Catégorie : Feel Good

15 octobre 2013

Geekette est passée de Blackberry à Samsung

sam0.jpgJ’étais une fana de Blackberry.

Celle qui soutenait leur cause, qui défendait la facilité d’écriture avec leur clavier hors du commun (qui sort de l’appareil et tout, avec des touches physiques, tu vois un peu la révolution).
Mais j’ai changé d’avis.

Depuis que j’ai un Samsung, je suis passée du côté de ceux qui croient grave en l’évolution du smartphone, et qui rabaissent au rang d’antiquité les GSM de RIM.

Je suis devenue une blasée du pouce.

 

Je me souviens que sur mon Torch, je devais passer par le navigateur pour avoir un facebook qui fonctionne et s’actualise bien (en gros, je pompais la data parce que j’avais un débit d’une page actualisée à la seconde, fofolle).

Je ne pouvais pas compter sur sa batterie (de merde) ni sur son écran tactile plus que rédhibitoire. Je pestais contre les bugs incessants, les SMS qui arrivaient et que je ne savais pas lire sans redémarrer l’engin.

Toutes ces techniques d’avant-guerre pour survivre en milieu virtuel commençaient à me gaver.

 

Puis on m’a offert l’occasion de tester un Galaxy SIII de Samsung.

Et à la réception du petit bijou, j’ai passé une heure à répéter « pourquoi conduire un âne quand on peut avoir un dragon qui crache du feu ? Pourquoi ? ».

J’ai découvert un nouveau monde dans lequel les Blackberry n’avaient pas de place.

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Étant une geekette de premier ordre, j’ai très rapidement géré (modeste).

J’étais fascinée par cet écran énorme (allô, ma main est minuscule), hyper lumineux (bah oui, chez Blackberry, y a qu’un fond noir) et complètement fluide.

Premières poussées de « gniiiih », tout glissait avec une aisance incroyable.

Puis j’ai découvert Android, sa manière de fonctionner.
Et enfin j’ai mordu à l’hameçon du monde merveilleux des applications.

Tellement que j’en ai multiplié les panneaux, et une semaine après mon acquisition, j’avais déjà quatre murs remplis d’outils aussi inutiles que craquants.

J’ai adoré.

 

Mes applications préférées

Les Incontournables
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Facebook, Twitter, Youtube, What’s appet Instagram

Parce que c’est la base.

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 Pinterest, We heart it

Pinterest pour faire des Mood Boards, ou épingler tout et n’importe quoi, et We heart it pour baver devant de belles photos.
C’est aussi là que je trouve la plupart de mes fonds d’écran (oui, je suis ce genre de fille).

 

 

Les applis Girly !
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Hellocoton

Parce que c’est une de celles que j’ouvre tous les jours, qui me permet de voir mon compte, de lire quelques articles de grand matin, et qui me tient au courant des dernières actus sur la blogo.

 

Lady Pill Reminder

Avant, pour ne pas oublier ma pilule, je mettais bêtement un réveil sur mon Blackberry. Maintenant, avec LPR, mon gsm siffle à 23h30 et me somme de prendre mon cachet. Top.

 

Beauté-test

J’ai toujours un grand besoin de cette appli quand j’ai veux savoir rapidement si un produit vaut le coupou pas. Plus simple que d’aller chercher l’info sur le site internet d’une marque.

 

 

Les Pratiques 

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Zite

Parce que Zite recherche pour vous des articles selon des thèmes enregistrés par vos soins, vous n’avez plus qu’à commencer à lire ! J’adore cette appli, je l’utilise essentiellement pour rester au courant de tout ce qui se passe dans le monde des soins de la peau.

 

Pocket

Toi aussi, tu es déjà tombé sur un site mais tu n’avais pas le temps de lire le super post sur « comment les légumes verts c’est la vie » ? Fais comme moi, quand je n’ai pas le temps de tout lire, je mets l’article dans Pocket, et je peux le lire offline.

 

Aviary

Une appli photo par laquelle je passe avant de partager une photo sur instagram. Il y a plus d’options (filtres différents, on peut gérer la luminosité et le contraste plus précisément, etc).

 

Marmiton

Un grand nombre de recettes à réaliser, on en trouve une facilement en tapant uniquement un ingrédient principal.

 

Stib Mobile

Pour les belges, une appli des transports en commun qui va vous faciliter la vie (et non pas la ville, comme ils disent).

 

Shazam

Parce qu’au lieu de crier « c’est quoi ?? », tu n’as qu’à effleurer ton écran pour connaître le titre d’une chanson qui passe à la radio.

 

 

Celles qui servent à rien mais quand même


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Vine

Une appli qui permet à ses utilisateurs de charger des mini-films qui résument une action en un court laps de temps.

Pour faire rhooooo devant des chatons, et regarder le film de 3 secondes en boucle pendant une minute.

 

Où sont les toilettes ?

Pratique, quand on ne sait pas où se trouvent les toilettes publiques les plus proches.

 

 

Les Jeux qui rendent gaga
 

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Candy Crush Saga

Je n’aurais jamais du connaître ce jeu, puis je l’ai téléchargé, et depuis je vois la vie en forme de bonbons, méga-bonbons bonus et gélatine à exploser dans les 120 secondes. (Jeu d’arcade simple mais efficace)

 

Dumb Ways to Die

Je connaissais la version sur l’Ipad, elle existe désormais sur l’Android Market.
En gros, tout est une question de survie. Ca va vite, c’est drôle et les graphismes sont adorables.

 

Zombie Tsunami

Tu es un zombie, tu cours, tout le temps, sans t’arrêter, et tu dois éviter tous les obstacles.
Tu profites des gens que tu croises pour les manger et ainsi agrandir ta horde.
J’aime fort.

 

 

La plus sportive 

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Nike + Running

Mon appli chouchou, qui était installée sur mon ipod 4G et que j’ai directement essayée sur mon SIII. Elle fonctionne nickel et le GPS ne draine quasiment rien comme data pendant mes sorties.

 

 

Je vous ai mis les meilleures, celles que j’utilise le plus, mais il y a aussi

ELLE, VDM, TopSanté, RTL BE, 20 Minutes, RTBF, Le Monde, Huffington, Tango, Flux D’actu (un peu du même style que Zite mais moins bien), Lampe Torche, Tumblr, MyING, etc.

sam3.jpgIl y a un pas qu’on ne me fera JAMAIS franchir, c’est celui d’Apple.

Je n’adhère pas à l’Iphone, son ergonomie, sa bouille, pas assez compliqué pour moi.

 

Je trouve ça plus plaisant d’avoir quelque chose qui soit encore plus personnalisable, que je puisse exploiter jusqu’à plus soif (d’ailleurs, je pense bientôt buter contre les limites du SIII).

Le seul reproche que j’aurai à faire au Galaxy, c’est la qualité de l’appareil photo qui est vraiment moyenne.

Mais sinon, il me plaît bien fort.
(Je suis toujours scotchée dessus, je suppose que c’est le signe d’amour inconditionnel non ?)

 

Les petits plus…

  • La batterie tient du feu de Dieu grâce à Battery Doctor – que j’ai oublié de mentionner plus haut
  • J’ai une led dont je peux modifier la couleur comme sur le Blackberry, donc je peux voir de loin ce que mon téléphone me veut
  • Mon réveil me dit « bonjour belle donzelle », NON MAIS T’AS VU ?!
  • Le panneau technique se déroule du haut du GSM et permet de directement couper le wifi/le GPS/le Son/Etc, l’activer, ..
  • il est blanc, genre, j’ai une histoire perso avec les mobiles blancs
  •  je ne dois plus payer un supplément dans mon abonnement juste parce que j’ai un Blackberry (oui oui, c’est comme ça en Belgique..)

 

Pour conclure, je trouve que c’est un très bon téléphone qui vaut son prix mais gagnerait à avoir une RAM qui atteint moins vite le plafond (d’ailleurs c’est quoi ce binz ?).

Comme première expérience de VRAI smartphone, je suis comblée.

 

Des bisous les Caribous !
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8 septembre 2013

Le petit point Running de la rentrée #season3episode2

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Hey ho, Totoche est de retour !

Puisque point de rentrée pour ma pomme et que les travaux et l’emménagement m’avaient pris mon temps, je me suis aperçue ce matin que cela faisait déjà 20 jours que je n’avais pas foulé le bitume.

QUEL SCANDALE !

Du coup j’ai compris le petit énervement, le sentiment d’avoir quelque chose qui fait du grabuge dans les émotions et qui a besoin qu’on le stabilise un peu avec une grande claque et une sortie dans les bois.

Aujourd’hui, donc, comme une petite fleur qui pousse dans les champs, j’ai naturellement chaussé mes Nike d’amour et je suis partie fouler mon nouveau territoire.

 

Premier bilan

Depuis mon article sur la reprise de la course
, j’ai couru quinze fois, mais j’ai surtout rapidement augmenté les kilomètres parcourus en passant d’une distance de 3km à 6km en moyenne (donc le double, OUI).

Je n’ai pas vraiment pu me tenir à une moyenne de 3 fois par semaine, puisqu’à chaque fois j’étais interrompue par un épisode de forte chaleur, ou alors il pleuvait comme vache qui pisse et ça me coupait dans mon élan.

Sans parler des jours où j’avais mal de tête, les lendemains de fête, l’envie de mimer la larve sédentaire, etc.
L’été n’est pas d’une grande aide quand on reprend le running.

 

Ceci étant dit, les gens de mon entourage ont rapidement remarqué que j’avais « maigri », mais en réalité je pense surtout que la course à pied aide à avoir un rendu plus élancé de la silhouette, d’où la confusion.

Bon, j’avoue avoir quand même un peu fondu, je suis passée de 55.5 kg pour 1m62 à 53kg en deux mois (et ce malgré les saucissons, apéros, et autre joyeusetés estivales).

 

Ce que ça m’apporte

Je ne suis pas encore une runneuse assidue et j’aimerais vraiment le devenir maintenant que je ne suis plus dans un appartement sur Bruxelles et que je peux profiter des espaces verts autour de chez moi : plus d’excuses, j’ai des terrains grands comme ça pour me défouler sans croiser des voitures tous les vingts mètres !

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Malgré mon petit niveau j’ai constaté des avantages non négligeables

Le jogging forge mon mental

Il suffit de se mettre à courir et de se fixer des petits objectifs et on se rend vite compte qu’on devient son propre coach.

Parfois je me dis « allez, encore un effort, on va jusqu’au poteau au bout de la rue », et le fait de m’y tenir me donne envie de me fixer d’autres challenges.

Je n’aurai pas parié, il y a trois mois de ça, être capable de faire des courses de 6km, et pourtant, maintenant, je me vois mal faire la moitié. J’ai besoin de cet état que je trouve une fois que mes muscles sont bien chauffés et que je ne pense plus à mes jambes qui font un effort mais à mes projets, mes envies, etc.

 

Le jogging me rend plus zen

Prouvé et approuvé, après chaque course je suis calme comme un koala sur sa branche. Je ne planifie pas mes courses mais en général, quand j’en fais une, c’est que j’ai un « trop-plein », des idées en pagailles, une envie d’aller me dégourdir et je ne m’arrête que quand je sais que j’ai bien évacué mon stress.

 

Le jogging m’aide pour mes migraines

J’essaye de prendre une bouteille d’eau à chaque sortie, et même si ce n’est pas pratique, le fait de boire quelques gorgées pendant la course m’évite une déshydratation et donc un mal de tête.

J’essaye aussi de ne pas forcer, mes minutes de running je ne les fais pas pour la performance (je ne cours d’ailleurs pas avec un cardiofréquencemètre). Une ou deux fois j’ai vraiment trop poussé mon corps et je me suis retrouvée avec une migraine jusque-là, à ne plus vouloir rechausser mes godasses.

Donc EAU + JOGGING PEINARD = la clef du débutant qui gère (sans oublier les chaussures, bien choisies, c’est plus sûr)

 

Le jogging me fait un plus beau corps

J’ai beau être mince, j’ai le cuisseau qui n’avait pas une belle dégaine pendant les premières sorties, ça bloblotait sévère au niveau du bas du corps et me donnait l’impression de jouer aux castagnettes géantes avec mes cuisses.

Je suis encore loin de mon objectif de raffermissement, certes, mais comme je pratique le running à une allure lente à moyenne et pendant plus de trente minutes (ayé, je suis aux quarante minutes maintenant !), je suis assurée de renforcer mes muscles sur le long terme.

La grosse nouveauté du mois : dorénavant, il faut que je presse ma cuisse pour voir le côté grumeleux  de la cellulite alors qu’avant, même en étant statique, j’avais une piste bosselée de mes fesses aux genoux.

Il y a du mieux aussi au niveau du bidou, j’ai moins l’impression d’être gonflée comme une baudruche.

 

Le jogging me rend heureuse

Petite victoire, sortie en plein air, ne compter que sur soi, faire de mieux en mieux en prenant son temps, voir le soleil, autant de choses qui contribuent à une sortie paisible et au top.

Il suffit de prendre une playlist du feu de dieu avec soi et on est parti pour avaler des kilomètres sans s’en rendre compte !
J’aime bien courir en hiver aussi, le décalage entre la température de mon corps et l’extérieur est plus agréable pour moi quand il fait plus frais dehors.

 

L’envers du décor

Il y a certaines courses pendant lesquelles j’ai eu du mal à tenir le rythme, j’avais envie de lâcher en plein milieu parce que je n’étais pas d’humeur, mais en général je bouclais mon objectif du jour sans trop de problèmes.

Ces jours-là, tout le monde les connaît, il ne faut pas croire que la course à pied est une promenade en poussette, c’est vous le moteur, donc si l’impulsion n’est pas de la partie, m’est avis que vous n’irez pas bien loin (dans cette pratique).

 

Le tout c’est vraiment d’y aller mollo, progressivement, de ne pas chercher à devenir un champion d’athlétisme en quinze jours, sinon c’est la porte ouverte aux blessures.

J’ai lu énormément de blogs/articles sur le sujet, et honnêtement, même si la majorité des runneurs sont ultra-équipés, je ne pense pas que cela soit nécessaire dans l’immédiat.

Il est certainement impératif de mettre ses sous dans une bonne paire dédiée au running, mais commencer à dévaliser toute la boutique high-tech chez Decathlon n’a pas vraiment de sens quand on ne sait pas si l’on va persévérer dans la course à pied dans les mois à venir.

 

Personnellement, je cours avec des chaussures et un legging Nike et pour le haut du Kalenji, et c’est suffisant.
Mes seuls « ajouts », sont mon smartphone avec l’appli Nike+ running que j’ai toujours trouvée excellente, même sur mon ipod.

C’est tout.

 

Conclusion

Même si j’ai en moyenne couru 5 fois par mois depuis ma reprise, je pense que pour un début j’ai été plutôt régulière.

Je compte faire mieux, mois par mois, améliorer mon temps par kilomètre, et essayer de combiner cette pratique sportive au vélo, vu que maintenant j’habite dans une commune qui ressemble de loin (très loin) à la Hollande.

 

Reste le problème des jours de flemme, quand je n’ai pas envie de pointer le bout de mon pied dehors : j’ai déniché des chaînes youtube (va souffrir tiens) qui sont axées sur la muscu bien tonique et active pour les femmes, un bon moyen pour ne pas perdre une journée à parler à son paquet de chips.

 

Enfin voilà, si vous cherchez un sport qui permet une dépense rapide et certifié par moi-même, je valide la pratique de la course à pied.
Si vous avez aussi repris le sport récemment, NE LÂCHEZ RIEN, il y a toujours la bombasse qui sommeille en vous au bout du chemin.

 

Des bisous les Caribous !
Saison 1 épisode 1 – Saison 2 épisode 1 – Saison 3 épisode 1

Caribouland
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20 mai 2013

Narta et ses patchs au-trop-collants

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Je ne sue pas comme un boeuf.

Je préfère le dire, je suis plutôt contente de mes aisselles et du pack génétique livré avec : je sue modérément quand il fait beau/chaud, je sens rarement en dessous de aisselles (thanks to la pierre d’alun, cuin cuin), je suis presque parfaite en somme.

 

CECI ETANT DIT, quand arrive une soirée plus ou moins classe et que je suis devant une veste très cintrée, en dessous de laquelle j’aimerais ne porter qu’un top, je me rabats tout de suite vers un bête t-shirt et un pull potable, parce que j’ai peur d’abîmer mes beaux vêtements.
C’est concon.

T’achètes des vêtements pour les mettre, et pour finir ils restent dans un coin pour ne pas « qu’ils sentent en dessous des bras après, on sait jamais Ginette ».

 

Sauf que, au détour d’un Auchan, je tombe sur le graal, la pub tournait déjà en Belgique, mais aucun signe du produit dans les rayons.
Ni une ni deux, j’ai jeté la boîte dans le caddie et j’ai rapidement marché vers les caisses en regardant derrière moi, au cas où on voudrait m’empêcher d’acheter mes précieux.

 

Le grand test Narta : les patchs anti-auréoles

Le packaging

Assez intrigant.
Je pense qu’il y a une femme derrière tout ça, je ne sais pas, comme une intuition..

Ça rappelle bien évidemment l’emballage des serviettes hygiéniques, c’est présenté de la même manière, donc à moins d’être franchement loin dans votre tête (type à chevaucher un homard géant dans un Flunch), essayez de ne pas vous gourer quand vous partez en week-end avec chéri.

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Il y a deux patchs par sachet (quatre sachets en tout dans la boîte), qui ont une face à la texture un peu feutrée et pas rugueuse du tout, et une autre qui a deux faces autocollantes, le milieu du patch n’étant pas adhésif.

J’étais assez bluffée par l’épaisseur (moins de 1mm) à l’ouverture du pack, m’attendant sûrement à quelque chose tenant plus de l’éponge que de la feuille.

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Le test en live

La mise en place est plutôt simple, ça dépendra un peu du diamètre de vos manches, mais en soi, CA PASSE !

La seule difficulté réside dans le fait de bien coller la plus petite face bien à plat dans le début de la manche, sinon ça fait des plis, et les plis ce n’est pas joli (ET VU que je suis douée comme un crabe avec sa pelote de laine, j’ai un peu eu du mal au début).

L’astuce : retournez carrément votre habit, à l’envers ce sera plus facile à poser.

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Le verdict

Je les ai testés pendant la soirée des Weekend Blog Awards : j’avais une robe sans manches et une veste bien cintrée par-dessus, le genre d’habit qui exige d’être impeccable.

Pendant la soirée, j’ai eu un petit coup de chaud, puis le stress et l’engouement aidant, c’était parfait pour juger de l’efficacité des deux joujoux sous les bras.

Je trouve que je les sentais pas mal, finalement, et qu’ils n’avaient pas l’air aussi fins que lorsque je les avais sortis de leur paquet. Mais la sensation n’était pas désagréable, et, fait important, ils n’ont pas bougé d’un poil (si je peux me permettre).

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Une fois rentrée chez moi, j’ai d’abord senti le tout à plein nez (j’imaginais déjà les germes se baladant sur la serviette, macérant dans une joyeuse vase puante).

J’ai reniflé ce territoire blanc de fond en comble mais aucune odeur ne venait troubler la banquise, c’était le bonheur.
Puis est venue l’étape du décollage (pas vers les cieux, le décollage de la bandelette) et là, autant vous dire que j’étais moins contente.

 

En voulant tirer le tout comme quand on se débarrasse d’une protection féminine, je me suis retrouvée avec le dessus du patch dans les mains, et l’autre bout, la face autocollante, toujours figée à l’entrée de la manche.

Vous auriez bien ri en voyant ma tête et mon air estomaqué, moi j’avais du mal à déglutir et envie de d’appeler le chef de meute de Narta pour le tirer de son sommeil et lui hurler dans le combiné  » C’EST QUOI CE BORDOUL, CAMARADE ? ».

J’ai mis 10 minutes pour tout enlever, parce que bien évidement rien ne voulait partir en un morceau.

 

Et encore deux minutes à ôter les quelques résidus de colle et à râler parce que la doublure avait aussi un peu pris un sacré coup(quelques endroits où la fibre s’était distendue).
Une vraie bataille de salle de bains.
 

Donc oui, je suis super contente parce que ces patchs remplissent leur rôle à merveille, et ne sont pas humides pendant leur utilisation, ils absorbent la transpiration de manière instantanée.

Mais en même temps je suis pas du tout contente parce que je dois me battre avec les aisselles d’un vêtement qui coûte cher pendant vingt minutes, ce que je trouve moyen, surtout qu’il faut faire attention à ne rien abîmer (et que j’ai quand même fait un carnage).

 

Mon conseil à Narta

A partir du moment où l’on se dit que c’est le genre de produit qu’on va utiliser sur des vêtements qu’on met les jours où l’on veut être impeccable, POURQUOI mettre une colle aussi adhésive ?

Il n’y a aucune mention des tissus sur lesquels il vaut mieux éviter d’appliquer les patchs ( au cas où, évitez de les mettre sur des tissus trop fragiles, ou qui n’ont pas de doublure, conseil d’amie), je pense que ça serait utile de rajouter ce « détail » sur l’emballage.

Je ne vais pas vous dire de ne pas les acheter, parce qu’ils m’ont bien dépannée, et que, résultat des course, ma veste sent encore comme au magasin, c’est à dire la boutique neuve.

Mais il faudrait vraiment que la marque revoit la dose d’adhésif, parce que même si ça fonctionne sûrement mieux sur du coton, moi c’est quand je porte du synthétique que ça m’intéresse grandement !

 

Des bisous mes Caribous !
8 Patchs anti-auréoles Narta, environ 4/5 euros en GMS

Caribouland
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23 mars 2013

Cocoon Saturday et mes envies de Japon

Alors voilà.

Cette semaine, sans trop savoir où j’allais, j’ai mis pas mal de choses en favori, et c’est une fois que j’ai fait le tri que j’ai VU.

J’avais encore craqué sur le Kawaï, ce qui vient du japon, les contes de là-bas, les envies de bento et de végétation luxuriante.

Voici donc le meilleur de ce que j’ai trouvé en espérant que ça vous plaise autant que ça m’a plu :

 

Daily disguise

J’aime beaucoup regarder les blogs mode pour avoir des idées (que je n’applique jamais sur moi)(la preuve, je m’habille en totale contradiction avec mes envies)(comme une plouc, quoi).

Je suis tombée un peu par hasard sur ce site, j’ai vu un article qui sentait bon le printemps, les étoffes légères et le soleil.
Et j’ai validé (m’en faut peu).

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Ochikeron

UNE CHAÎNE YOUTUBE, japonaise, où on parle anglais avec un accent à couper au couteau, mais BON DIEU, c’est tellement beau !

Les tutoriels sont très jolis et normalement vous devriez savoir vous débrouiller pour cuisiner ses recettes même sans comprendre ce qu’elle dit.

J’ai surtout eu un gros crush pour les bento (j’avais lâché l’idée, mais maintenant que j’ai vu ces vidéos, ça me reprend).

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Les shippons

Découvertes chez le rose aux joues, des petites bêtes accrochées à un verre, qui font trempouiller leur queue dans de l’eau et permettent à une plante d’éclore. Une création vraiment kawaï qui pourra réconcilier les personnes plutôt nulles au jardin avec les plantes.

A acheter ici
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Ta3mam in Japan

J’ai beaucoup aimé les photos et les récits de voyage de Ta3mam au Japon (et ailleurs).
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Julie Otsuka

J’ai bientôt fini de lire « Certaines n’avaient jamais vu la mer » de Julie Otsuka. Je vous reparlerai de ce livre, un peu à part, très intrigant, mais au style peut-être trop atypique pour certains lecteurs.

« Nous sommes en 1919. Un bateau quitte l’Empire du Levant avec à son bord plusieurs dizaines de jeunes femmes promises à des Japonais travaillant aux États-Unis, toutes mariées par procuration.

C’est après une éprouvante traversée de l’Océan pacifique qu’elles rencontrent pour la première fois à San Francisco leurs futurs maris. Celui pour lequel elles ont tout abandonné. Celui auquel elles ont tant rêvé.

Celui qui va tant les décevoir. 

À la façon d’un chœur antique, leurs voix se lèvent et racontent leurs misérables vies d’exilées… leurs nuits de noces, souvent brutales, leurs rudes journées de travail dans les champs, leurs combats pour apprivoiser une langue inconnue, la naissance de leurs enfants, l’humiliation des Blancs… Une véritable clameur jusqu’au silence de la guerre et la détention dans les camps d’ internement – l’État considère tout Japonais vivant en Amérique comme traître. Bientôt, l’oubli emporte tout, comme si elles, leurs époux et leurs progénitures n’avaient jamais existé. »

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Longévité des japonais

J’ai lu deux articles sur les secrets des japonais pour vivre plus longtemps : le HARA HACHI BU et COMMENT VIVRE 100 ANS.

 

Modjo devient Midaregami

Je suivais déjà le magazine Modjo, et puis d’un coupd’un seul, je ne le trouvais plus dans mon fil d’actu Hellocoton.
Normal, Sarah a ouvert Midaregami, c’est désormais là qu’il faut les suivre.
On y retrouve des articles sur le layering, les must have en cosmétiques japonais, bref, que du bonheur.

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Dossier Hellocoton

La team a réalisé un dossier qui regroupe les plus beaux billets du moment sur les voyages au Japon. C’est très coloré, ça me donne envie de pleurer tellement j’aimerais y aller.

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C’est fini pour ce tour d’horizon de la semaine, plein de fleurs de sakura et de douceur, tous ces liens me rendent hystérique, comme ça c’est dit.

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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23 février 2013

Cocoon saturday, le patchwork #3

Plutôt que de parler envies, j’avais dans l’esprit de vous montrer les petites découvertes du moment, parce que depuis le premier cocoon saturday, je n’ai pas vraiment eu le temps de noter les infos au jour le jour.

Bienvenue donc dans le mini patchwork de la semaine.

 

J’ai eu un coup de coeur pour FILOFAXLOVE

http://rosecocoon.be/wp-content/uploads/2013/02/p11206882.jpg http://rosecocoon.be/wp-content/uploads/2013/02/p1120863-blog.jpg

Grande addict du site Philophaxy, c’est en fouinant les milliers de liens que je suis tombée sur le blog filofaxlove.

Il y a des astuces, des idées à piquer, et surtout des liens vers une boutique ETSY toute mignonne sur laquelle on peut acheter des calendriers, des recharges, et tout ce qui rentre dans un agenda à anneaux.
Vraiment très mignon tout ça !

 

J’ai acheté UN MUG IITTALA

Depuis qu’on est en semi-colocation, j’en avais un peu gros sur la patate : chaque matin, ma grande (moche) tasse était déjà utilisée, ou sale, et donc impossible d’avoir un contrôle dessus.

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J’ai été en ville et j’ai trouvé un mug à 13 euros, bonjour la folie.
Il est beau, on dirait qu’il a du tricot en forme de coeur sur lui, bref, j’aime, je ne partage pas, et vu que c’est rose, personne n’y touche.

Site IITTALA

 

J’ai validé mon bon cadeau sur la PSHIIIT BOUTIQUE

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J’attendais impatiemment que Pshiiit réouvre sa boutique en ligne pour enfin passer commande.

Il y avait énormément de choix et j’ai craqué pour le ZOYA RICA et le rose KERFUFFLE de BUTTER LONDON (rose power, FOREVER).

MERCI à ma dreamteam de fou || Charlène (blog), Odile (Blog), Ma mojita (blog) et Natachouille (blog)

 

La brosse SOS pureté, une tosowoong made in MY CORNER BIO

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C’est LA bonne nouvelle de la semaine pour les petites frenchies que vous êtes : après avoir fait un grand sondage pour lui trouver un nom, la boutique MON CORNER BIO a lancé un dupe de la Tosowoong, la bien nommée SOS PURETÉ.

Elle sera vendue à 20 euros, et surtout, livrée plus rapidement que via WISHTREND.

Le poussin PIOU m’a cassé les pieds !

Un poussin piou, des amis glouglouglou et miaou et wouf, bref de quoi apprendre les animaux de la ferme aux enfants avec une version musicale à la sauce René la Taupe.
Insupportable.

Je crois que finir le patchwork là-dessus est une juste idée.
Passez un bon week-end !

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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