9 février 2012

Une fleur en bouteille

Aujourd’hui, je vous propose de découvrir un projet à la fois design et étrange : des plantes en boîte.

Ou plutôt placées dans des bouteilles, des cubes, des espaces clos et stériles, avec pour seule source d’énergie et de vitamines le gel qui se trouve au fond de l’objet.

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Le principe : faire se développer la plante pendant quelques mois sans autre apport qu’une exposition modérée au soleil.

Il s’agit donc de poser le pot à un endroit et de ne plus y toucher.

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De prime abord on peut se dire que c’est un non sens d’enfermer la vie dans un espace aussi réduit, mais il s’agit surtout de créer un microcosme qui se suffise à lui-même.

On peut choisir sur le site à la fois la couleur du gel, mais également le contenant.

Quant au contenu, il y a des plantes carnivores, de l’aloe vera, des roses du désert, des ceps de vigne présentés dans des bouteilles de vin, mais le choix reste plutôt restreint.

 

Je pense surtout que c’est une bonne idée cadeau pour un parent, ou une très bonne amie, mais également pour les personnes qui n’ont pas spécialement le temps de s’occuper d’une plante et qui veulent faire du végétal une pièce design.

 

Un dernier mot pour les amoureux, j’ai eu un coup de coeur pour celle-ci, proposée en édition limitée pour la St-Valentin.

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Si vous êtes conquis(es), plus d’informations sur le site de greenfeel

Compter à partir de 40 euros pour les plus petits modèles.

 

En tout cas moi je sais quoi offrir pour la prochaine fête des mères.

Caribouland
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8 février 2012

Neostrata et ses AHA

J’ai décidé, il y a un petit moment de ça, de m’occuper de mes problèmes de peau. En général, on fait un tour chez le dermato, puis un deuxième, et puis sans arrêt, parce qu’une crème ne marche pas, l’autre est trop agressive, une autre décolore tout et fait des taches. En somme, j’en suis ressortie comme un gladiateur sort d’un tournoi, crevée et pleine de balafres (pas en vrai hein !), sans avoir gagné un seul match.

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On se pose.

Les boutons sont toujours là, plic ploc sur le nez, des microkystes sur le front, a-t-on connu plus joli faciès ?

Je me suis baladée sur le net, farouche et désespérée, à la recherche de milliers de recettes, pour finalement tomber sur ce que je voulais : les AHA.

HAAAAAAA !

 

Pareil que pour le bio, trois lettres qui m’inspirait une société secrète très active, ou des blagues du genre « AHA-TCHOUM ».

Mais rien de tout cela.

 

Viens que je t’explique…

« Cléopâtre était reconnue pour sa grande beauté, et plusieurs des soins qu’elle utilisait ont traversé les siècles. Ainsi, la reine égyptienne fut l’une des premières femmes à avoir découvert les bienfaits des AHA (de l’anglais alpha hydroxy acids) avec ses fameux bains au lait d’ânesse – l’acide lactique du lait est un AHA. »

 

J’ai acheté une crème d’une marque apparemment STAR outre-atlantique : la Neostrata dosée à 10% d’acides de fruits (glycolique et citrique).

Au début tu l’appliques avec parcimonie, parce que ça coûte 30 euros les 40ml QUAND MÊME, et surtout pour ne pas te brûler la peau.
Mais au fur et à mesure que la peau devient lisse, utiliser cette crème devient vraiment addictif.

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Une semaine après le début du traitement, je suis déjà avec une peau bien plus lisse sur les joues, quasiment plus rien sur le front, il y a juste mon copain menton qui fait encore de la résistance.

Les premiers jours ta peau se purifie en somme, tout ce qui est cracra remonte à la surface, parce que la crème crée une micro exfoliation assez profonde; on peut se retrouver avec la peau qui pèle ou encore qui pique à l’application. Mais comme j’ai le derme aussi fort qu’un bouclier anti-missiles, je n’ai pas eu droit à ces désagréments.

 

On verra ce que ça donne sur le long terme !

Caribouland
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7 février 2012

Le bio me hante

Ce n’est pas un choix de vie, ou ma manière de penser qui sont altérés, disons que je n’ai pas certains réflexes légumiers, du mal à choisir un kiwi bio plutôt qu’un kiwi pas bio, parce que pour moi c’est pareil.

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J’ai pourtant déjà regardé des sujets là-dessus, comparé, et personnellement la plupart du temps ce qui n’est pas bio a plus de goût que ce qui l’est (ou du moins la différence reste minime).

Je vous vois déjà, foule en délire, OUAIS MAIS NAN TU T’MEPRENDS, LE BIO CA DECHIRE.

 

D’abord, m’sieur, qu’est-ce que c’est au juste ?

« L’agriculture biologique est une méthode de production agricole basée sur le respect du vivant et des cycles naturels, qui gère de façon globale la production en favorisant l’agro-système mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et les cycles biologiques »

En gros, c’est revenir à ce que faisait les agriculteurs auparavant, avec une terre mise en jachère tous les ans, pour la faire se reposer, et faire tourner ainsi les cultures sur trois terrains, en variant la popote avec des produits sains, ce qui à terme permet de fournir des fruits, des légumes, des céréales qui ne portent que peu ou pas de traces de polluants chimiques.

Le battage qu’il y a eu depuis la découverte de ces trois lettres m’a toujours un peu paralysée, étant donné que ce label a même envahi les espaces cosmétiques, au niveau des crèmes, des fonds de teint, des poudres, des huiles.

Il y a comme une âme invisible qui trône au-dessus de certains rayons dans les magasins que je fréquente, qui fait augmenter les prix d’une pomme qui ressemble pourtant bien fort à celle posée juste à côté.

Puis l’idée me hante, est-ce que je fais mal ?

Dois-je forcément acheter du bio quand je passe devant ?

 

Je danse d’un pied sur l’autre, sans en comprendre plus, mais toujours je retourne vers les paquets que je connais, qui contiennent de quoi faire de moi une enfant où se concentre autant de produits nocifs que sur le site de Tchernobyl.

Parce que je ne me vois pas pousser une troisième oreille et que finalement, puisque le goût ne ment pas, pourquoi changer.

 

Et vous, ça vous a transformé votre vie le bio ?

Caribouland
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6 février 2012

Dieu danse la zumba en collants

On ne prêche pas une convaincue, certains jours il est vrai, je pense que Dieu existe, un dieu en collants, qui danse la zumba pendant que je prends mon pied sur terre.

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Ces jours-là commencent bien, je suis comme une fleur de printemps fraîchement éclose qui s’épanouit au saut du lit. Je me sens telle une bonne âme, une vierge, innocente et de bonne humeur. Mon pyjama sent la rose et aucun bourgeon n’a poussé sur ma peau pendant la nuit.

Quelle pêche.

C’est un jour à se pavaner, à courir dans la rue comme une petite fée dans les bois, à faire croire aux passant qu’on est, ON EST, la merveille du quartier.

 

On ne rate pas un bus, chaque correspondance s’enchaîne, les changements de tram ne se font pas sentir, et si les voyageurs sont maussades, on les voit sourire au soleil quand ils font la grimace.

Puis tu reçois un e-mail, qui prolonge l’effet des hormones du bonheur.

Non vraiment, ces jours-là, je me sens comme un Bruce tout puissant qui a reçu son permis d’avoir de la chance dans tous les domaines.

 

Manquerait plus qu’on aille tous bien.

Je m’en vais savourer mes endorphines.

 

Bonne journée.

Caribouland
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4 février 2012

L’artwork du samedi

Cela fait quelques mois maintenant que je fais des dessins.

J’ai découvert assez récemment les plaisirs du tracé à la plume remplie d’encre, qui laisse une impression bien différente du crayon.

Je trouve ça plus doux, j’aime beaucoup.

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