Ayant vu pas mal d’articles qui faisaient des « baaaah » et des « bouuuuuuh », j’ai décidé, en tant que célibalentintaire (célibataire un jour de saint valentin, faut suivre), de vous faire une ode à l’amour, avec paillettes scintillements et pancakes à la fraise.
ODE
Aujourd’hui,
des millions de doudoux, chouchous, minous se baladeront dans les rues, s’enverront des messages roses et romantiques, en ayant « hâte de se voir ce soir », monsieur ira vite cueillir des roses chez le fleuriste du coin, et mademoiselle se sera faite toute belle comme pour un jour d’exception.
Il y a tellement de Saint-Valentin, celles en famille, où l’on s’offre des chocolats autour d’un repas de fête, celles plus prestigieuses que l’on passe à l’hôtel ou dans un château hors de la ville, puis celles toutes simples où l’on se retrouve en fin de journée, un sourire plaqué sur les lèvres, contents de pouvoir souffler un peu d’amour à deux.
Les Saint-Valentin commencent par un matin, se finissent au soir avec des « bonsoir », des « je t’aime », parfois/par moments des « au-revoir ».
Sûrement qu’il y aura des déçus, des envieux, des crapougneux qui mangeront tout le chocolat en regardant par la vitre les gens qui se serrent bien fort dans la rue d’en-bas.
C’est juste un jour qui m’évoque l’amour, de l’amour tout court, plein les murs, plein les mirettes, pour les gens qu’on aime et qui nous aiment.
Et puis pour les cadeaux, tu sais, on peut faire l’impasse.
Du moment qu’on se lève tous ce matin comme des kangourous bienheureux.
Joyeuse GninGninGnin.
Caribouland