25 décembre 2011

Christmas mood

Il arrive qu’au fur et à mesure de ma vie, je me retrouve empêtrée comme une pauvre bête dans une toile d’araignée, et ce malgré moi.

Après avoir connu une série de mésaventures cette année, il semblerait qu’on ai atteint le sommet aujourd’hui, avec MOI dans le rôle de MOI me voyant demander : « pourquoi dois-je repasser deux cours de troisième année si j’ai reçu une attestation de réussite à mon nom le jour de la proclamation des résultats ? »

A quoi on me répond :

« Mais mademoiselle c’est impossible, vous avez encore des crédits en troisième »

Et bien si c’est possible, et c’est sur moi que ça tombe.

Panique et crise dans le tram, j’ai rejoint la maison sur les rotules, râpée que j’étais de la tête aux pieds.

Reflexe de gosse, je me suis mise à penser au Santa, au sapin, aux boules de noël et à la bûche. Je me suis fait du thé, et me suis baladée sur la toile en pensant aux guirlandes, et aux lumières multicolores qui commençaient à décorer les maisons.

Sources : click sur image

Caribouland
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17 décembre 2011

Ou comment j’ai acheté une blackberry playbook

Depuis trois mois, ma mère me bassinait avec son envie d’acheter une tablette numérique qui puisse accueillir ses recettes de cuisines et tout son brol d’idées culinaires, du coup, à force de recherches, j’étais devenue une banque de données en la matière.

J’en avais toujours voulu une, bien que j’avais déjà un ordinateur de 17 pouces, et un gsm tactile, mais il me manquait comme « un petit truc, un entre-deux ».
La semaine dernière, il y avait une promotion sur la Blackberry playbook, on réduisait son prix de 200 euros (WHAT ?) d’un coup pour essayer de limiter les dégâts dus à ses ventes catastrophiques jusqu’ici.

Ma mère a demandé à la voir, le vendeur lui a montré l’engin. Et je me suis vu dire « moi aussi, mettez-m’en une ».

Pas une baffe, une tablette. (Remarque, une baffe n’aurait pas été superflue.)

 

DSC_7781

 

597 euros plus tard, on avait les joujoux en mains et on souriait comme des gamines. Arrivées à la maison, on a tout déballé, et dès que j’ai pu, j’ai mis des films dessus, des applications complètement gadget, etc.

 

Pourquoi j’ai fait la crazy-folle acheteuse :

  • parce que ça coordonne parfaitement avec mon blackberry torch
  • ça m’évite d’ouvrir mon ordinateur quand j’ai juste besoin du net (mais en format plus grand que sur mon gsm)
  • l’écran est magnifique au possible, c’est du 7 pouces, mais c’est agréable à l’oeil, et super fluide au toucher.
  • l’autonomie est excellente : 9h en utilisation courante (regarder des films, recherche net, jeux)
  • pour le prix auquel elle est vendue pour l’instant, ça devient VRAIMENT un cadeau.

Ceux qui n’ont pas de blackberry auront plutôt tendance à passer leur chemin, la tablette vantant surtout ses prouesses de synchronisation avec les gsm de la marque.

Alors si vous avez de l’argent à claquer dans un BEAU cadeau pour un geek de la famille, faites lui plaisir.

On a jamais trop de media chez soi, puis quand ça brille, ça rend gaga.

 

Bonne neige.

Caribouland
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15 décembre 2011

Le point Carmex du jour

Vrai, le froid est revenu, et perdue entre les flaques et le vent, j’avais oublié de prendre soin de moi.

Cotations obligent, je n’avais plus le temps pour rien, sauf pour des douches rapides, qui en soi, me faisaient perdre du temps, du coup, mon corps est devenu un machin tout sec, et mon visage un champ de ruine.
Plus de wash wash nuxe, plus de crème de jour, de nuit, de dé-stress, rien que le sommeil pour réparer mes écarts, autant dire que cela n’a JAMAIS suffit à quiconque.

Dès qu’il fait froid donc, réflexe bizarre, je me dirige d’un pas assuré vers une para-pharmacie et je m’achète du Carmex.

Parce que c’est le seul baume à lèvres qui fonctionne malgré une compo douteuse (et que labello, depuis le temps, j’ai fait l’impasse dessus, vu « l’efficacité »), qui donne un goût mentholé aux lèvres et les hydrate IMMEDIATEMENT à un prix franchement démocratique pour l’utilisation que j’en fais.

 

http://rosecocoon.be/wp-content/uploads/2011/01/carmex-original-jar-detail.gif

 

Il y en a plein d’autres. Mais moi dès que ça devient fantaisiste, ou a un goût trop particulier je préfères ne pas tester.

Si vos lèvres tombent en morceaux, je vous le conseille vivement.

Caribouland
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8 décembre 2011

La chick lit à la loupe

Chick lit : littérature écrite par des femmes pour des femmes.

 

dame

 

Ceux qui me connaissent savent que je suis une grande lectrice.

Ceux qui me connaissent encore mieux savent que ma chambre ressemble à un labyrinthe, où pour atteindre l’évier, il faut piétiner des tours de livres.

J’AI une foule de bouquins en attente, des mangas pour adultes, des romans compliqués, des policiers prenants mais dans ma fièvre acheteuse, je n’ai pourtant jamais fait un seul arrêt en librairie au rayon Chick lit.

ETONNANT, SURPRENANT.

J’en ai déjà lu, je pense, ou vu, parce qu’étonnamment, la plupart des films cul-cul à souhait qu’on a pu voir au cinéma sont des adaptations de grands best-sellers pour filles larguées/romantiques/gaga.

 

Parmi eux, Le journal de Bridget Jones, le diable s’habille en Prada, le journal d’une princesse, et enfin le meilleur pour la fin, Sex and the city.

Ce pan de la littérature n’a pas toujours été bien vu, souvent qualifié de sous-genre, comme  incapable d’apprendre quoique ce soit d’autres, aux filles/ femmes, que l’attrait pour l’argent, ce qui se vend, la crise de la trentaine, et les maux de familles.

Certes.

On n’est pas là devant des monuments culturels, mais j’associe la chick lit à des fraises tagada, ça fait du bien d’en manger, mais il faut aussi avoir un peu de jugeotte quant à la quantité à dévorer.

 

Il s’agit du trésor de guerre à emporter en vacances, où l’on sait pertinemment qu’on n’arrivera pas à terminer du Capote (truman, pas la capote), un bouquin à lire quand on est dans son bain avec un masque à la mangue sur le visage, ou quand on est malade.

Ca s’avale comme des gourmandises.

 

A acheter 

Kinsella, confessions d’une accro au shopping (et les suites)

Bushnell, sex & the city

Laura Caldwell, people attitude

Ca en fait déjà quelques-uns.

 

Et si vous n’aimez pas lire, il vous reste toujours les films.

Caribouland
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