Chick lit : littérature écrite par des femmes pour des femmes.
Ceux qui me connaissent savent que je suis une grande lectrice.
Ceux qui me connaissent encore mieux savent que ma chambre ressemble à un labyrinthe, où pour atteindre l’évier, il faut piétiner des tours de livres.
J’AI une foule de bouquins en attente, des mangas pour adultes, des romans compliqués, des policiers prenants mais dans ma fièvre acheteuse, je n’ai pourtant jamais fait un seul arrêt en librairie au rayon Chick lit.
ETONNANT, SURPRENANT.
J’en ai déjà lu, je pense, ou vu, parce qu’étonnamment, la plupart des films cul-cul à souhait qu’on a pu voir au cinéma sont des adaptations de grands best-sellers pour filles larguées/romantiques/gaga.
Parmi eux, Le journal de Bridget Jones, le diable s’habille en Prada, le journal d’une princesse, et enfin le meilleur pour la fin, Sex and the city.
Ce pan de la littérature n’a pas toujours été bien vu, souvent qualifié de sous-genre, comme incapable d’apprendre quoique ce soit d’autres, aux filles/ femmes, que l’attrait pour l’argent, ce qui se vend, la crise de la trentaine, et les maux de familles.
Certes.
On n’est pas là devant des monuments culturels, mais j’associe la chick lit à des fraises tagada, ça fait du bien d’en manger, mais il faut aussi avoir un peu de jugeotte quant à la quantité à dévorer.
Il s’agit du trésor de guerre à emporter en vacances, où l’on sait pertinemment qu’on n’arrivera pas à terminer du Capote (truman, pas la capote), un bouquin à lire quand on est dans son bain avec un masque à la mangue sur le visage, ou quand on est malade.
Ca s’avale comme des gourmandises.
A acheter
Kinsella, confessions d’une accro au shopping (et les suites)
Bushnell, sex & the city
Laura Caldwell, people attitude
Ca en fait déjà quelques-uns.
Et si vous n’aimez pas lire, il vous reste toujours les films.
Caribouland