11 mai 2016

Après 6 mois de soins non naturels, comment va ma perruque ?

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Il y a un peu plus de 6 mois de cela, j’ai arrêté de me laver les cheveux avec des soins naturels. Comme ça.

Complètement jetée dans ma propre caboche, je voulais reprendre le chemin en sens inverse histoire de voir si ma touffe allait subir le grand désarroi du cheveux gras qui pique du nez à force de n’être en contact qu’avec des ingrédients non issus du cul d’une plante.

Pour bien commencer, j’ai du mettre de côté ce qui faisait mon bonheur jusque-là : la poudre de shikakai et son odeur de foin et le henné en priorité. Ainsi qu’une ou deux bouteilles de shampoings bio dont je ne me souviens même plus.

Exit mes teintures naturelles et mon wash-wash qui sent la campagne, retour à la case zéro du consommateur de base, celui qui va s’approvisionner au supermarché en rêvant d’avoir la même cascade brune que Nabila sur les épaules.

J’ai essentiellement gravité autour des marques Garnier, Elsève de l’Oréal et Dove, sachant qu’a priori leurs produits m’avaient déjà convenu par le passé (pas folle la loutre).

 

Premier constat : ça coûte plus cher parce qu’on en veut plus

Vous allez rire, mais acheter ses soins en supermarché m’a, au final, coûté plus cher que mes shampoings bios. Ces derniers s’utilisaient avec parcimonie et ne descendaient pas à une vitesse folle quand une bouteille d’Ultra-doux se siphonne facilement en deux petits mois. Et un exemplaire ne suffisait pas. Du coup j’ai récidivé dans les rayons toutes les trois courses. Pour varier. Vala.

Deuxième constat : ça sent bon

Y a rien à dire là-dessus, tout ce qui se trouve en GMS sent le propre, la fleur qui galope, la douceur d’un marshmallow, on en redemande tellement les cheveux s’imprègnent de l’odeur au-delà du lavage.

Troisième constat : les lianes sont douces et le wow effect est quasiment toujours immédiat

On a moins de chance de se retrouver avec une tignasse électrique et rêche avec ce genre de produits, ils apportent tous (ou quasiment) un lissage de la fibre et un effet badaboum directement visible au séchage. Vaut mieux prendre du non bio que du bio quand on veut avoir un résultat direct.

 

L’évolution des wash-wash

J’ai les cheveux compliqués, de base : la racine qui graisse un peu après 4-5 jours, les pointes qui font grise mine quand je ne les chouchoute pas assez avec des bains d’huile, en rajoutant sur la choucroute une dermite qui va et vient selon les saisons et une tendance à développer un cuir absolument dégueulasse une fois par mois, sous l’effet des hormones (apparemment y a que moi qui le voit, mais ça me dérange).

On peut dire que je suis un cas classique de donzelle aux cheveux mixtes et sensibles, je dois également porter une attention particulière à leur chute, j’ai eu des épisodes où j’avais quelques trous sur le crâne, peu esthétique quand on est une goumiche.

 

Dès le premiers mois, j’ai assez vite remarqué que je devais un peu plus souvent me laver la tête.

Quand je tenais presque une semaine auparavant, c’était vite devenu nécessaire de me shampouiner la caboche tous les 3 jours maximum, une réduction significative de l’espacement entre deux wash-wash que j’avais durement gagné avec mes cures naturelles.
Tous mes efforts partis à la poubelle.

Jusqu’à ce jour, ça n’a pas changé, j’en suis toujours à deux shampoings minimum par semaine.

 

Tout le long du test 

  • j’ai perdu pas mal de mes ondulations : c’est inévitable, plus on utilise des soins gorgés de polymères et silicones, plus la structure de la fibre se fige. Je n’avais pourtant pas une impression de lourdeur sur le crâne et dus dire au-revoir à mes précieuses bouclettes d’amour dès le deuxième mois
  • j’ai tendance à prendre bien plus de shampoing dans la paume : je ne sais pas à quoi c’est du, si le parfum joue un rôle addictif ou que j’ai perdu ma notion des quantités en passant du côté obscur de la force, mais j’ai bel et bien remarqué que je ne lésinais pas sur la quantité de produit que j’utilisais. Et promis, je n’essaie pas d’en gober dans ma bouche au passage
  • ma dermite est latente : je n’ai pas eu de crise à proprement parler, pourtant j’ai souvent eu cette impression d’avoir un syndrome précurseur en continu sans jamais passer le cap de « raaaaah, j’ai envie de m’arracher le scalp au coupe-ongles ». Un peu comme un éternuement qui reste ad vitam aeternam dans le naseau
  • j’ai eu des épisodes pelliculaires : et moi la pellicule, je la voyais rarement parader quand je me mitonnais ma petite mixture indienne. Par contre c’était très aléatoire, presque anecdotique, rien à voir avec un état pelliculaire persistant
  • les après-shampoings n’étaient pas forcément nécessaires, mais j’aimais bien me tartiner de masques. Sans, c’était doux, avec, c’était de la queue de lapinou
  • toutes les marques se valent plus ou moins au niveau du rendu : à mon sens, seul mon nez sniffant les flacons m’a vraiment guidée dans mes choix, je n’ai pas forcément trouvé qu’un shampoing volume ou un nutritif avaient un résultat fondamentalement différent (et puis c’est pas leur extrait de fruit minuscule en fin de compo qui va changer ton type capillaire en un passage sous l’eau)
  • mes cheveux n’ont pas été de pire en pire : malgré l’espacement entre les lavages qui s’est réduit, je n’ai pas forcément vu un changement radical au niveau du cheveu en lui-même. Ils sont toujours beaux, visuellement parlant, et pas abîmés sur les pointes (même en continuant à les lisser avec mon petit Remington)
  • ils n’ont pas fort poussé : et c’est là que le bât blesse, parce que j’ai la preuve visuelle que tout ce qui est naturel apporte réellement un plus au niveau de la pousse. Pourtant je suis sous traitement de vitamine B2 (une vitamine qui me permet d’endiguer les crises de migraines, avec comme effet secondaire des ongles fortifiés et une perruque d’enfer), mais l’accumulation de chimique au niveau de la racine a du avoir un impact d’une manière où d’une autre sur la croissance naturelle de ma précieuse touffe
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Très honnêtement, je m’attendais à une catastrophe capillaire incroyable.

Et finalement, je suis mi-figue mi-raisin, parce que, la pousse mise à part (bon d’accord, c’est un big deal), je n’ai pas forcément souffert du changement. Certes, on se lave les cheveux plus souvent, on s’expose donc davantage à des agents potentiellement agressifs, trop gainants, obstructifs,  on ne doit pas s’attendre à trouver le miracle dans la fontaine.

Mais je n’en suis pas à courir nue dans la rue en hurlant avoir perdu ma dignité capillaire pour toujours.

 

Sur plusieurs années consécutives, je suis certaine que l’impact sur la croissance m’aurait bien emmerdée, je n’ai déjà pas énormément de masse, si en plus ça se met à pousser à l’envers, je suis vernie.

J’avais un peu peur de perdre la brillance – mes cheveux reflètent bien la lumière naturellement (comme ceux de Barbie, oui), mais je n’ai pas perdu un carat de ma perruque diamant.

 

J’ai voulu me lancer dans ce test parce qu’il y a toujours autant de piaillements à propos des produits chimiques/naturels, et je voulais voir par moi-même si, sur un laps de temps raisonnable (6 mois), je pouvais déjà me rendre compte toute seule de l’impact de ces gelées moussantes sur mon crâne.

J’en reviens donc à mon opinion de départ : un peu de temps en temps, ça va, avec des alternatives bio qui n’assèchent pas et ont une bonne balance d’agents hydratants dans la formule. Mais encore et toujours conserver les après-shampoings et masques conventionnels quand je veux sentir des patounes de lapin frôler mon visage.

Je vous l’ai déjà dit, je ne suis pas formellement attachée à un camp ou l’autre, j’ai énormément besoin de cette notion plaisir, de rentrer chez moi et de buller sous la douche avec un produit qui sent bon / lave en une fois / continue à sentir la fleur sur la perruque. Que ce soit naturel ou pas, faut juste que ce soit efficace.

J’aurai toujours une bonne jambe du côté de la cosméto bio pour la simple et bonne raison que de me laver les cheveux est une institution GIGANTESQUE dans ma routine de soin et que je ne peux pas concevoir d’avoir le tif qui fait demi-tour dans son follicule pileux.

Je veux que ça fleurisse, que ça soit la jungle sur ma petite tête.

 

Y en aura sûrement pour dire que je n’avais qu’à lire les magazines féminins pour savoir que les soins de GMS sont une poisse pour le crâne, qu’ils le rendent gras, moche et sans vie.

Bah non, je te dis, moi j’ai juste constaté plus de lavages et moins de pousse. Comme quoi un peu d’empirisme, ça peut nous apprendre des choses utiles aussi.

Psssst ! Au cas où tu cherches un shampoing pas cher, l’Ultra-doux à l’Huile d’olive est top top top !

 

Des bisous les Caribous !
Tous les produits en photo ont été achetés par moi-même, olé.

Caribouland
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42 réponses à “Après 6 mois de soins non naturels, comment va ma perruque ?

  1. biotifullpeople

    Salut Mona ! Tu es forme en ce moment dis-moi !ça poste, ça poste!
    C’est intéressant, ton article, pour voir à court terme les effets du retour au « synthétique ». Mais je pense aussi que ce sont les effets sur le long terme qui sont peut-être plus visibles. J’ai littéralement A-DO-RE mes produits kérastase pendant …ouhlà…plus de dix ans, j’ai mis des shampoings conventionnels depuis toute petite mais ce n’est qu’il y a 5 ou 6 ans que j’ai dû dire stop. Mes cheveux ne se coiffaient plus, ils étaient poisseux tout le temps et ils tenaient à l’horizontale, une horreur. Depuis que je suis passée au naturel, ils bougent quand je tourne la tête, un truc de dingue pour moi qui avais l’impression d’avoir un casque à la playmobil sur la tête. Bref, je ne reviendrais en arrière pour rien au monde (en même temps, vu le nom de mon blog, c’est plutôt cohérent héhé), mais c’est très personnel évidemment. Car à côté de ça, je suppose qu’il y a plein de personnes chez qui les produits traditionnels fonctionnent très bien. Je ne lance pas de débat, on est d’accord, chacun fait comme il le sent! Bonne soirée, Thémis

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    1. Mona Auteur

      J’avais utilisé que du chimique de mes petites années jusqu’à 23 ans on va dire, donc le changement avec le naturel m’avait déjà bluffée, j’avais juste oublié ce que ça faisait de retourner au chimique :p
      Chacun fait comme il le sent, tout à fait 🙂

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  2. Kiki Gaelle

    Merci pour ton test:)

    de mon côté, je n’ai toujours pas trouvé les shampoings bio qui me conviennent. Suite au shampoing solide maison au shikakai, j’ai ré choppe une belle dermite qui avait disparu .
    et maintenant je n’arrive plus à la faire partir.

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  3. Stéphanie - Il Etait Une Fois... Cocotte

    Perso j’alterne entre shampoing naturel et non naturel, pareil pour les soins, certaines diront « c’est pas bien! » mais je m’en fiche ^_^ Quand j’utilise trop longtemps des shampoing bio mes cheveux ont tendance à devenir rêches, crépus, c’est moche! Lorsque j’utilise des shampoings « classiques » ils sont moins bouclés, plus lourd. J’ai donc décidé d’alterner…
    Je vais essayer l’Ultra-doux à l’Huile d’olive pour voir.

    Bisous

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    1. Mona Auteur

      en même temps les gens qui disent « c’est pas bien » ne vivent pas sur ta tête. Donc tu fais ce que tu veux…avec tes cheveux (pub dop, sors de ce corps).

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  4. Maureen

    Cet article est très intéressant, et parle à la scientifique que je suis ! Bravo à toi pour avoir accepté de jouer les cobayes 🙂 Je suis passé au bio/naturel stricte depuis 3 ans pour mes cheveux (je voulais les laisser pousser) et 2ans pour tous mes autres cosmétiques (sauf le maquillage mais je m’améliore de plus en plus !). Tes résultats ne me surprennent pas, et j’avoue que malgré mes deux pieds dans le camps du bio, je serais comme un aventurier de koh lanta après avoir gagné un confort si je retrouvais les odeur des shampoings Ultra Doux….
    Pour moi cela veut bien dire que les produits conventionnels ne détruise pas notre crinière à la sauvage mais de manière plus vicieuse sur le long terme (tu le vois le Garnier avec son regard fouinard ?). Personnellement mon choix de passer au bio a surtout été motivé par la question environnementale des cosmétiques de supermarché !
    Bonne journée à toi et ta crinière !

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    1. Mona Auteur

      Je le vois bien oui, le garnier et son regard de fouinard, sauf que je les aime bien ces shampoos-là 😀
      Bisous Maureen

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  5. Bérengère in Wonderland

    Coucou 🙂

    Tiens donc, c’est étrange d’être prêt à jeter à la poubelle tout le chemin parcourut dans le bio, personnellement je m’en voudrais trop xD Pour autant, ton bilan est très intéressant, il permet de se rendre compte que les cosmétiques de grande surface ne sont pas si horribles que ça, mais que le bio reste tout de même meilleur pour la chevelure !
    Un chouette article bien intéressant à lire, même si j’ai du mal à comprendre la motivation de départ 🙂

    Bisous

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    1. Mona Auteur

      La motivation de départ est juste de faire un test empirique.Y a rien d’autre derrière. Je suis une curieuse de nature, donc c’était tout réfléchi de faire le chemin en sens inverse pour voir par moi-même si tout le débat nature/bio-chimique avait lieu d’être dans des conditions de vie réelle.

      J’espère que c’est plus clair 🙂

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  6. Alice

    Alors ca c’est interessant, et courageux! De mon cote je suis au naturel pour des questions purement ecologiques tout d’abord, mais aussi parce que du jour ou je suis passee au bio, mes problemes de cheveux degueux, sans forme, sans brillance ont ete termines a tout jamais.

    Je ne pense pas repasser au conventionnel un jour (l’environnement tout ca) mais c’est super interessant de savoir que quand on repasse du cote obscure de la force on n’a pas la criniere qui se transforme balais a chiotte!

    Par contre a voir a plus long terme (5 ans par exemple) l’etat du cuire chevelu et des cheveux, je me demande si en utilisant des produits bio et cie. on ne garde pas une belle touffe plus longtemps. Belle = ne pas les perdre en masse passe 70 ans par exemple. Mais bon de toute evidence on manque un chouilla de recule pour l’instant hihi

    Des bisous Mona

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  7. Charlotte

    Bonjour,
    j’ai découvert il y a peu ton blog et j’apprécie ton écriture.
    Pour les shampoings, cela dépend des problèmes. J’ai des pellicules, des cheveux fins et de l’eczéma capillaire. L’eczéma était partie mais j’ai fait la bêtise de vouloir faire une cure de sébum… Bref, je n’ai réussi à me débarrasser de mes pellicules grâce à un shampoing non bio. Pour mon eczéma, le shampoing bio était le seul à me donner un répit pour avoir envie de se gratter. Je ne sais pas si c’est du au bio ou si il y a un shampoing non bio ayant cet effet. Outre cela, il sent bon ( et pas la menthe). Donc je vais continuer avec mon shampoing bio.

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    1. Mona Auteur

      tant que tu trouves un produit qui te convient, et ne t’occasionne pas de problèmes supplémentaire, c’est qu’il n’y a pas de raison d’en changer 🙂
      bienvenue parmi les Caribous alors ! 😀

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  8. Krysthaa

    Il ne faut pas oublier que le naturel est bon pour les cheveux, mais également pour la planète. Critère qui devrait, je pense, faire complètement basculer la balance…

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  9. la beaute naturelle

    Salut ma belle, j’ai trop aimé ton article, et ton expérience montre que bien que les produits chimiques donnent des résultats immédiat (ce qui est le contraire des produits naturels), ils ont des effets secondaires très graves qui peuvent altérer la beauté des cheveux et même de la peau

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  10. EloOnaturel

    Hello, c’est très intéressant de partager ton expérience tout en restant neutre entre le bio/naturel et le conventionnel. Perso je suis passé au naturel il y a environ 2 ans et je ne reviendrais pas en arrière, surtout au niveau de ma peau. C’est vrai qu’on piaille souvent sur l’un ou l’autre, surtout en ce moment ou il y a un effet de mode sur le bio et souvent les gens font des test sur de courte période. Là 6 mois c’est plutôt pas mal pour se faire une opinion. Au moins on sait à quoi s’en tenir, a chacun de choisir son « camp » ou du moins de faire ses choix en toute connaissance de cause 🙂

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    1. Mona Auteur

      Oui voilà, je m’étais fixé 6 mois, sachant que j’ai quand même un cuir chevelu sensible, je me disais que s’il devait y avoir des dégâts, je pourrais en observer les prémices plus vite que si j’avais une caboche normale.

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  11. Sheera Alexshi

    Je te comprends car j’ai exactement les même cheveux que toi à part que j’ai une sacré tignasse ondulé et qui pousse relativement vite (à peu près 1,5cm par mois, ça se voit vite parce que je les coupe très très court)
    Je dois avouer qu’après avoir lu ton article je me rends que c’est exactement ce qui se passe avec moi, le shampoing part super vite, j’ai régulièrement des pellicules et comme tu dis, c’est soit-disant dû aux « hormones » (mais ça je n’y crois pas du tout, bon 1% on va dire ahah)
    Après je ne sais pas si t’as déjà essayé les shampoing et après shampoing solides de Lush ? Cela fait à peu près 1 mois que j’en utilise et je crois que j’ai jamais eu les cheveux aussi doux et aussi souple de ma vie, c’est un véritable « miracle ». Mais j’ai quand même fait le test de réessayer des shampoing « normaux » j’ai envie de dire catastrophe. à peine en sortant du bain que je les sentais hyper sec sous les doigts. On aurait dit un balai brosse T_T et j’ai recommencé à avoir des pellicules surtout! En sachant que j’avais pris du Franck Provost Expert Nutrition
    Après c’est vrai que Lush ce n’est pas donné du tout (shampoing et après shampoing = 18e) mais le résultat est là et ça sent hyper bon surtout (testé, approuvé et garanti) #ThumbsUp 🙂

    En tout cas, je suis contente d’être tombé sur ton article car cela fait plaisir de voir que je ne suis pas seule dans ce cas et que je ne suis pas folle surtout à penser que les shampoings chimiques ne sont pas bon du tout.
    C’était très intéressant de te lire 🙂

    xoxo,
    Sheera

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  12. Alizée

    Ton article est très intéressant, je me posais cette question dernièrement. Parfois j’en ai marre de ma tambouille, marre de voir les cheveux parfaits des autres filles alors qu’elles utilisent des produits du supermarché …
    Je suis passée au naturel pour mes cheveux après une grosse chute (qui a stoppé depuis) et même si je ne voudrais ne jamasi revenir en arrière pour ma peau, j’ai du mal pour mes cheveux. Je ne jurais que par le shikakai mais j’ai stoppé d’un coup après plus d’un an lorsque subitement, on a m’a fait remarqué que mes cheveux étaient devenus foncés .. Depuis je ne trouve pas trop de soins adaptés, mis à part des bains d’huile et masque avant shampooing, et parfois j’aimerais aussi retenter l’expérience du bon vieux shampooing L’Oreal.
    Donc bilan est donc très intéressant !

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    1. Mona Auteur

      contente que ça t’aide. Pour le shikakai, je n’ai jamais observé qu’il fonçait mes cheveux, mais je l’utilise très dilué par contre, quand je l’utilise en shampoing.

      Répondre
  13. Aya

    Je suis contente mon Koala, parce qu’on en tire la même conclusion.
    J’alterne, parfois du conventionnel, parfois du bio, je suis pas sectaire. Et j’avoue que depuis que je fais comme ça, je prends beaucoup plus de plaisir à utiliser l’un et l’autre.

    En ce moment je carbure à l’ulta doux, puis quand ça me prend, je repasse à JMO et/ou ta recette de mamie Mona pour le shikakai.
    Et franchement j’apprécie, la sensation de sentir tantôt la fleur de labo, tantôt le foin frais de l’étable d’à coté. J’apprécie le coté cheveux toudoux brilloux et j’aime tout autant la version légère et aérienne de ma touffe.

    Comme quoi, faut pas se poser des barrières sous couvert de ça et ça c’est mieux. Ce qui l’est réellement c’est de se faire plaisir comme on l’entend.

    Par contre pour la pousse, tu soulèves un lapin ! Je l’avais remarqué mais tu vois, j’avais pas fait le rapprochement 😮

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    1. Mona Auteur

      oh, donc tu utilises encore du shikakai 🙂
      aaaah oui, pour la pousse, c’est un sacré pépin XD

      Répondre
  14. Manon

    Hello Hello,

    Super intéressant cet article ! C’est bon de pouvoir voir les pour et les contre de ces shampooing. C’est une chouette idée ! Bravo à toi !

    Belle journée, et à bientôt !

    Répondre
  15. Isil Elwing

    Moins cher, belles boucles, lavages moins fréquents? On dirait que pour ton cas, le naturel gagne haut la main! Pour ma part je marche au naturel depuis des années et le conventionnel ne me manque pas. Mes chouchous sont dans la marque Douce Nature: le shampooing des familles et le baume démêlant Argan. Pour les pointes, une goutte d’huile dès qu’elles font la tête, je préfère ce système au bain d’huile. De temps en temps un masque avant shampooing, celui à l’avoine de Weleda. J’ai les cheveux très longs (en bas du dos), je dois y faire attention sinon effet paille puis coupe sauvage de 10 à 20 cm….

    Répondre
      1. Isil Elwing

        Non, il s’agit d’un détournement de produit ; je me suis rendu compte que ce produit était plus efficace ainsi, plutôt qu’en masque après-shampooing ^^

        Répondre

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