« On appelle cocooning, coconnage ou coucounage l’attitude consistant à se trouver si bien chez soi qu’on n’est guère poussé à en sortir excepté pour les nécessités vitales. L’idée est assez proche de ce que l’on nomme en français plus classique un comportement casanier (de casa, maison). »
Ca faisait tellement longtemps que j’en éprouve un agréable sentiment. Les pantoufles molletonnées, l’incroyable sensation d’être dans une couette moelleuse.

On m’a conseillé de regarder Sailor et Lulla, puis surtout de prendre du temps pour penser à moi.

Les dimanches c’est le must du Cocoon, avec des pâtisseries plein la bouche, les doigts remplis de couleur, une envie terrible de se faire des masques à l’argile verte et de rester au moins une heure dans un bon bain chaud. (Dans sa crasse diront les plus sceptiques)

J’ai la chance d’avoir un feu ouvert chez moi apparemment. MUST de la femme en manque de douceur, je peux passer des heures à le regarder, une tasse de thé à la main.
Certains traitent ce comportement de mamiesque, dans le genre « t’as rien d’autre à foutre de ton dimanche ? »

Bah, faut croire que non. A part traînasser avec un sourire mièvre tellement ça fait du bien de prendre soin de soi.

Mais j’assume l’idée à fond la caisse.