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8 septembre 2013

Le petit point Running de la rentrée #season3episode2

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Hey ho, Totoche est de retour !

Puisque point de rentrée pour ma pomme et que les travaux et l’emménagement m’avaient pris mon temps, je me suis aperçue ce matin que cela faisait déjà 20 jours que je n’avais pas foulé le bitume.

QUEL SCANDALE !

Du coup j’ai compris le petit énervement, le sentiment d’avoir quelque chose qui fait du grabuge dans les émotions et qui a besoin qu’on le stabilise un peu avec une grande claque et une sortie dans les bois.

Aujourd’hui, donc, comme une petite fleur qui pousse dans les champs, j’ai naturellement chaussé mes Nike d’amour et je suis partie fouler mon nouveau territoire.

 

Premier bilan

Depuis mon article sur la reprise de la course
, j’ai couru quinze fois, mais j’ai surtout rapidement augmenté les kilomètres parcourus en passant d’une distance de 3km à 6km en moyenne (donc le double, OUI).

Je n’ai pas vraiment pu me tenir à une moyenne de 3 fois par semaine, puisqu’à chaque fois j’étais interrompue par un épisode de forte chaleur, ou alors il pleuvait comme vache qui pisse et ça me coupait dans mon élan.

Sans parler des jours où j’avais mal de tête, les lendemains de fête, l’envie de mimer la larve sédentaire, etc.
L’été n’est pas d’une grande aide quand on reprend le running.

 

Ceci étant dit, les gens de mon entourage ont rapidement remarqué que j’avais « maigri », mais en réalité je pense surtout que la course à pied aide à avoir un rendu plus élancé de la silhouette, d’où la confusion.

Bon, j’avoue avoir quand même un peu fondu, je suis passée de 55.5 kg pour 1m62 à 53kg en deux mois (et ce malgré les saucissons, apéros, et autre joyeusetés estivales).

 

Ce que ça m’apporte

Je ne suis pas encore une runneuse assidue et j’aimerais vraiment le devenir maintenant que je ne suis plus dans un appartement sur Bruxelles et que je peux profiter des espaces verts autour de chez moi : plus d’excuses, j’ai des terrains grands comme ça pour me défouler sans croiser des voitures tous les vingts mètres !

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Malgré mon petit niveau j’ai constaté des avantages non négligeables

Le jogging forge mon mental

Il suffit de se mettre à courir et de se fixer des petits objectifs et on se rend vite compte qu’on devient son propre coach.

Parfois je me dis « allez, encore un effort, on va jusqu’au poteau au bout de la rue », et le fait de m’y tenir me donne envie de me fixer d’autres challenges.

Je n’aurai pas parié, il y a trois mois de ça, être capable de faire des courses de 6km, et pourtant, maintenant, je me vois mal faire la moitié. J’ai besoin de cet état que je trouve une fois que mes muscles sont bien chauffés et que je ne pense plus à mes jambes qui font un effort mais à mes projets, mes envies, etc.

 

Le jogging me rend plus zen

Prouvé et approuvé, après chaque course je suis calme comme un koala sur sa branche. Je ne planifie pas mes courses mais en général, quand j’en fais une, c’est que j’ai un « trop-plein », des idées en pagailles, une envie d’aller me dégourdir et je ne m’arrête que quand je sais que j’ai bien évacué mon stress.

 

Le jogging m’aide pour mes migraines

J’essaye de prendre une bouteille d’eau à chaque sortie, et même si ce n’est pas pratique, le fait de boire quelques gorgées pendant la course m’évite une déshydratation et donc un mal de tête.

J’essaye aussi de ne pas forcer, mes minutes de running je ne les fais pas pour la performance (je ne cours d’ailleurs pas avec un cardiofréquencemètre). Une ou deux fois j’ai vraiment trop poussé mon corps et je me suis retrouvée avec une migraine jusque-là, à ne plus vouloir rechausser mes godasses.

Donc EAU + JOGGING PEINARD = la clef du débutant qui gère (sans oublier les chaussures, bien choisies, c’est plus sûr)

 

Le jogging me fait un plus beau corps

J’ai beau être mince, j’ai le cuisseau qui n’avait pas une belle dégaine pendant les premières sorties, ça bloblotait sévère au niveau du bas du corps et me donnait l’impression de jouer aux castagnettes géantes avec mes cuisses.

Je suis encore loin de mon objectif de raffermissement, certes, mais comme je pratique le running à une allure lente à moyenne et pendant plus de trente minutes (ayé, je suis aux quarante minutes maintenant !), je suis assurée de renforcer mes muscles sur le long terme.

La grosse nouveauté du mois : dorénavant, il faut que je presse ma cuisse pour voir le côté grumeleux  de la cellulite alors qu’avant, même en étant statique, j’avais une piste bosselée de mes fesses aux genoux.

Il y a du mieux aussi au niveau du bidou, j’ai moins l’impression d’être gonflée comme une baudruche.

 

Le jogging me rend heureuse

Petite victoire, sortie en plein air, ne compter que sur soi, faire de mieux en mieux en prenant son temps, voir le soleil, autant de choses qui contribuent à une sortie paisible et au top.

Il suffit de prendre une playlist du feu de dieu avec soi et on est parti pour avaler des kilomètres sans s’en rendre compte !
J’aime bien courir en hiver aussi, le décalage entre la température de mon corps et l’extérieur est plus agréable pour moi quand il fait plus frais dehors.

 

L’envers du décor

Il y a certaines courses pendant lesquelles j’ai eu du mal à tenir le rythme, j’avais envie de lâcher en plein milieu parce que je n’étais pas d’humeur, mais en général je bouclais mon objectif du jour sans trop de problèmes.

Ces jours-là, tout le monde les connaît, il ne faut pas croire que la course à pied est une promenade en poussette, c’est vous le moteur, donc si l’impulsion n’est pas de la partie, m’est avis que vous n’irez pas bien loin (dans cette pratique).

 

Le tout c’est vraiment d’y aller mollo, progressivement, de ne pas chercher à devenir un champion d’athlétisme en quinze jours, sinon c’est la porte ouverte aux blessures.

J’ai lu énormément de blogs/articles sur le sujet, et honnêtement, même si la majorité des runneurs sont ultra-équipés, je ne pense pas que cela soit nécessaire dans l’immédiat.

Il est certainement impératif de mettre ses sous dans une bonne paire dédiée au running, mais commencer à dévaliser toute la boutique high-tech chez Decathlon n’a pas vraiment de sens quand on ne sait pas si l’on va persévérer dans la course à pied dans les mois à venir.

 

Personnellement, je cours avec des chaussures et un legging Nike et pour le haut du Kalenji, et c’est suffisant.
Mes seuls « ajouts », sont mon smartphone avec l’appli Nike+ running que j’ai toujours trouvée excellente, même sur mon ipod.

C’est tout.

 

Conclusion

Même si j’ai en moyenne couru 5 fois par mois depuis ma reprise, je pense que pour un début j’ai été plutôt régulière.

Je compte faire mieux, mois par mois, améliorer mon temps par kilomètre, et essayer de combiner cette pratique sportive au vélo, vu que maintenant j’habite dans une commune qui ressemble de loin (très loin) à la Hollande.

 

Reste le problème des jours de flemme, quand je n’ai pas envie de pointer le bout de mon pied dehors : j’ai déniché des chaînes youtube (va souffrir tiens) qui sont axées sur la muscu bien tonique et active pour les femmes, un bon moyen pour ne pas perdre une journée à parler à son paquet de chips.

 

Enfin voilà, si vous cherchez un sport qui permet une dépense rapide et certifié par moi-même, je valide la pratique de la course à pied.
Si vous avez aussi repris le sport récemment, NE LÂCHEZ RIEN, il y a toujours la bombasse qui sommeille en vous au bout du chemin.

 

Des bisous les Caribous !
Saison 1 épisode 1 – Saison 2 épisode 1 – Saison 3 épisode 1

Caribouland
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3 avril 2013

Le sevrage après le gavage

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J’en parle peu souvent parce que ça me touche de près et que ça rythme plus ou moins ma vie, mais mes migraines sont potes avec des médocs peu recommandables.

 

Il y a deux ans, après des maux de têtes violents et une crise de spasmophilie, j’ai suivi un traitement de fond, comme ils disent.

Je vais chez un neurologue qui me fait marcher (pour de vrai), prend des mesures, parle avec moi, et après une heure et demie de consultation, me donne une ordonnance toute belle pour un anti-dépresseur quand je me demande encore comment j’en suis arrivée là.

J’ai beau la supplier de trouver autre chose, elle ne veut rien entendre.

 

Bon.

Je suis les recommandations à la lettre, je deviens un peu déphasée par rapport aux gens, j’ai un temps de retard en début de traitement, du mal à répondre du tac au tac, je mets quelques secondes pour assimiler les informations et pouvoir y répondre.

Les premiers jours sont insupportables, tout va trop vite à la télévision, je suis incapable de me concentrer et j’ai l’impression d’être agitée de l’intérieur sans pouvoir libérer toute cette énergie stagnante.

Il devient étrange de mettre sur le compte du médicament certains comportements, le fait de manger plus, d’être prompt à faire des activités, d’être plus ouvert. Il y a ce qu’on est et ce qu’on vous fait être avec quelques milligrammes en plus par jour dans vos veines.

 

Après un an de grand bonheur, à gober sans broncher cette pilule blanche qui a fini par me faire voir la vie en rose, j’étais devenue une baudruche: de 47kg pour 1m63, j’ai frôlé les 62kg.

Une boulette quoi.
Je ne me suis pas rendue compte tout de suite du changement, on s’en est juste aperçu d’un coup, comme ça, comme si pendant la nuit je m’étais plaqué de la graisse un peu partout sur le corps et que j’avais trouvé ça joli.

Mon visage avait un double menton qu’on ne pouvait cacher, j’ai donc décidé d’arrêter le traitement parce que je n’avais plus l’impression de me reconnaître dans le miroir et que mes pantalons refusaient les uns après les autres de se fermer.

Sauf que, ce n’est pas si simple de couper le cordon.

 

Quand on suit un traitement de fond pendant un aussi long laps de temps, l’arrêt progressif entraîne des effets indésirables qui m’ont accablée pendant deux-trois mois : nausées qui me poussent aux toilettes sans vomir, vertiges à chaque pas, chute de tension improvisées, imprévisibles et l’humeur fluctuante.

 

Je n’avais plus trop de crises de migraines, donc je me disais qu’au final, je ne devrais plus repasser par un traitement aussi « lourd » pour une fille en bonne santé, et vu que mon cerveau avait appris à ne pas trop s’agiter pendant une période de stress, je pouvais naviguer tranquillement sur les flots sans m’inquiéter de chavirer.

 

Le sevrage se passe tant bien que mal, je tangue encore un peu sur mes pieds, mais je suis plus lucide que quand je prenais ma dose quotidienne.

Puis rebelotte.

Il y a quelques mois je suis en crise, j’enchaîne des maux de tête, des céphalées de tension et des migraines alternées et le moindre énervement me couche au lit.

Presque en pleurs et plus que pitoyable, j’arrive à joindre ma neurologue qui me redirige vers mon médecin pour trouver un traitement en attendant de la voir.

 

Une semaine plus tard je suis sous bêta-bloquants.

Une horreur.

Le début se passe mal, j’ai le coeur qui pompe trop doucement à mon goût, je marche sur de l’ouate et n’arrive plus trop à réagir en temps et en heure.

 

Puis je m’habitue petit à petit à vivre comme un escargot et à accepter qu’un coeur qui bat moins vite c’est aussi une solution contre la migraine, que les médecins savent ce qu’ils font.

Effectivement, après plusieurs mois, je n’ai quasiment plus de crise, mais aussi, je n’arrive plus trop à faire d’efforts.

Courir est plutôt pénible, monter ou descendre des marches d’escalier me crève, je pèse 55 kg mais j’ai toujours l’impression de ne plus être pareille.

 

Je décide de voir le médecin, pour lui dire que j’aimerais qu’on arrête de rigoler, que le cirque a assez duré, et que je veux qu’on me dédouane de ce genre de médicament sur le champ.

Si avec l’anti-dépresseur, j’étais dans un bonheur béat et complètement aveugle, le bêta-bloquant, lui, joue sur un terrain plus glissant.

 

Mes pensées qui jusqu’alors ne s’étalaient que sur du court terme, à me demander ce que j’allais devenir dans un mois, ont pris le large et me font désormais voir ma vie d’un bout à l’autre.

Comme une cage d’incertitude, chaque pas dessine un grand trou noir, je ne suis plus sûre de rien et en doute permanent, rien que du joyeux qui angoisse plus qu’il ne rassure.

 

Second sevrage.

Je suis en plein dedans.

Le docteur me dit « vois jusqu’où tu peux aller, et si tu te sens bien à une certaine dose, on continuera comme ça ».

 

Moi je veux que ça quitte mon sang, que ça arrête de jouer avec mon coeur, ma vie, mon cerveau, c’est trop d’enjeux dans un seul cachet.

 

Je suis d’humeur exécrable, m’énerve à la moindre anicroche, et comme je ne peux descendre les doses que par paliers, je suis contrainte d’attendre avec impatience de pouvoir retirer quelques mg tous les 10 jours en espérant me sentir mieux.

Je suis toujours aussi fatiguée.

Dans 24h, je descendrai d’un second pallier, en espérant que mon état migraineux n’empire pas, que je ne doive pas faire trop d’efforts pour garder le cap et que les effets indésirables du manque ne soient pas trop présents.

 

J’ai écrit ce billet pour que vous réfléchissiez à deux fois quand on vous prescrit des traitements de fond : parce que oui, certes, ils vous offrent un confort de vie pendant quelques mois, quelques années, deviennent une béquille, mais il faut accepter que la migraine, c’est un flou médical, que ça inclut trop de choses pour être traité aussi facilement.

L’impression d’être une poule à qui on lance des cachets pour qu’elle ne fasse pas trop de bruit m’insupporte aussi.

On est faible dans ces cas-là, dans le cabinet d’une personne qui a fait des études pour vous soigner.

On pense que tout se résoudra sans encombres, qu’on aura que le bien dans une pilule sans aucun aspect négatif.

C’est faux.

 

Et ça avait trop d’impact que pour que je me taise.

Caribouland
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26 mars 2012

De l’adrénaline dans le Jogging

L’année passée, dans un grand élan sportif, je m’étais ramenée dans une enseigne de sport, j’avais dévalisé tous les rayons running et j’étais repartie avec 140 euros de moins, des fringues plein les mains.

C’était une époque où j’avais de l’énergie à dépenser (en plus de mon argent faut croire) et j’avais décidé de me mettre à courir.

Une fois par semaine, parfois deux, qu’il neige, qu’il pleuve, qu’il tape, j’étais dehors, avec ma tenue de pro version je gère, à avaler environ 7 km dans mes meilleurs jours.

Pas énorme pour une pro du système, mais pour le niveau que j’avais c’était exceptionnel.

Je crois qu’avec le vélo et la nage, c’est un de mes sports préférés. Du coup je voulais partager avec vous comment je me prépare pour courir, ou comment ne pas faire « trop » de faux pas quand on débute dans le jogging.

 

Quand je m’habille

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Je mets

  • un jogging nike que j’adore, ou mon domyos, j’alterne
  • un soutien gorge qui soutient vraiment, à tester en magasin, quitte à faire gigoter sa viande en cabine pour voir si ça tient bien au corps. Parce que courir avec les pamplemousses qui bondissent à chaque pas, ça fait mal, déséquilibre (oui oui), et c’est pas ce qu’il y a de mieux pour la peau des seins
  • un débardeur près du corps qui régule la transpiration
  • un pull si nécessaire, mais là il fait franchement beau, donc j’évite, ou j’en prend un léger avec moi que je mets à la fin de ma course

 

Et enfin, le plus important : les chaussures ! A bien choisir selon qu’on soit pronateur (pieds vers l’intérieur), supinateur (pieds vers l’extérieur) ou universel.

Chaque type de chaussures corrigera le problème de stabilité et permettra un confort optimal pendant qu’on court.

Les miennes sont géniales (mais chères), j’ai l’impression de sautiller comme un lapin avec, de vraies pantoufles.

A savoir : pour que le sport reste un plaisir, prenez des fringues qui vous bottent. Avoir l’impression de sortir accoutré comme un clown en string, ça n’a aucun sens.

 

Quand je sors de la maison

  • J’ai mon ipod nano avec moi, connecté au module « nike + ipod »
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Le petit bidule rouge se glisse dans la chaussure (dans les Nike il y a un emplacement spécial), et le récepteur se connecte à l’ipod.

Ce petit kit est assez génial, ça enregistre la distance parcourue, les calories dépensées, etc.

Une fois chez soi, en connectant le lecteur à l’ordinateur, on récolte les données sur le site de Nike, sur lequel on peut établir des programmes de course, relever des challenges, ou en créer.

Le plus : au début de la course on estime le temps ou le nombre de kilomètres que l’on aimerait au moins faire pendant la séance. Une voix nous prévient sur ce qu’il nous reste à parcourir tout au long du trajet.

 

Quand je cours

Je commence d’abord par cinq bonnes minutes de marche rapide, comme échauffement, puis lentement, j’accélère le rythme pour arriver à une course moyenne.

Je cours rarement vite, sauf pour les dernières minutes du jogging, durant lesquelles j’alterne sprint et marche rapide.

Je préfère garder un rythme régulier, et courir pendant 40 minutes, plutôt que de me crever en 10 minutes.

 

Pour celles que ça peut aider, il existe des outils, comme des cardiofréquencemètre, qui permettent de mesurer la fréquence cardiaque. L’idéal pour courir et se muscler, c’est de se trouver entre 70 et 80% de sa fréquence cardiaque maximale.

On n’y arrive jamais du premier coup, mais une fois qu’on est bien entraîné, on arrive à son rythme parfait.

 

Quand je rentre

LES E-TIRE-MENTS ! Y a pas à lésiner, c’est obligatoire.

(On doit aussi les faire en début de course, pour éviter des claquages et autres joyeusetés de la course à pied)

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C’est le moment pendant lequel le corps récupère, on sent tous ses muscles en alerte, réveillé, et surtout on se sent bien.

Si au finish de la course vous vous sentez mal, c’est que le rythme que vous aviez était sur-évalué.

 

Quand je me change

J’évite de me couler dans un bain bouillant pendant des heures, une douche tiède est plus que préférable. C’est le moment où le corps se relâche.

 

Voilà, je crois qu’on a plus ou moins fait le tour, ça permettra au moins au débutantes de mettre le pied à l’étrier, ou de convaincre les plus sceptiques.

Je vous laisse des liens d’infos pour vous informer au mieux sur les meilleures façon de tirer profit du jogging :

Entraînement pour débutantes

Le site de Nike Plus

Le site de la revue Jogging, avec plein d’infos

Mesurer sa fréquence cardiaque maximale

 

Puis avec les beaux jours qui s’annoncent, ça devrait vous motiver à sortir votre petit nez dehors.

 

Des bises !

Caribouland
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5 mars 2012

Mon réveil avec un simulateur d’aube. Mieux ou pas ?

On a tous une histoire avec notre réveil.

C’est le moment où l’on entrevoit notre fenêtre, les yeux mi-clos, pour essayer de deviner le temps. Puis en voyant qu’il pleut (ou en le devinant, parce que la Rose, elle est myope comme un cul de jarre), on se recouche, on s’emmitoufle sous la couette jusqu’à se fondre dans la masse de plumes qui nous couvre de la tête aux pieds.

Et ne plus bouger.

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Oui mais, pour moi, le réveil rime aussi avec la machine, celle qui crie, qui pète un plomb pour te tirer hors du lit. Des fois ça marche, des fois tu jettes ton gsm dans un verre d’eau, par réflexe, ou encore tu te trompes de bouton et il continue à te rappeler à l’ordre pendant dix minutes.

On a connu mieux en matière d’éveil, à l’époque c’était le coq du voisin qui nous réveillait.

Depuis moins d’une semaine j’ai EN MA SUPER POSSESSION  un simulateur d’aube.

Le bidule me narguait tellement depuis la chambre de ma mère, qu’elle m’en a offert un, c’est dire si j’étais contente quand elle m’a tendu le paquet.

Alors moi, grosse ronchon, j’ai branché la bête, suis allée dormir, et en 4 nuits, j’ai vu un réel changement.

 

Ce qu’il faut savoir 

Je dors dans le noir, donc a priori je ne supporte pas qu’une lumière traîne dans ma chambre.

J’ai toujours eu besoin d’un réveil type « tintamarre à la sauce carnaval de rio » sinon je n’entends rien

Comme la grande majorité des gens, quand je me lève, je suis longue au démarrage, mes radars sont grillés et il m’arrive souvent de me cogner

J’ai toujours l’impression d’avoir mal ou peu dormi, enfin, d’avoir passé un sale moment au lieu d’être reposée

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Depuis que j’ai Megablop à mon chevet c’est une vraie révélation.

 

Le premier soir, j’ai programmé un coucher de soleil, du coup au fur et à mesure que je lisais, la lumière s’amenuisait pour enfin arriver au noir complet et je me suis endormie directement.

Le lendemain, je n’avais pas mis d’alarme sur mon gsm (je tente le diable parfois) pour voir quel bruit allait faire la machine.
Je me suis réveillée avec la lumière et cinq minute après, un petit « tac tac tac » a commencé à faire du bruit pour signifier l’heure programmée.

Donc je m’étais levée avant ce que j’avais prévu, en en plus, pas fatiguée et à peine ronchon.

Plus ça va, plus on prend plaisir à aller se coucher quand on a ça au pied du lit.

 

Il faut quelques jours pour s’habituer, régler les phases qui conviennent le mieux, mais je crois que j’ai trouvé ma vitesse de croisière : 60 minutes pour le coucher, avant que la lampe ne s’éteigne, et 30 minutes pour l’allumage de la lampe au réveil avant qu’elle ne sonne.

 

Conclusion

Je suis vraiment fan, à part du design que je trouve un peu imposant.

En tant que lampe d’appoint, la lumière se diffuse sur le globe comme une lumière naturelle et je me dis qu’en hiver, elle aurait bien pu m’aider quand les jours étaient franchement courts et peu lumineux.

 

Le coup de coeur coûte assez cher, il faut compter 110 euros sur les sites spécialisés pour celle que j’ai (bestseller, hé oui), mais vu le confort que ça procure au coucher comme à l’éveil, ça vaut vraiment la peine.

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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