ne reviendrai pas (trop) sur le mythe de l’huile qui répare la fibre: si elle est déglinguée, elle le restera, juste que les écailles seront plus disciplinées si vous suivez un traitement grassouillet régulier. Une huile va, le plus souvent, assouplir et détendre votre cheveuillou pour le rendre moins stressé du bulbe et donner une IMPRESSION de gros changement.

On mate les mèches rebelles, on évite le plus gros des frisottis, on a moins de mal à se peigner la perruque, en gros, on revit.
Et puis surtout, on aide sa tignasse à rester lubrifiée tout du long, ce qui est une grande lacune des cheveux secs – ils ont le sébum « lent ».

 

La particularité de celle-ci, c’est qu’elle est TRES riche en acide oléique (avec un dosage encore plus élevé que dans l’huile d’olive), ce qui lui donne un haut pouvoir nourrissant et assouplissant. On n’oubliera pas ses effets antioxidants et anti-âge grâce à la vitamine E (combien de fois on ne t’as pas emmerdé avec « le thé, ça rajeunit la bouille et dégage les cernes »), elle stimule le collagène et ralentit les effets du vieillissement (à prendre avec des pincettes, tout de même). Elle a, par-dessus le marché, un effet protecteur plus que probant.

 

Personnellement, je l’utilise sur mes cheveux comme un bain d’huile classique, en la laissant poser pendant tout l’après-midi si possible, et le soir je file sous la douche. NB : cette huile végétale de camelia convient aussi bien en pré qu’en post-shampoing sur les pointes

Comparé aux autres huiles que j’ai déjà pu utiliser, celle-ci a un énorme avantage pour elle : la légèreté en texture comme dans le résultat au séchage. Et cet effet perdure à chaque fois pendant 4 jours, avant de légèrement s’estomper.

Il y aussi le lissage sans perdre dans les ondulations, un peu comme on repasserait un vêtement fluide, sans lui enlever son volume ou sa souplesse. Et puis, du gonflant en racine, pour encore embellir le tableau.

Au niveau de la brillance, je pense qu’il doit y avoir un mieux – mais j’ai toujours eu le tif qui brille comme une guirlande, donc je ne suis pas le meilleur juge du monde de ce point de vue-là.

camelia2

Je lui voue un culte parce que dans un monde de base, une chevelure qui s’est pris trois teintures dans la figure en 2 mois de temps devrait plutôt ressembler à un casque filandreux mimant une barbapapa.

Ce qui n’est pas mon cas – même la coco et l’argan n’ont pas donné ce résultat-là.

Alors, soit j’ai un ADN mutant dans ma fibre, soit l’huile de camelia est miraculeuse. Je penche quand même pour la deuxième option, sachant qu’avec la première j’aurais du naître avec la perruque de Megan Fox.

Et on en est vraiment loin.

J’attends juste que tout pousse pour que je puisse tailler mes cheveux et survivre avec un carré sain, parce que si je vais me raccourcir l’ensemble maintenant, il ne me restera qu’une coupe au bol immonde.
Du coup je m’enduis généreusement les longueurs en attendant que l’orage passe.

Et pour l’instant, cette huile végétale de camelia a plus que sauvé les meubles, donc je vais pouvoir attendre que pousse se fasse en toute sérénité.

 

Des bisous les Caribous !
Huile de Camelia Haut Ségala, achetée 20 euros environ sur Love Lula

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5 octobre 2015

L’Oil therapy, ou bain d’huile pour les cheveuilloux

oil therapy 1

Le bain d’huile, c’est pas facile. Apparemment.

Loin de moi l’idée de me tremper la touffe dans un seau rempli de grassouillette épaisse et d’en badigeonner mon corps par la même occasion, je ne veux pas me la jouer statue glissante qui se meut avec classe, juste avoir la fibre qui résiste à la casse.

Depuis 4 ans maintenant, je pratique, avec plus ou moins de régularité cette petite technique qui demande peu d’effort (sproutch sproutch, on étale, on attend, on va sous la douche)(ce que tu magouilles après ne me regarde point), coûte peu cher – a priori, et promet monts et merveilles.

L’idée c’est de prendre des huiles plus ou moins pénétrantes pour soigner la fibre capillaire sans pour autant LA REPARER (rien ne fixe un cheveu déjà mort, à part un ultra cimentage au silicone mais je ne suis pas sûre que ce soit un feeling agréable pour le cuir).

 

Savoir choisir sa grassouillette, la clef !

Tu vas avoir besoin d’une huile de première pression à froid pour commencer : peu importe les interprétations du fabricant ni – dans une certaine mesure – la localisation de celle-ci dans les rayons (alimentaires/cosmétiques), si elle est issue de ce mode d’extraction, on a l’assurance d’une huile qui est pure nature (la mention vierge garantit une non modification de la matière première).

Le conseil ci-dessus s’applique également si vous êtes à la recherche d’une huile pour le visage/corps.

Si rien n’est mentionné, et que la liste d’ingrédients ne cite que l’huile, cela ne veut pas dire qu’il s’agit d’une grassouillette roulée sous les aisselles de Vladimir, juste qu’elle n’a peut-être pas le niveau d’exigence d’une bonne bio, sans additifs, et sûrement subi des altérations au moment de sa production.

 

Pour le choix parmi toutes les variétés : on se concentre sur la nature même de son cheveu, on l’observe, on lui parle en yougoslave.

Plus il est fin, mois il va tolérer des matières lourdes et riches (pas envie d’avoir le cuir crasseux comme le fond d’une poêle), on préfère alors ce qui a un toucher sec.

Plus il est épais – et surtout bouclé/frisé, plus il demandera qu’on se concentre sur ce qui gaine (pour éviter la perte intensive en eau), et ce qui pénètre vite fait bien fait pour des cheveux soyeux et en pleine forme (qui dansent la lambada-zumba-wala).

 

Minute branlette chimique (pour ceux qui veulent aller plus loin):

Les huiles contiennent des acides gras saturés et insaturés.

Les AG saturés sont essentiellement l’acide palmitique, laurique, et stéarique, et garantissent une pénétration profonde dans la fibre capillaire et une bonne nutrition. On en trouve dans l’huile de coco, de sapotte (anti-chute et traitante), des matières assez épaisses sous les doigts donc. Mais également dans les beurres végétaux comme le karité et celui de mangue entre autres.

Les seconds sont divisés en deux catégories :

les monoinsaturés (oméga 9, riches en acide oléique), ou fameux acides gras essentiels qui s’immiscent aussi sous les écailles du pwal de caboche (dans une certaine mesure) et se trouvent dans l’huile de noisette, macadamia, d’amande douce, olive, camélia, d’argan, d’avocat, notamment.

Et les polyinsaturés (qui regroupent les omégas 3 – acide alpha linolénique – et 6 – acide linoléique), comme le lin, chanvre, la cameline, carthame, pépin de raisin, bourrache, onagre, germe de blé , qui sont protecteurs et régénérants.

 

Si vous ne le voyez pas du premier coup d’oeil, tapez juste « profil lipidique » et le nom de l’HV dans gougeul, il vous aidera à démêler tout ça, ou encore baladez-vous sur Aromazone, les fiches produits décomposent les éléments des grassouillettes, y a plus qu’à reporter tout ça ici sur le blog pour savoir dans quelle catégorie se trouve votre huile 🙂

Il n’est pas nécessaire de se formaliser, surtout si on est à court de budget, et que seule l’huile d’olive est à votre portée (autant s’en mettre une lampée sur la touffe, que le plat de pâtes attende un peu), juste que ce genre de classification permet de mieux s’y retrouver et donc d’être plus à même de cibler une défaillance capillaire en particulier.

On trouve aussi la jojoba pour permettre de rééquilibrer la balance du sébum, le brocolis pour réduire les frisottis, l’huile de neem, de nigelle (ne pas utiliser seule, elle est très active !) ou de chaulmoogra pour contrer les pellicules et l’effet parmesan à cause de dermites, le ricin (à diluer !) pour stimuler la pousse et fortifier, celle de kukui (au profil très complet) pour ceux qui souffrent de psoriasis, il y a une telle palette qu’on en deviendrait gaga !

 

Le bain d’huile en pratique 

oily therapyJe ne mets pas une dose folle, juste de quoi les imbiber sans qu’ils dégoulinent d’un liquide poisseux ; en partant 5 à 10 cm du crâne jusqu’aux pointes, le tout sur cheveux SECS : si vous les mouillez avant, vous saturez la fibre en eau et pas en éléments essentiels contenus dans l’huile, de quoi avoir des cheveux en carton, non hydratés/nourris et qui vont perdre des vitamines et acides aminés au passage. PAS BIEN.

Vous pouvez un peu ouvrir les écailles en mettant une serviette chaude sur la tête MAIS il faut savoir trouver une bonne balance, niveau chaleur, et, surtout, bien connaître ses pwals de tête : s’ils sont déjà très endommagés, indisciplinés, ils vont en baver, donc il vaut mieux passer son tour et les laisser gambader sur la caboche à température ambiante.

 

Chaque fois, je le fais en pré-shampoing, quand je rentre chez moi, que j’ai du temps pour le laisser poser.

En entrant sous la douche – après 20 minutes de pose minimum, j’utilise un shampoing doux de préférence  (là, j’ai surtout utilisé montalbano de Lush, que je tolère), et je lave bien le tout en insistant légèrement sur les pointes. Il faut SENTIR qu’il y a encore un peu de matière huileuse mais pas de rendu gras – ça s’apprend à force d’en faire, on sait juger de la douceur de sa perruque, du niveau de nettoyage non excessif qui permet de garder les actifs.

J’utilise toujours de l’eau tiède pour tout enlever et finis avec un long jet d’eau froide, mais on peut aussi s’offrir un moment nature avec une eau de rinçage spécialement pour l’occasion – toujours pas tenté celle à l’hibiscus, mais je vais m’y mettre !

J’essaie, présentement, d’éviter un maximum la chaleur du sèche-cheveux, le lisseur, de n’y toucher que lorsque je dois me grouiller vite vite et quand même avoir une bouille présentable.

De temps en temps, quand ils sont secs en journée, je rajoute un peu d’huile végétale sur les pointes et basta.

 

Y a rien de sorcier dans le bain d’huile, juste de trouver celle qui nous plaît, autant au niveau olfactif que du résultat. On peut en mélanger plusieurs pour créer des synergies et coupler les bienfaits en une seule oil therapy. Et pour la fréquence, c’est comme tu le sens, juste qu’il vaut mieux s’appliquer à ne pas en abuser pour ne pas finir avec un pic gras droit planté sur le milieu du crâne.

Concernant les bienfaits, ils tournent autour du trio magique : brillance, douceur de poil de lapin, et cheveux avec plus de texture au fur et à mesure des bains. Ayé, t’as les yeux qui brillent, je vois.

 

Je tourne à celle de noisette, parce qu’elle est basique et que j’ai les cheveux « mixtes », mais si j’arrivais à mettre la main sur celle de camélia, je crois que ça me rendrait hystérique. JE ME REFUSE à payer un flacon en ligne, et Bruxelles ne se livre pas assez, m’empêchant de trouver mon précieux.

DU COUP, je suis embêtée, mais je vais bien finir par la trouver dans la vraie vie (hein !)(saloperie).

 

Tout ce toutim pour dire qu’avec l’oil therapy et mes shampoings au skikakai récurrents, j’ai toujours une perruque viable même si je n’ai pas été chez le coiffeur depuis des mois.

Comme quoi, les soins naturels, c’est comme la bouse de vache : ça fait pousser des fleurs.

(Haha très drôle)
(Je suis déjà loin, dans un trou, que je rebouche par-dessus moi)

 

Des bisous les Caribous !
Mona

Caribouland
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7 avril 2015

One pic One tip, le shikakai très dilué

shikakai

Rappel sur le shikakai

Je sais que la plupart des gens suivent les recettes à la lettre sans y toucher, vont râler à la source quand ça leur chante. Le client veut que tout se passe comme prévu par le mode d’emploi, sinon il a la dent dure et la mâchoire serrée et se comporte comme un gros bulldog enragé.

Avoue, t’as envie de dégommer une pantoufle.

 

Dans la jungle des notices, je m’adapte : si je vois qu’un masque pique après deux minutes et que la marque m’enjoint à le garder 1h sur le minois, en général je suis mon instinct, je retire ce qui me gratte.

Pour les tambouilles, c’est comme suivre une recette de grand-mère, y a toujours une Gishlaine pour te conseiller de mettre de la crème dans la préparation quand sa voisine te l’interdit.

Faut savoir faire des concessions ou peser le pour et le contre avec intelligence, ne pas sauter d’un train si tu sais que tu n’as pas les jointures fiables. 

 

La première fois que j’avais testé le shikakai, j’avais fait une dilution légère dans de l’eau, rien de très pâteux ni liquide, un entre-deux humide comme conseillé par Aromazone, 25gr de shishi pour 50ml de phase aqueuse.

Puis, à chaque usage, la dilution se faisait de plus en plus appuyée, intense, jusqu’à arriver à une petite cuiller à soupe (donc pas trop remplie) de poudre pour un très grand verre d’eau bien chaude. Remué avec un ustensile en plastique et hop à la douche.

 

C’était devenu ma technique, mon move, ma recette de Mammy Mona, le genre de conseil que j’impose depuis quand je lis « à poser en couche épaisse sur le tif, attends 5 minutes, puis tu rinces pendant 3h ».

Personnellement, plus j’allonge la poudre avec de l’eau, plus j’obtiens un meilleur résultat.

Je verse le mélange au fur et à mesure sur le cuir chevelu, masse le crâne entre chaque versement – un chouilla les longueurs, et le tout dure deux minutes environ.

Une fois que mon gobelet est vide, je rince ma perruque et finis mon soin par un jet d’eau froide

 

Résultat, j’ai les cheveux qui brillent comme de l’argenterie bien astiquée, parfumés à l’odeur d’une ferme un soir d’été, vu les boucles et la brillance que je gagne au passage, je suis convaincue que la dilution extrême ne gâche absolument pas les bénéfices.

Même si j’ai démarré avec une utilisation plus ou moins traditionnelle, je n’utilise jamais le shikakai en masque, parce que ça n’a pas de sens pour moi, que de le diluer m’aide à mieux retirer les résidus (sans perdre en efficacité au lavage) et surtout, je fais des économies en en utilisant moins.

My way, quoi.

 

Chacun son swing dans la salle de bain, tu peux rajouter du lait chaud à la place de l’eau, mettre des huiles végétales, moi j’agrémente de temps en temps le tout d’une à deux gouttes d’huile essentielle de bay de saint thomas pour la pousse et lutter un peu plus contre les chutes improvisées.

Je ne fais clairement pas partie du camp de ceux qui mettent tous les ingrédients de la cuisine sur leur tête, comme pour le henné, je préfère la jouer léger quand il s’agit de coloration ou de poudre végétale : une phase aqueuse, la powder et à la limite un doudou traitant en plus (mais pas tout le temps).

 

J’ai donc, dans ma routine capillaire, repris le chemin du shampoing naturel hyper root, que je fais tourner avec ceux de chez lush et le logona à l’acacia bio. Selon mes envies, toujours.

Si tu ne t’en sortais pas jusque-là avec le shikakai, reconsidère peut-être son dosage dans la préparation, il se pourrait que ma technique change tout et te fasse passer d’un mauvais souvenir à un moment plaisir.

YOU’RE WELCOME.

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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