« A bruxelles, chaque matin, il pleut trois gouttes, histoire de. »
J’ai réussi à passer par le chat d’une aiguille pour arriver en master, comme on se pose un peu ébahie par le périple. Il s’agit d’être motivée, de s’acheter un nouvel agenda, d’avoir plein de choses à écrire, à noter, à gérer. On redevient un daily wonder woman, qui se sait en surcharge de boulot mais qui fait toujours bonne figure, le talon cassé et le chemisier mal boutonné; il n’y a que charme qui compte.
J’ai déjà fait calculé mes revenus, observe vaguement la perspective d’un nouvel objectif pour mon appareil photo, histoire de (encore une fois). Mon chien boude les moments où je reprends le clavier, me regardant d’un air désespéré « viens, on va se promener ».
« L’herbe sent horriblement bon le matin », mon nez a repris du service à 2 mois et demi post-op. J’ai encore le nez gonflé comme le bonnet d’un champignon, et un tour de tête assez changeant.
Il y aura la rentrée littéraire, avec les bouquins sur lesquels je me doit de me jeter.
Haruki Murakami, 1Q84, Tome 1 et 2
Ceux que je suis encore occupée à lire, comme Un jour, de David Nicholls, le plus cul-cul insoutenable, dans le genre je t’aime moi non plus, tout à fait ce qui peut tenir une lectrice en haleine du début à la fin du livre. Surtout que c’est bien écrit, et horriblement réaliste.
Livre dont est tiré un film niais et sans couleur,
avec une Anne Hataway qui ne colle pas du tout au personnage initial de l’auteur.
Ma chambre a encore son bordel de fin de vacances + estudiage intensif (ou pas) de la dernière session d’examen. Y a pas à dire, la rentrée ça rime avec laisser-aller et scrogneugneu.
Caribouland