Catégorie : Feel Good

19 février 2013

Un filofax, des idées, february setup.

filofax1

Depuis mon premier article sur le filofax, je m’étais dis que si après deux mois, j’en avais marre, c’est qu’encore une fois, j’avais eu une lubie et que j’avais dépensé mon argent pour rien.

On est en février, et je suis toujours aussi addict de mon petit carnet rouge, c’est dire l’amour que je lui porte.

Après avoir fait le tour des vidéos qui présentaient l’organisation général d’un agenda, j’ai commencé à virer du côté des espaces créatifs, à regarder ces gens fabriquer plein de chose pour pouvoir faire de leur filofax un espace bien à eux.

Et, encore une fois, j’ai craqué.

filofax2.jpg

J’ai dabord commencé par les outils d’écriture, je cherchais du kawaï, du multicolore, du « je sors un peu de l’ordinaire ».

Puis je suis tombée sur un article où une femme toute joyeuse fabriquait ses propres intercalaires et ça m’a rendue heureuse.

J’ai donc fait une virée dans un rayon de scrapbooking, j’ai bavé devant tous les coloris de papiers disponibles, et je suis repartie fière comme un paon avec des imprimés vintage façon papier-peint des années 70.

filofax3.jpg
Tout ce bricolage a eu pour conséquence une modification de l’intérieur de l’organiser, j’ai commencé par faire des catégories un peu plus logiques et qui correspondent à mes occupations :

  • une partie DIARY : dans laquelle se retrouvent le FOOD DIARY (et une petite « latte » Homemade, histoire d’accéder directement à la bonne page)
filofax5.jpg filofax4.jpg
  • une partie SANTE/SPORT : dans laquelle je mets le journal de mes migraines (so sexy), et les courses à pied que je fais (en ce moment c’est plutôt rare, mais mon bidou crie « VA COURIR » à chaque madeleine que j’enfourne, ça pourrait peut-être me motiver). J’ai aussi mis une sous catégorie « NOTES » dans laquelle je mets mes bouquins lus, ceux que je veux lire, et mes wishlists.
filofax6.jpg filofax7
    • une partie PROJETS/BLOG : dans laquelle j’écris toutes les idées de revues à venir, ou déjà faites, mes réflexions sur les soins de la peau en général

 

  • une partie FINANCES/INFORMATIONS : je n’ai pas encore fini l’intercalaire, il lui faut encore un onglet digne de ce nom, mais c’est dans cette catégorie que j’écris les informations plus générales, que tout le monde préfère oublier.

 

Je n’ai gardé que deux sections pour le carnet d’adresse, parce qu’en général, je n’écris jamais que les numéros vraiment importants, et d’enlever les séparateurs m’a libéré de l’espace.

filofax9.jpg filofax8.jpg

 

Donc voilà, tout ce petit monde tient dans mon filofax, et je suis plutôt fière de mes intercalaires homemade même si je sais que je peux pousser l’artiste que je suis encore plus loin.

filofaxend

Si vous avez aussi ce genre d’agenda, évitez l’achat (toujours trop onéreux) d’une troutrouteuse à 6 trous. Avec une simple perforatrice à un trou, et moins de cinq euros déboursés, vous devriez déjà pouvoir faire pas mal le foufou.

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
FacebooktwitterpinterestinstagramFacebooktwitterpinterestinstagram
22 décembre 2012

Le patchwork de la semaine #2

Depuis Samedi passé, le monde est devenu fou, et si vous êtes capables de lire cet article c’est que vous avez passé une bonne nuit post-apocalyptique.

Voici donc, pour vos beaux yeux, le second Patchwork de la Semaine !

 

On commence avec le Monsieur Poisson du jour

L’homme est devenu célèbre en faisant de son slogan de vente de cabillaud un hit parade de (mauvais) style.

Attention les oreilles, c’est assez agressif et entêtant, la mélodie reste en tête un bon moment. (Y a que moi que ça choque qu’il traite les donzelles qui se dandinent de « one pound fish » ?)


J’ai été fascinée par le Pink Lake.

Aussi appelé le lac rose ou lac Hillier (Australie), il fascine pas mal les scientifiques et les amateurs de beaux paysages.

pinklake.jpg v40kuxt3.jpg

Un article sur le sujet

 

Miguel Endara a poussé son art encore plus loin.

Avec un dessin composé de plus de deux millions de points, il pousse l’idée de dessin à son paroxysme, l’approchant de la vision du réel où tout morcellement prend son sens dans la vision de loin.

miguel.jpg

Les vernis changent de couleur

Avec les Thermo Twist d’Allessandro International.

thermotwist.jpg Qu’ils passent du bleu au violet, du rose au rouge ou du brun à l’orange, apparemment ce serait LA tendance du moment.

Moi ça me fait plutôt penser aux bagues que j’avais NAGUERE et qui changeaient de teinte selon la température du corps.

Quand ils arriveront à faire un vernis qui passe par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel,  à ce moment là, je serait sûrement tentée.

Un article Test ici

 

Et dans un tout autre registre

je déclare le jus Tropicana Magnesium meilleur jus de grande surface pour affronter l’hiver et se remplir le ventre de vitamines.

Ce n’est pas une nouveauté, ça fait un moment que j’en bois, mais le goût est délicieux comme tout (faut aimer la banane et la passion par contre).

 

Passez un bon week-end les caribous !

Caribouland
FacebooktwitterpinterestinstagramFacebooktwitterpinterestinstagram
21 décembre 2012

La Kobo Glo, la liseuse qui permet de lire dans le noir

Nous y voilà !

J’ai un peu attendu avant de vous faire cette revue, parce qu’il me fallait un peu comparer la Kobo en général avec les autres marques du marché, mais aussi un peu plus apprivoiser la liseuse et ses spécificités.

kobp-copie-1.jpg

Et c’est donc avec une grande émotion que je vous partage ma vidéo à ce sujet :

0mn : Introduction || 4mn :: Présentation de la Kobo Glo || 20mn ::: Mon avis sur la liseuse

 

Pour ceux qui ne veulent pas regarder la vidéo

Il existe plusieurs e-reader sur le marché, dont les marques les plus connues sont Kindle (d’amazon), Kobo (by Fnac), Reader (de Sony), Cybook (par Bookeen), et la Nook (par Barnes & Nobles).

Amazon étant leader du marché, la kindle reste aussi une liseuse qui est restrictive car elle ne lit pas le format le plus répandu dans ce domaine à savoir l’epub. (Ce qui oblige la conversion avant de pouvoir lire le fichier).

Les prix sont identiques sur Amazon et sur la Fnac, où certaines aberrations comme celle représentée ci-dessous montre bien qu’il faut encore faire preuve de vigilance lorsqu’on doit faire le choix entre un format papier ou numérique.

epubebook.jpg La Kobo Glo, ses atouts et ses défauts

Je pense que dans l’ensemble, c’est une très bonne liseuse.

Son gros avantage c’est sa technologie LightLux (lumière diffusée VERS l’écran et non vers le lecteur) qui me permet de lire dans mon lit et ce, sans devoir me relever pour éteindre ma lampe.
(Technologie de feignasse, tu me diras)

Son écran a une bien plus haute résolution que les éditions précédentes ce qui vous assure une lecture précise et un rendu moins « flou » des lettres d’un texte.

(Les mangas rendent d’ailleurs très bien sur ce support !)

Elle donne envie de lire un livre.

Elle est très agréable à prendre en main, l’écran est un chouilla tropgris à mon goût mais fait bien penser à du papier.

Le fait de pouvoir personnaliser la typographie du texte me permet de personnaliser un livre pour qu’il soit plus agréable à lire.

 

La batterie dure vraiment longtemps : en deux semaines et demi de lecture, il me reste un peu plus de 30 pourcents du total. Je pense donc que ça dure bien un mois sans problème, avec la lumière allumée de temps en temps et à éclairage plutôt faible.

Elle est plutôt légère même si ce n’est pas LA plus mince du marché, elle s’est très vite trouvé une place dans mon sac à main. Il faut voir les regards des gens dans le métro, ils se demandent si c’est une tablette ou pas, il y en a certains qui passent presque la tête par dessus mon épaule pour jeter un coup d’oeil.

Ça me rappelle l’époque où je promenais bébé chihuahua dans le tram.

Elle dispose d’une connexion wifi qui permet une synchronisation quasiment immédiate avec le kobo desktop.

Elle a des dictionnaires intégrés qui me permettent de faire une recherche directement via la kobo sans devoir aller chercher un Larousse.

Elle a un port pour une mini carte SD qui permet d’étendre votre bibliothèque de 1000 livres jusqu’à 30 000 livres, ce qui devient PLUTÔT conséquent comme réserve culturelle.

 

En 24 livres achetés via la fnac, vous rentabilisez l’objet et évitez aussi une consommation de papier nécessaire à l’impression de votre livre.

Personnalisez votre Kobo Glo

Du côté des défauts,

Le fait de ne pas avoir l’objet « livre » dans les mains peut perturber au début même si on se fait vraiment très vite à l’écran de la kobo.

On perd le côté nostalgique mais on gagne en praticité. (on ne peut pas tout avoir mon petit gars !)

On est un peu perdu quand on passe d’une tablette tactile à l’écran de la kobo : cela reste moins réactif mais encore une fois, j’insiste, il ne s’agit pas du même genre d’écran ni du même genre de support technologique.

Le fait de ne pas POSSÉDER les bouquins qu’on achète, ou la méfiance qu’on peut avoir envers le numérique pourra influer sur votre envie d’acheter une liseuse ou pas.

La différence de prix entre la version papier et numérique est encore très faible même si certains éditeurs essayent de faire des efforts. Sur ce point-là, Amazon a une grande avance.

Tout le monde ne dispose pas d’une carte de crédit, seul moyen sur la fnac et le kobo desktop, d’acheter un livre numérique.

 

Info logiciel et mot de la fin

Parce qu’on ne trouve pas toujours des ebooks dans le bon format, vous pouvez gérer vos bouquins, les convertir et les synchroniser sur votre kobo via le logiciel CALIBRE. Plutôt utile, car le format epub est vraiment le plus optimal pour la lecture sur liseuse.

Dictionnaire intégré

Si vous hésitez car vous avez peur de faire un pied de nez à toute l’institution culturelle du livre papier : sachez que d’acheter une liseuse permet essentiellement une plus grande facilité de transport et surtout une disponibilité immédiate d’une oeuvre (en un clic c’est acheté et sur la kobo).

Ca ne vous empêchera pas de lire encore des VRAIS livres à l’avenir, les formats numérique et papier sont totalement COMPLEMENTAIRES à mon sens et vivront très bien ensemble.

Puis moi, je compte toujours bâtir une bibliothèque de malade quand j’aurais un chez-moi donc j’ai besoin de bouquins physiques.

 

J’espère vous avoir aidé à y voir plus clair en essayant de faire le tri entre ce qui est purement technologique et ce qui est important pour un lecteur à savoir le confort de lecture.

Si vous avez encore des questions ou autre suggestions, n’hésitez pas à vous manifester dans les commentaires.

 

Des bisous les caribous !

Kobo readers – Acheter la Kobo sur le site de la Fnac

Caribouland
FacebooktwitterpinterestinstagramFacebooktwitterpinterestinstagram
15 décembre 2012

Cocoon Saturday, le patchwork de la semaine

C’est parti pour le Cocoon Saturday, un patchwork des envies, coups de coeur et découvertes de la semaine…

3..2..1..GO !

 

Cette semaine j’ai découvert

Margaud Q et ses chroniques littéraires.

J’ai remis le pied à l’étrier niveau lecture, du coup quand je suis tombée sur sa chaîne j’ai découvert un tout autre univers youtubesque.

Si vous êtes en panne d’inspiration, que vous voulez vous jeter dans un nouveau bouquin mais sans savoir vers quoi vous diriger, ses vidéos sont une bonne piste de départ.

Sa chaîne Youtube


J’ai eu envie

De recommander des capsules Nespresso Variations à la Noisette.

Nespresso a sorti trois nouvelles saveurs pour la fin de cette année, et j’ai pu goûter celle à la noisette.

saveurnoisett.jpg

Elle a un goût succulent de café praliné avec une odeur de noisette très bien amenée.

Du coup, en moins d’une semaine, j’avais utilisé les dix capsules et il ne me restait plus que les « bêtes » volluto et finezzo lungo à me mettre sous la langue.

Quand la commande sera arrivée, je me ferais un petit liégeois à la noisette de derrière les fagots, la recette a l’air simple et succulente.

Nespresso Shop

nespresso.jpg

 

J’ai complètement flashé

Sur les Menso brush de Kuretake

Les poils sont super fins, ça vend du rêve pour travailler avec l’encre de chine.

Et moi je n’osais pas les acheter.

A plus de 10 euros pièce chez Schleiper, j’ai préféré les laisser sur les présentoirs, mais depuis je rumine comme une vache en me demandant si je n’aurais pas du les acheter.

Kuretake SHOP

kuretakemensobrush.jpg


Pour le beau Noël d’Hellocoton, 
une playlist de circonstance a été créée.

A vous les grelots, les pantoufles et gros marshmallows perdus dans un chocolat chaud tout en dandinant gaiement du cuisseau sur vive le vent.
hellocoton.jpg La playlist d’Hellocoton

 

Kérastase a sorti le grand jeu,

avec un sérum capable d’impulser la croissance du cheveu pour le rendre plus fort et retexturisé, tout ça, avec des cellules végétales natives.

kersastas.jpg

Je vous avoue que pour ce petit sérum qu’on présente comme un miracle presqu’emplit d’or, je reste sceptique.

Je n’ai trouvé la composition nulle part, j’attend donc sa sortie (?) pour qu’un peu plus de monde en parle.
Mais avec un tel discours, le packaging très classe, les « 24 années de recherche » pour arriver à un résultat qui coûte 60 euros les 50ml, l’histoire a intérêt à se terminer d’une manière divine.

La page du produit

 

C’est tout pour les news !

Passez un bon week-end les caribous !

Caribouland
FacebooktwitterpinterestinstagramFacebooktwitterpinterestinstagram
11 décembre 2012

La liseuse électronique m’a fait oublier le papier

J’ai des principes.

Comme : pas de réveil sans café et trois madeleines, pas de bien-être sans soleil, pas d’envie sans fraises.

Et le livre papier a toujours fait partie de ma structure intellectuelle : pas d’amour de la lecture sans une main qui glisse sur la couverture, et pourtant j’ai acheté une liseuse.
En toute connaissance de cause, mais j’en ai acheté une quand même.

 

J’avais parlé ICI de ma réticence à basculer dans l’ère numérique pour ce genre d’objet, que rien ne pourrait détrôner le plaisir de lire avec une lampe de poche sous la couette, mais mon cerveau a un peu mûri depuis, et j’ai grandement changé d’avis.

kobo.jpg

Quand j’ai pris l’objet en main en magasin, je l’ai trouvé très léger.

Plus léger qu’une édition de poche, un peu plus de 150 grammes au compteur, la Kobo Glo me faisait de l’oeil et je suis repartie avec en me délestant de 130 euros.

J’avais un peu étudié la chose, je savais dans quoi je me lançais mais pas en quoi tout ça allait changer ma façon d’appréhender un bouquin.

J’attendais de voir.

 

Quand on était jeunes (ou plus petits, plutôt), il y avait des prix organisés à l’école primaire pour « à qui lira son livre plus rapidement que ses camarades de classe ».
J’excellais, j’arrivais dans le peloton de tête, j’avais des récits qui vagabondaient dans mon esprit et le goût de la victoire sur les lèvres.

Je lisais vite.

J’avais déjà cet amour pour la feuille, pour les caractères imprimés, pour les bouts de pages qu’on abîme, qu’on tord, la souplesse du tirage, une institution dans les mains.

Mais la liseuse permet d’aller beaucoup plus loin.

 

La différence entre un livre papier et sa version numérique

Au niveau du prix, elle est minime : à part pour les versions gratuites car libres de droit (les classiques, comme Hugo, Zola, etc), il y a une différence ridicule entre les deux versions, qui est souvent à hauteur de 4 ou 5 euros.

Un peu compliqué de comprendre la comprenure, la plupart des grandes maisons d’éditions refusent d’expliquer pourquoi parfois certains livres numériques sont même plus chers que la version papier.

 

Sachant qu’une édition numérique fait l’impasse sur l’étape « production-impression » de la chaîne, c’est l’éditeur qui tire le plus gros profit de ce changement de support (même s’il y a prix réduit pour le livre numérique, sa marge reste plus importante qu’avec une édition papier vendue plus chère).

Tout ça n’a pas l’air de faire bouger le monde de l’édition pour aboutir à une possible démocratisation du livre numérique, ce malgré les réactions en chaîne des lecteurs conquis par les liseuses.

C’est pourquoi, le plus souvent, le public se tournera vers les réseaux parallèles qui proposent des livres récents gratuitement…mais de manière illégale.

 

L’acheteur doit aussi, dès le départ, être conscient qu’il achète une liseuse qui ne lui donnera pas la sécurité de disposer pour toujours d’un livre numérique, quand un support papier dure plus de 30 ans.

 

Mon expérience après deux semaines de liseuse

J’ai donc acheté la Kobo Glo, qui est une Kobo qui possède une frontlight, un éclairage LED par l’avant qui ne fatigue pas du tout mon oeil(et non un RETRO-ECLAIRAGE, qui lui est similaire à celui des ordinateurs, mobiles, et autres tablettes) .

 

Je vous ferai une revue plus technico-fournie prochainement sur le produit en tant que tel, mais du point de vue de ma maigre expérience, voici ce que j’en tire :

  • une liseuse est beaucoup plus transportable(on sait bien que les sacs des filles sont souvent remplis de briques)
  • en deux semaines j’ai plus lu que ces trois derniers mois
  • la qualité de l’écran rappelle vraiment le papier (technologie e-ink)
  • l’autonomie est excellente (je suis à 54% alors que je lis avec la led de l’appareil allumée la plupart du temps)
  • la capacité est énorme : plus de 1000 livres peuvent-être mis dessus (un must pour emmener plusieurs livres avec soi en voyage)
  • elle ne remplacera pas le papier : que cela soit pour les Beaux Livres pleins d’images ou pour les mangas dont je préfère avoir les collections complètes physiques, je pense qu’il s’agit d’un support complémentaire au « vrai » livre

 

Pour tout vous dire, j’ai eu comme un électrochoc quand j’ai commencé à lire sur ma liseuse.

Je me suis dit que si plein de gens faisaient pareil, on pourrait sauver la planète (ah mon rêve en tant que Miss Monde).
Plus sérieusement, elle me suit partout, tout comme mon filofax, ça me fait deux bébés qui dorment au pied de mon lit sans brailler ni chouiner.

La classe.

 

Je suis plus que furieusement conquise par le concept, l’avancée culturelle que (je pense) ça apporte, et surtout sa parfaite adéquation avec les trajets en transport en commun.

On pourra dire ce qu’on veut, remuer le débat ancien/nouveau comme une vieille marmite dont la soupe a brûlé tropvite dans le fond, mais parfois la technologie nous dirige vers un mieux.

Et c’est une vieille goumiche attachée aux traditions qui vous le dit.

 

Bonne journée les Caribous !
A suivre : La revue sur la Kobo Glo

Caribouland
FacebooktwitterpinterestinstagramFacebooktwitterpinterestinstagram