Catégorie : Feel Good

7 février 2012

Le bio me hante

Ce n’est pas un choix de vie, ou ma manière de penser qui sont altérés, disons que je n’ai pas certains réflexes légumiers, du mal à choisir un kiwi bio plutôt qu’un kiwi pas bio, parce que pour moi c’est pareil.

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J’ai pourtant déjà regardé des sujets là-dessus, comparé, et personnellement la plupart du temps ce qui n’est pas bio a plus de goût que ce qui l’est (ou du moins la différence reste minime).

Je vous vois déjà, foule en délire, OUAIS MAIS NAN TU T’MEPRENDS, LE BIO CA DECHIRE.

 

D’abord, m’sieur, qu’est-ce que c’est au juste ?

« L’agriculture biologique est une méthode de production agricole basée sur le respect du vivant et des cycles naturels, qui gère de façon globale la production en favorisant l’agro-système mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et les cycles biologiques »

En gros, c’est revenir à ce que faisait les agriculteurs auparavant, avec une terre mise en jachère tous les ans, pour la faire se reposer, et faire tourner ainsi les cultures sur trois terrains, en variant la popote avec des produits sains, ce qui à terme permet de fournir des fruits, des légumes, des céréales qui ne portent que peu ou pas de traces de polluants chimiques.

Le battage qu’il y a eu depuis la découverte de ces trois lettres m’a toujours un peu paralysée, étant donné que ce label a même envahi les espaces cosmétiques, au niveau des crèmes, des fonds de teint, des poudres, des huiles.

Il y a comme une âme invisible qui trône au-dessus de certains rayons dans les magasins que je fréquente, qui fait augmenter les prix d’une pomme qui ressemble pourtant bien fort à celle posée juste à côté.

Puis l’idée me hante, est-ce que je fais mal ?

Dois-je forcément acheter du bio quand je passe devant ?

 

Je danse d’un pied sur l’autre, sans en comprendre plus, mais toujours je retourne vers les paquets que je connais, qui contiennent de quoi faire de moi une enfant où se concentre autant de produits nocifs que sur le site de Tchernobyl.

Parce que je ne me vois pas pousser une troisième oreille et que finalement, puisque le goût ne ment pas, pourquoi changer.

 

Et vous, ça vous a transformé votre vie le bio ?

Caribouland
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17 décembre 2011

Ou comment j’ai acheté une blackberry playbook

Depuis trois mois, ma mère me bassinait avec son envie d’acheter une tablette numérique qui puisse accueillir ses recettes de cuisines et tout son brol d’idées culinaires, du coup, à force de recherches, j’étais devenue une banque de données en la matière.

J’en avais toujours voulu une, bien que j’avais déjà un ordinateur de 17 pouces, et un gsm tactile, mais il me manquait comme « un petit truc, un entre-deux ».
La semaine dernière, il y avait une promotion sur la Blackberry playbook, on réduisait son prix de 200 euros (WHAT ?) d’un coup pour essayer de limiter les dégâts dus à ses ventes catastrophiques jusqu’ici.

Ma mère a demandé à la voir, le vendeur lui a montré l’engin. Et je me suis vu dire « moi aussi, mettez-m’en une ».

Pas une baffe, une tablette. (Remarque, une baffe n’aurait pas été superflue.)

 

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597 euros plus tard, on avait les joujoux en mains et on souriait comme des gamines. Arrivées à la maison, on a tout déballé, et dès que j’ai pu, j’ai mis des films dessus, des applications complètement gadget, etc.

 

Pourquoi j’ai fait la crazy-folle acheteuse :

  • parce que ça coordonne parfaitement avec mon blackberry torch
  • ça m’évite d’ouvrir mon ordinateur quand j’ai juste besoin du net (mais en format plus grand que sur mon gsm)
  • l’écran est magnifique au possible, c’est du 7 pouces, mais c’est agréable à l’oeil, et super fluide au toucher.
  • l’autonomie est excellente : 9h en utilisation courante (regarder des films, recherche net, jeux)
  • pour le prix auquel elle est vendue pour l’instant, ça devient VRAIMENT un cadeau.

Ceux qui n’ont pas de blackberry auront plutôt tendance à passer leur chemin, la tablette vantant surtout ses prouesses de synchronisation avec les gsm de la marque.

Alors si vous avez de l’argent à claquer dans un BEAU cadeau pour un geek de la famille, faites lui plaisir.

On a jamais trop de media chez soi, puis quand ça brille, ça rend gaga.

 

Bonne neige.

Caribouland
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1 décembre 2011

Little Printer, lovely printer

Un studio de design anglais a développé un nouveau produit qui devrait à plus d’un titre plaire aux geeks fana de beaux objets, le Little Printer.

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Il s’agit d’une mini imprimante qui print sans encre (thermal printer), chose non négligeable, et qui fonctionnera avec les terminaux androïd et iphone.

On démarre d’une application qui permet d’organiser ce que l’on veut imprimer sur le papier à partir de son gsm, puis tout passe par le wifi. Pas de câble, ça va vite (en théorie) et c’est ludique.

 

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L’intérêt de cette petite bête, c’est que pour une génération comme la mienne, qui croit encore définitivement au pouvoir du papier, et qui a besoin de faire des croix et des « check » là où elle a bien effectué la tâche, elle répond exactement à mes attentes.

 

Donc, gadget ou pas, je risque sûrement de l’acheter, sauf que je devrai me payer l’iphone aussi étant donné que le petit carré ne marche que sur un téléphone apple, ou tournant sous androïd.

L’appareil sera aux alentours de 120 euros, de ce que j’ai pu trouver dessus, et n’est disponible qu’en précommande pour le moment, sa sortie bêta prévue en 2012.

En espérant que ça vous plaise.

Bonjour.

Pour voir l’objet, et baver sur l’écran, c’est par ici

Caribouland
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30 novembre 2011

Mercredi, c’est Smash Book day

Je m’étonne toujours quand j’arrive à tomber au hasard du net sur des sites qui me donnent des envies incroyables de dépenser mon argent.

En général je bave (oui oui) sur l’écran de mon tout nouvel ordinateur parce que je tombe sur des images de robes à froufrous et des machins brols pour fille-sucre-d’orge.

Cette fois, loin de ça, autre univers et autre décor, j’ai découvert les SMASH BOOK.

« Ah ouais, mais on connaissait déjà, quoi tu connaissais pas ?? »

Non. Et en plus c’était presque un crime.

 

J’ai une vraie addiction pour les cahiers : je dois en avoir une dizaine dans ma chambre qui ont encore la majorité de leurs pages blanches, tout ça parce que dans le magasin, les feuilles me lançaient un appel trop séduisant, et arrivaient à me balader jusqu’à la caisse, avec un air de fille fier comme Artaban.

La plupart sont des Moleskine, mais d’autres ont des marques improbables, sont juste petits mais mignons, ou ne boivent pas trop l’encre, d’où l’achat.

Pour en revenir au sujet, voici la bête :

On peut trouver le concept bizarre : c’est simplement un bouquin, avec un nombre très réduit de pages un chouilla scrapbookées (j’invente des mots, jette des fleurs) et l’astuce du siècle,

c’est le bic.

Un bic avec un côté encre, un autre avec un mini stick de colle qui permet de coller et de dire plein de choses en même temps.

Ca doit être l’effet « c’est bientôt mon anniversaire » qui me fait ça, mais je résiste durement à me le commander, surtout que je trouve les cahiers assez chers pour ce que c’est. Je suppose qu’on vend du prestige.

Par contre le machin pour gribouiller et coller a eu le sex-appeal qu’il faut pour attirer mon attention.

Reste plus qu’à demander qu’on m’offre tout ça. Pour la forme, et en l’honneur de ma personne, à la gloire de l’art.

Bonsoir.

 

Pour celles qui veulent commander ou juste baver sur leur écran, c’est par ici : Smash Book

Caribouland
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24 avril 2011

Moleskines are in

« Il faut toucher l’objet, savoir ce que ça fait de créer dans un moleskine que pour savoir que la vie est belle. »

JE SAIS que j’en ai déjà une pile énorme, des à moitié remplis, des gribouillés, martyrisés et complètement destroy, j’en ai des vieux, des nouveaux, mais ce sont toujours des carnets. A part mon agenda d’amour, so red.

 

Mais il me faut le welness journal. Va savoir, j’ai eu un sunday crush.

Caribouland
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