2 mai 2012

Le jour où j’ai voulu être noire

Fait véridique, quand j’étais petite, je pensais qu’on pouvait changer de peau.

Passer du blanc au noir, au jaune, voire au vert.

En gros, j’étais sûre que le peuple pouvait se la jouer caméléon, à la façon « je te retourne mon épiderme, tu vas rien comprendre ».

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J’avais un prof de math qui passait par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel en un cours, il mettait son doigt dans la valise posée sur le bureau, ça faisait un bip, et il devenait mauve. Encore une fois, je trouvais ça plus fascinant que tout ce qu’il nous racontait, et ça avait le don de mettre mes points en berne.

C’était la faute (comme toujours) aux bouquins fantastiques que j’avais pu lire, dans lesquels le héros mutait sans arrêt, et avait aussi une bestiole qui se la jouait pokémon Evolution, perchée sur son épaule.

 

En gros, il y avait comme une logique implacable dans ma tête qui disait : si tu veux devenir peau rouge, tu peux devenir peau rouge.

J’étais née toute jaune de toute façon, au soleil je bronzais comme un chocolat au lait, j’avais du mal à me dire que je n’avais pas les mêmes capacités métamorphiques que le caméléon qu’on voyait dans les émission nature et découverte.

 

Puis c’était la faute (comme d’habitude) à Michael Jackson et ses pas de danse, quand il tournait sur lui-même, il passait du blanc au noir sans arrêt, de quoi donner le tournis aux gosses branchés sur MTV.
C’est pour ça qu’un jour, j’ai juste demandé à maman : « c’est quand que je deviens noire, dis, dis ? ».

Ca l’a laissée perplexe je crois.

 

Du coup, ça me reste en travers de la gorge.

Comme un goût de quelque chose de non accompli auquel j’ai du me faire, avec mes cheveux bouclés qui n’ont rien d’une tignasse frisée, un teint d’italienne malade et des yeux bruns fadasse.

Adieu cul d’enfer, croupe de black, cuissailles claquantes et nez patate.

Je fais mon deuil comme je peux, tu vois, je trace ma route, je m’adapte.

Caribouland
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29 avril 2012

Le maquillage minéral, c’est de la balle

Faudrait faire des mentions spéciales rien que pour mes titres, qui dernièrement, atteignent vraiment un niveau de drôlerie jamais vu nulle part ailleurs. Pendez-moi.

 

L’autre jour, alors que je traînais sur fessebouk, on a eu le malheur de me parler du maquillage minéral (alias le MM), de ses atouts, de « tu vas voir, c’est archi-dur à travailler, mais c’est de la balle en poudre ».

Quand t’entends ça, tu te dis JE VEUX, c’est physique, électrique, tu retournes le net, tombes sur feelunique, et commande en trois clicks.

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Ca s’est passé aussi simplement que ça, mais bon j’avais besoin de renouveler mes basiques du teint aussi, donc no regrets.

Pour toi, petit lecteur, je vais quand même t’expliquer ce que c’est parce que je pète la forme et que j’aime pas te voir tout perdu.

 

Tout d’abord

 

Pour celles qui se la jouent busy, genre j’ai pas le temps de regarder ta vidéo :

  • le MM c’est une grande famille dans laquelle tu peux retrouver des blush, des fonds de teint, des enlumineurs ou encore des bronzers

Le mieux, c’est de retenir 3 points quand on choisit un maquillage minéral :

  • environnement inorganique (très important) : il ne faut pas qu’il y ait autre chose que des minéraux.
  • pas de bismuth oxychloride : la bête est un peu (beaucoup? ) irritante pour certains types de peaux.
  • présence de zinc : action traitante et protection solaire inside

Source Beauté pure

 

L’environnement inorganique garantit une non prolifération bactérienne (super pour les peaux à imperfections).

Le zinc dans les premier ingrédients garantit une action anti-inflammatoire (toute proportions gardées) ainsi qu’un SPF, ce qui n’est pas plus mal avec l’arrivée des beaux jours (hum hum).

 

Ensuite

Le maquillage minéral est un produit particulier dans les cosmétiques actuels.

Il se trouve sous forme de poudre mais a un fini un peu différent de sa texture d’origine.

En général les pots mis en vente sont d’une énorme contenance par rapport à l’utilisation que vous en ferez : pour une couvrance légère à moyenne comme moi, votre pot vous durera bien plus d’un an à usage quotidien.

Autant te dire que niveau qualité prix c’est quasiment imbattable.

 

Le test du Lily Lolo China Doll & du Bronzer South Beach

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Les pots sont tous mignons, translucides et de très bonne contenance.

J’ai pris la teinte china doll qui est la seconde teinte neutre la plus claire chez Lily Lolo, ainsi que South Beach pour le bronzer, moins irisé que le waikiki et adapté aux peaux claires.

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Pour m’aider dans le choix, j’avais envoyé des photos de mon visage sans maquillage à Caroline de Mon Corner bio, qui m’a excellemment conseillée dans mes choix (c’est jamais évident de se faire une idée d’une teinte en ligne).

 

A chaque application, il vaut mieux en mettre peu pour ne pas se « rater », car effectivement, beaucoup de mamzelles crient au scandale après l’achat de MM alors qu’elles ne gèrent simplement pas le kabuki et du coup, forcément, ça fait un rendu abominable, mal étalé, et franchement désagréable à regarder.

second-9499.JPGDonc, on prend une surface avec un peu de la poudre, on doit écraser les pigments à l’aide d’un kabuki (la qualité de ce dernier est importante, j’insiste), et bien faire tourner le pinceau dans le couvercle pour permettre à la poudre d’être prise dans les poils.

 

C’est là que cela diffère de l’usage de la poudre traditionnelle : le fait de travailler son mouvement sur la peau, et de passer plusieurs fois permet à la fois de moduler la couvrance et de bien disperser le fond de teint sur le visage. On appelle cela la « patine », plus on polit la peau avec le pinceau, plus les pigments vont bien se mettre.

Donc on est patiente avant tout !

 

Et voilà le travail du teint qui donne tout ce qu’il a en photo

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Fais grave l’impasse sur mes points noirs et mes sourcils à la frida kahlo, je tente une expérience de repousse intense à la mémoire de Chewbacca et ses poils de bras.

J’en pense quoi ?

Niveau texture, c’est top, c’est vraiment doux mais en même temps un chouilla crémeux, c’est assez indescriptible comme sensation, mais en tout cas, ça ne donne pas l’impression d’un masque sur le visage.

Pour la tenue c’est très bon, ça tient toute une journée sans problème si on n’est pas du genre à faire du triathlon sur la pause du midi.

 

L’info en plus !

Le premier jour j’avais un peu mal géré niveau hydratation, du coup j’avais brillé comme un beau phare en pleine nuit. Il est indispensable de régler le tir par après, car le MM peut avoir une action un peu asséchante sur certaines et du coup il faut un peu plus hydrater que d’habitude (c’est mon cas).

Ceci étant dit, la marque propose une poudre de finition censée gérer le problème de brillance.

Tu fais comme tu veux.

 

En conclusion

Tu penses bien que ma peau aime se faire chouchouter sans se ramasser des petits comédons à cause d’une poudre un peu mal foutue.

Ici c’est vraiment du nec plus ultra voire plus, donc oui je conseille, j’en redemande, en espérant que vous aimerez aussi le MM.

 

Les liens

Le site de beauté pure et plein d’infos

Feelunique et ses frais de port gratuits worldwide (important pour moi qui suis belge)

Mon Corner bio vous aide pour choisir la teinte de votre fond de teint Lily Lolo

 

Voilou les roses !

Caribouland
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27 avril 2012

C’est toi la môme

Je parais plus jeune que mon âge et s’il fallait trouver des coupables, il faudrait jeter un coup d’œil du côté des gènes de ma mère. Elle a du tout me donner à la naissance pour ne rien laisser à mes sœurs, qui elles paraissent leurs années voire plus.

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Quand j’étais petite,ce n’était pas flagrant, même si le fait de ressembler à un moustique tout fragile avait tendance à me faire passer pour une petite chose sans défense.

Ça m’embêtait moyen à 6 ans, mais quand j’ai commencé à préciser que j’avais 7 ans ET DEMI, le moustique a voulu se la jouer rebelle.

C’est connu, ce qui est mini a tendance à se penser maxi, je voulais grimper sur des montagnes d’histoires bien trop grandes pour moi, et en général, ça se finissait mal.

 

Quand j’avais 16 ans, j’avais la tête d’une pré-ado.

A 20 ans, on m’en donnait 15.

A 24 ans, c’est devenu franchement barbant d’avoir l’air d’une môme de 18.

 

Paraître plus jeune que son âge, c’est perdre une certaine crédibilité face à son auditoire, alors qu’on est déjà adulte depuis un petit moment.

Il y a des phrases qu’on doit répéter haut et fort, bien appuyer sur des mots, utiliser un vocable qui fait paraître plus érudit que l’âge qu’on nous donne.

 

On est obligé aussi de soigner sa tenue en conséquence, de ne pas porter de baskets, parce qu’apparemment la vingtaine est un cap au-delà duquel on ne porte que des talons.

Ne plus se maquiller comme une gamine, ni avoir l’air trop apprêtée.

Lire du Truman Capote et non pas Harry Potter dans le tram.

Bannir les machins à paillettes, et les phrases du style « haha, il déchire ton fute mec ».

Toujours avoir l’air classe, mais pas trop, un air détendu mais un peu coincé quand même.

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Parce que ça devient presque une nécessité, ce besoin de s’affirmer.

Une volonté qui est pourtant souvent contrebalancée par ce plaisir de rester jeune.

 

Il ne faut pas se leurrer, dans tout ce micmac de frustrations, il existe une partie de moi qui aime qu’on lui dise que les années n’ont pas encore de prise, que j’ai un bonus par rapport aux autres.

 

J’en joue parfois, je suis tantôt jouette, tantôt carrément loque.

Je rentrais gratuitement au Louvre, JADIS, alors que j’avais bien dépassé l’âge limite pour pouvoir profiter de ça.

 

Je plais aussi bien plus au garçons plus jeunes que moi.

Ce qui pourrait me flatter/servir si j’étais une cougar avant l’heure, ou un peu mentalement retardée, mais qui a plutôt tendance à me désespérer.

 

On a beau me dire qu’avec un cadeau pareil de la nature, je ne devrais même pas faire ma ronchon, que l’on me voit comme quelqu’un d’à peine majeur et qui viendrait seulement de décrocher son bac ne devrait pas m’offenser.

 

Que tout ce temps qui ne se voit pas c’est autant de minutes et d’heures gagnées pour plus tard.

Pourtant je reste sceptique quant à la réelle utilité de ce présent maternel.

 

Parce qu’à part coller aux codes de beautés actuels, à savoir « préserver votre jeunesse de manière éternelle », ce dont je me contrefous, il n’y a pas un seul moment dans ma vie dont mon manque de maturité physique pourrait profiter.

 

J’ai pourtant tous les attributs d’une femme, le porte-monnaie qui va avec, des cheveux coiffés, et pas une touche de gloss rose fuchsia sur les lèvres.

Je marche normalement, je n’ai plus d’appareil dentaire pour gâcher la vue, ni de macro-globes quand je mets mes lunettes de binoclarde.
Mais c’est comme une ritournelle, j’ai une tête de môme, un peu coincée entre deux temps, je m’y fais tu sais, même si ça fait long le voyage.

Il y a des jours qui durent longtemps, où les gens restent accrochés à mon visage sans croire à mes mots quand je leur dis que j’ai plus de vingt ans.

A penser que mes petites sœurs sont en fait les plus grandes de la famille, alors que j’ai tous les arguments pour prouver le contraire.

 

Ah tu sais dans ces cas-là il n’y a rien à faire.

Juste attendre que ça passe.

Caribouland
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26 avril 2012

Lazartigue, tu m’intrigues

C’était la semaine « test de cadeau » de marque, et pourtant malgré ma bonne volonté, j’ai eu quelques couacs avec un des produits Lazartigue.

J’ai été contactée pour en essayer 4 : un shampooing, un gommage pour le cuir chevelu (grande première pour moi), un après-shampoing et un sérum.

A savoir : j’ai le cheveux plus ou moins épais, ondulé à bouclé, les pointes assez sèches, le cuir chevelu à tendance pelliculaire et gras (même si il y a du mieux depuis l’adolescence, tope-là).

En route camarade.

 

Premier produit : le gommage

 

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Mode d’emploi

 

Appliquer raie par raie sur le cuir chevelu.
Masser doucement du bout des doigts de la nuque au sommet de la tête (5 – 10 minutes).
Rincer soigneusement puis faire votre shampooing conseillé.

 

Mon avis

 

C’est vraiment génial si vous avez des pellicules. J’en ai un peu, et ça a grandement bien agit dessus.
Il est recommandé pour cheveux gras, mais à mon avis, son action purifiante peut très bien convenir à tous les types de touffes.
J’ai aussi beaucoup aimé passer du temps à me masser le crâne, ça a un effet relaxant.

 

 

Deuxième produit : le shampooing
Mode d’emploi

 

Agiter doucement le flacon avant emploi.
Appliquer sur cheveux mouillés, bien répartir sur l’ensemble de la chevelure, masser doucement, rincer.
Faire deux applications successives en laissant agir le produit quelques minutes au second shampooing avant de rincer soigneusement.

 

Mon avis

 

Hum. J’aime pas du tout ce shampoing.
Il sent très bon certes, il a la même couleur verte que le Klorane aux orties, mais alors je te parle même pas du paquet de noeuds qu’il me fait. Utilisé seul c’est juste un calvaire, la double application ne convient pas du tout à ma tête : à la première il n’y a rien qui mousse, et une fois qu’on passe à la deuxième ça mousse bien plus mais c’est là que ça s’amuse à tricoter ma tignasse.
Il doit sûrement convenir aux cheveux fins à normaux, car il a tendance à ouvrir les écailles des cheveux.
Merci, mais pas pour moi (c’est ma soeur qui va être contente).

 

 

Troisième produit : l’après-shampooing

 

Mode d’emploi

 

Appliquer après le shampooing sur les cheveux humides, bien repartir sur l’ensemble de la chevelure, masser légèrement, laisser agir quelques minutes.
Peigner en rinçant si les cheveux sont très emmêlés et/ou rincer sans insister s’ils sont très secs, longs et épais.

 

Mon avis

 

C’est du très bon produit.
Ca sent vraiment le beurre de karité, ça rattrape les gros dégâts du shampooing marin de Lazartigue, en rendant mes cheveux tout doux (on le sent déjà au rinçage) et bien structurés.
Une crème blanche et efficace, rien à dire de plus.

 

Le quatrième produit : Le sérum

 

Mode d’emploi

 

Mettre quelques gouttes de sérum dans les mains et le répartir sur les pointes des cheveux secs et abîmés.
NE PAS RINCER.

 

Mon avis

 

C’est mon coup de coeur, du love, je me roule par terre tellement je l’aime.
Il sent bon bon bon, n’a pas un le rendu gras des sérums pour les pointes que j’ai déjà pu essayer. Je procède en l’appliquant par effleurage, et l’action nourrissante est immédiate.

 

Le mot de la fin

 

Lazartigue est une marque qui existe depuis un petit moment et que personnellement, je ne connaissais pas.
Dans l’ensemble c’était une chouette expérience, surtout pour la gelée gommante qui m’a fait découvrir le gommage pour la tête.
Si je n’avais qu’un produit à vous recommander, c’est sans contexte le sérum au karité, c’est mon produit chouchou, et qui vaut son prix.
Pour le shampooing, je vais revenir à mon ultra doux au vinaigre de mûre et henné, qui ne m’a jamais déçue.
Ah non vraiment, c’était le produit catastrophe de la semaine celui de Lazartigue.

 

Voilou les roses !
Caribouland
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24 avril 2012

Le savon noir, gommage de oufdingue

Il y a quelques temps de ça, je vous parlais de ma découverte de la pierre d’alun et du savon d’alep de la marque Alepia.

Depuis, la marque m’a gracieusement offert leur savon noir qui était dans mes « soins à tester ».

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Zoom sur un produit coup de coeur.


Tout d’abord

Le savon noir n’est pas un savon à proprement parler, il s’agit plutôt d’un produit qui fait partie d’un rituel de gommage à l’orientale, sans grains, qui va agir en profondeur, et permettre d’éliminer les toxines pendant l’exfoliation.

Concernant la composition, rien de fou :

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Cela ressemble à une pâte faite à base d’huile d’olive, qui tire vers le noir (waouw) et que l’on utilise combinée à un gant kessa (t’inquiètes je vais tout te montrer plus bas). C’est un soin vraiment adapté aux peaux sèches, étant donné son haut pouvoir hydratant et nourrissant. Ceci dit, une peau normale fera l’affaire (je vais pas t’obliger à changer d’épiderme juste pour moi).

Celles qui ont tendance à faire des réactions aux gommages mécaniques à grains, je ne tenterai pas l’expérience, votre peau risque de crier.
Au niveau des ustensiles

Tu as besoin d’un gant kessa et d’un savon noir de bonne qualité.

 

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Pour la marche à suivre, c’est simple

On chauffe bien sa salle de bains histoire de faire comme une ambiance de hammam.

On prend un bain bien chaud pendant cinq minutes, les pieds en éventail.

On en sort, et on applique la pâte sur tout le corps, sur peau humide.

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On laisse poser cinq à 10 minutes (plus on laisse plus ça pénètre bien), puis on se remet dans la baignoire pour rincer.

On passe au gant kessa, en faisant des mouvements circulaires sur tout le corps, en variant dans l’intensité, histoire de bien retirer les peaux mortes en surface sans te râper jusqu’à l’os.

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J’en pense quoi ?

Je suis folle amoureuse de ce produit.

Avant j’étais là à me battre avec trois grains d’un gommage corps qui ne valait rien, me rayait le corps de haut en bas, sans parvenir à me donner l’impression que cela avait bien fonctionné.

Ici, c’est réellement un GO-MMAGE qui te fait une nouvelle peau, douce, mais douuuuuuce, un vrai délice.

Pendant le passage au gant kessa, sérieusement, j’avais peur d’avoir mal, mais j’ai pas vraiment senti grand chose (et je suis douillette).

Je ne saurai que conseiller, pour celles qui veulent pousser le délice jusqu’au bout, de vous enduire d’huile végétale juste après.

Ah non, vraiment, je suis conquise !

 

L’info en plus !

Comme pour tout gommage, il est préférable de ne le faire qu’une fois par semaine, c’est plus que suffisant.

On peut également utiliser un gant loofah, qui exfolie tout comme le gant kessa, mais est un peu plus doux.

Il est idéal pour stimuler la circulation sanguine, et atténuer les capitons de surface, mesdames, suivez mon regard.

 

Le mot de la fin

Rien à dire, pour une fois que l’efficacité d’un produit se voit de manière immédiate, et laisse ma peau hydratée de manière durable, je dis oui, mille fois oui.

Pour ce qui est du prix, il y en a pour toutes les bourses, je vous laisse le lien d’alepia, parce que leur service est irréprochable, et que je n’ai jamais été déçue par leurs produits.

Mais en faisant le tour du net, vous devriez trouver votre bonheur.

 

Voilou, des bises les Roses !

Caribouland
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