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9 avril 2015

La purepressed base powder de Jane Iredale, une bonne fois pour toutes

jane poudrier

En long, en large, en diagonale, j’ai tanné le peuple de la terre entière (du moins mon entourage)(qui voulait bien m’en entendre parler) avec un produit de maquillage qui trône désormais sur le siège de mes indispensables.

Au diable les femmes qui pensent qu’une touche de make-up annihile complètement la liberté de la goumiche, la pousse au rang d’esclave du pinceau et des pigments. Je veux bien être soumise si c’est par un produit qui me rend plus belle, me met en joie, m’offre du glow et le son des maracas.

Cela faisait donc des mois et des mois que j’épuisais mon échantillon de la purepressed base powder de Jane Iredale (à ne pas confondre avec la version « matte », qui n’a rien à voir), en me disant QU’UN JOUR, je m’achèterais le full size.

Histoire de pouvoir parader avec mon boîtier pimpé d’un Swarovsky, de m’enchanter en ouvrant le poudrier, sachant qu’il était mien et qu’on ne se séparerait jamais.

Oui un peu comme un gollum trouve son anneau, j’ai eu du mal à résister.

 

Purepressed Base Powder par Jane Iredale

Je trouve qu’il est incroyablement pénible de trouver une poudre qui ne fasse pas effet poudré (la fille peu chiante, je te l’accorde) : JE DETESTE l’aspect plat, sans dimension, qui laisse une impression de visage sans relief ni vie, un peu dans l’esprit « je me suis mis de la farine, on voit les grains ». Hin hin, je passe mon tour.

jane iredale purepressed powderLa première fois que j’ai pu la tester, c’était chez Kroonen & Brown, j’ai eu droit à un maquillage de pro par Sybille et je suis devenue une fan de la première heure.

Ce qui m’a conquise sans détours est son côté modulable: on peut aussi bien l’utiliser comme correcteur sur des zones qui en ont besoin, comme poudre de finition, ou carrément comme fond de teint. Par la porte ou par la fenêtre, je lui trouve un côté « couteau suisse du minois » qui a TOUT pour me plaire.

Sans compter que la couleur colle parfaitement à mon teint – j’utilise Amber, et la matière « dissout » les imperfections en un geste sans avoir à faire de retouches en journée.

 

J’avais déjà abordé la question dans l’article « discover the brand Jane Iredale », mais ici, les peaux les plus sensibles/intolérantes devraient trouver leur bonheur, vu qu’il n’y a pas de TALC dans la composition (il m’irrite, me saupoudre de micro-kystes, dur de l’éviter quand on sait qu’il est présent dans la majorité des textures sèches dans le domaine du maquillage).

A part le dimethicone jeté en plein milieu de la soupe, il n’y a vraiment pas de quoi être pointilleux, on est face à une liste d’ingrédients exemplaire.

dream tint light jane iredale

 

En général, ma routine teint se résume à :

  • Une noisette de dream tint sur tout le visage dès que le beau temps revient

    C’est l’hydratant teinté parfait, le primer invisible, celui qui s’arrange pour apporter un effet soft focus sans boucher les pores, un petit miracle de printemps
  • Puis j’enchaîne sur la poudre

    Comme il s’agit d’un fond de teint minéral, la matière doit se patiner pour donner tout son potentiel, donc je prend bien mon temps pour enchaîner les mouvements circulaires, en augmentant les couches progressivement selon le rendu que je veux. Si je suis dans un jour light, je passe le mini handi brush à la va vite (pinceau poudre minérale de la marque que je vais aussi finir par acheter en grand format), juste histoire d’apporter de la lumière et de l’unification sans pour autant pousser le bouchon vers le teint PARFAIT

 

avant après jane purepressed base 3JI 2

+ Face Jane Iredale’s dream tint light + purepressed base en Amber + Copper Wind en Blush + Just Kissed en forever peach + 

Je pense que si je suis aussi fan c’est parce que la couleur me correspond parfaitement et que le rendu est vraiment AU TOP, quelle que soit ta qualité de peau : les jours où je ne suis vraiment pas en forme, elle va se charger de me rendre un peu de dignité, et si en plus j’ai des plaques sèches qui traînent par-ci par-là, elle ne les accentue pas – un miracle je te dis.

 

Du matin au soir, il n’y a rien qui bouge, qui se barre, elle a un SPF de 20 qui me protège en journée et COMME c’est du minéral, je ne perds pas l’indice de protection en cours de route, il reste fiable plusieurs heures après l’application.

Aussi, j’ai lu qu’elle était résistante à l’eau et la sueur, mais je n’ai pas testé la chose en condition plus rude que la drache nationale belge, et pour info, oui, ça résiste, la pluie n’en vient pas à bout.

 

Je n’ai pas NON PLUS pu me retenir quand j’ai vu que le just kissed (mon chouchou de baume rose) était sorti en version peach : il est complètement différent du forever pink, même si la texture et la facilité d’application restent identiques. Il a une tonalité plus rouge-orangée, je deviens donc frivole avec « ma bouche mordue », à ma badigeonner la ventouse dans le tram/le bus, t’as vu la teinte de foufou ?

Il a la même qualité que son acolyte à savoir qu’après avoir mangé/bu, même si la brillance part, la teinte ne bouge pas. Et utilisé en blush, il est vraiment craquant et tient lui aussi plusieurs heures sur les joues.

just kissed

Je pense que j’ai signé un contrat avec le diable à compter du jour où j’ai vu la marque s’étaler devant moi sur un présentoir. J’étais déjà foutue à cause des packagings, mais une fois que tu touches à du maquillage minéral de ce niveau-là, tu préfères marcher sur les nuages plutôt que de tester pour moins cher.

Tu deviens difficile, tu te prends pour une reine.

Je ne regrette pas mon achat, vu que j’avais pu épuiser un échantillon avant de passer à la caisse, je savais dans quoi je m’engageais en investissant (oui oui) dans le boîtier complet.

Une fois que j’aurai fini la poudre, il me suffira de racheter la recharge pour la mettre dans le poudrier.

 

Chaque matin, je suis RAVIE de me maquiller, parce que je sais que je ne vais pas devoir me battre avec une poudre qui n’en fait qu’à sa tête, qui s’étale mal, est trop visible ou pas assez pigmentée. Y a assez de jaune dans Amber pour atténuer les rougeurs, y a de la tenue, un rendu satiné et glowy à la fois et une protection solaire dans le toutim.

Tu comprends pourquoi je suis happy maintenant.

 

Des bisous les Caribous !

Jane Iredale PurePressed Base, achetée 48 euros le refill de 10gr + 15 euros le boîtier
Jane iredale Juste kissed Forever Peach acheté 26 euros
Le tout chez Kroonen & Brown, sinon demandez les points de vente à la marque

Caribouland
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2 février 2015

Miracle Cushion de Lancôme, le petit coussin pour le teint

lancome7Quand j’ai lu le mail qui me proposait le test, je me suis sentie flattée, puis un peu prise au dépourvu : Lancôme est une marque que j’adore pour ses mascaras (l’hypnôse drama me charme tant), mais retomber dans une ère de fond de teint liquide me laissait toute pantoise.

Jusqu’à présent mon teint se résumait toujours à la même chose, en grande amoureuse que je suis du foundation stick de Bobbi Brown, dès qu’arrive l’hiver, il a toutes mes faveurs. Un petit trait sur le nez, le haut des pommettes, le menton et au centre du front. La matière étirée au doigt ou au pinceau et le tour est joué.

J’ai la routine makeup très basique, je ne cherche pas à en faire TROP.

PS : ce foutu tube est discontinué, si vous en trouvez encore, foncez, je ne sais pas DU TOUT ce que vaut sa nouvelle version, le skin foundation stick.

 

Mais je suis curieuse, tu sais bien, il m’en faut peu pour craquer (rapport au packaging déjà).

Lancôme a donc lancé un Miracle Cushion en parlant d’innovation, on dira plutôt qu’elle s’inspire de l’Asie pour nous en faire profiter, les européennes n’étant pas forcément des addictes du shopping en ligne mondial.

Le concept du cushion réunit la qualité d’un fond de teint liquide mais sous forme compacte, qu’on peut donc emporter partout avec soi, si l’on veut faire des retouches pendant la journée ni vu ni connu.

 

HONNÊTEMENT, et j’y reviendrai plus bas, une fois que la base de mon teint est faite, je ne réapplique pas un grain de maquillage pendant la journée.

Pour la simple et bonne raison que j’ai la peau mixte, que mon sébum et la première couche que je lui mets par-dessus sont déjà bien suffisants, et qu’une fois que la toile est peinte, je me lance dans la vie en criant « advienne que pourra ».

Ce qui m’intéressait donc plus c’était le côté « on t’as mis une bouteille entière de foundation liquide dans un compact, qu’est-ce que tu penses de ça ? ».

 

Le boîtier

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Classe internationale sur ta commode, même si mes empreintes se font peu discrètes sur le couvercle, on a droit à du design à trois étages : un miroir bien assez grand, une éponge qui repose sur un second clapet (qui cache le fameux coussin).

Le blanc c’est beau, quand ça le reste, ici le boîtier virevolte avec l’orange assez vite surtout si on n’a pas le réflexe (humain) de nettoyer son éponge après chaque usage.

Du coup j’ai trouvé le principe de la houppette – un peu – contraignant, même si, par la porte ou par la fenêtre, le fini avec leur soucoupe blanche (pleine de taches) est TRES beau.

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Est-ce que le coussin apporte un plus ?

J’ai déjà testé des fonds de teint liquide de manière plus ou moins heureuse et je trouve que la délivrance plus aérée de la matière donne un tout autre fini que la scroutch qu’on étale péniblement sur le visage avant qu’elle ne sèche.

DONC OUI, ça me donne envie de tester d’autres cushions rien que pour ça, parce que le dosage est hyper simple (et pourtant je suis une trute de première), qu’on tapote l’éponge sur le cushion puis on étale la matière ou on tamponne, c’est égal.

La facilité est à l’honneur.

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J’avais reçu la teinte porcelaine (1) et le beige rosé (2), j’ai directement exclu le deuxième sachant pertinemment qu’entre le rose et moi, c’est surtout une histoire de fleur, pas de couleur.

Aussi, je trouve que la différence entre les deux premières références de cette gamme est de 1,5 ton au moins.

Même si la couleur porcelaine me convient plutôt bien (tonalité nickel, un peu trop neutre POUR MON GOÛT mais rattrapable avec un blush), ils auraient mieux fait de proposer un peu plus de choix pour les peaux claires comme les plus foncées.

On n’a pas toujours ce qu’on veut Mireille, I KNOW.

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1 – peau nue, 2 – une couche de miracle cushion, 3 – zoom, 4 – fofolle

Pour celles qui aiment la couvrance légère, disons qu’on est plutôt dans un espace modulable. Rien que sur les rougeurs, on peut très bien aller assez haut dans la couvrance sans que cela fasse caky.

Vu la présence de silicones assez importante, la peau devient instantanément floutée comme celle d’une poupée. En zoomant, la matière est quasiment indétectable (et dieu sait que si on voit des pigments jouer au catch sur mon menton, ça me hérisse le pwal).

 

De manière générale

Les bons points

  • un effet soft focus instantané, pas besoin de faire d’effet flou sur les photos, j’ai une peau presque parfaite en vrai
  • la possibilité de changer l’intérieur du boîtier et donc de ne pas le racheter en entier chaque fois (45 euros avec produit, 35 euros la recharge)
  • je n’ai pas noté de brillance excessive : peut convenir aisément à tous les types de peau, un peu poudrer la zone T si vous l’avez assez grasse
  • le produit sent très bon
  • la tenue est IMPECCABLE

 

Les mauvais points

  • la teinte n’est pas parfaite et manque vraiment de jaune pour donner du boost à mon teint
  • forcément il y a du silicone, mais j’ai testé le produit en connaissance de cause, en me disant « pourquoi pas retenter ». Tout ce que je dirais c’est qu’en utilisation tous les jours ça passe (c’est un point positif ça) ===> l’important reste de BIEN SE DEMAQUILLER !
  • la couvrance reste quand même du côté « moyen », donc je n’arrive pas à obtenir de look léger, vu l’effet peau de poupée, je le trouve donc plus adapté aux jours où je veux être sur mon 31 épidermique/sortir/me sentir plus sûre de moi
  • il y a du parfum, donc pas idéal pour les peaux très sensibles
  • le prix, même s’il reste dans la moyenne des produits de parfumerie
  • l’histoire de replonger son éponge dedans chaque jour, entre chaque application, etc. Même nettoyée, ça reste problématique, le milieu est aqueux et n’est pas forcément la meilleure des solution pour les peaux vraiment acnéiques qui ont besoin d’un makeup le plus clean possible (au niveau « microbes) ===> si l’idée même vous dégoûte et que vous êtes psychopatate de l’hygiène, une éponge type celle de real techniques ou beauty blender sont parfaites pour ça

 

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Je suis contente d’avoir testé cette nouveauté (qui n’en est pas vraiment une pour les addictes de l’asiatic world), et j’attends AVEC IMPATIENCE que d’autres marques s’y mettent par ici – oui c’est moi la frileuse de la commande loin à l’étranger.

Je regrette juste VRAIMENT une chose : qu’on ne retrouve pas un vrai plus niveau soin même si la texture reste très confortable. Un petit schmut pour éclairer, assainir, whatever !

On a quand même droit à un SPF farfelu de 23 (PA++), donc pas de quoi se préoccuper des UVA pendant l’hiver, la garantie d’une protection est tenue.

 

Si vous aimez le fini naturel (dans le sens bouge avec tes mimiques), satiné (sans être glowy), et que vous cherchez un fond de teint pour parader comme une souris dans son champ, il pourra vous plaire – attention à l’accoutumance.

J’ai essayé de revenir à mon stick Bobbi Brown mais le fini parfait a un côté très addictif, surtout quand la peau va bien et que tout roule.

Bizarrement, les jours où je portais ce fond de teint on me trouvait très souriante.

C’est comme la bonne humeur qui passe par un string fluo, un petit sproutch de crème teintée peut tout changer.

Des bisous les Caribous !
Offert par Lancôme, 45 euros en parfumerie, disponible en 6 teintes.

Caribouland
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21 novembre 2014

Une (beauty) makeup d’automne

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Si je ne devais citer que trois marques qui m’inspirent confiance et des produits de qualité (durée, résistance aux larmes, à l’échauffement, aux crises de rires), je choisirais sans hésiter Jane Iredale, Bobbi Brown et Une Beauty.

Jane, parce que c’est une histoire d’amour entre ses produits et ma peau, une histoire de colorimétrie parfaite, de maquillage que je peux appliquer les yeux fermés sans me retrouver avec une trace mal étalée en plein jour (clairement, la marque que je choisis quand je dois me peinturlurer le visage à l’aube sans lumière naturelle).

Bobbinette, parce que, lors des matins compliqués, le stick foundation et son correcteur me sauvent la mise quoiqu’il arrive (même quand j’ai le teint brouillé à la fin du mois, paf la matière étirée jusqu’aux oreilles et je retrouve mon visage bien aimé).

Puis Une Beauty.

 

Une natural beauty

Bon, ça se saura, je ne suis pas VRAIMENT une makeup addict : je mets du temps avant de trouver ce qui me plairait sur le papier, j’en ai rien à fiche des dupes et autres compromis à moitié prix :: je regarde la compo, les revues, et si tout reste dans un canevas classique et indémodable, tu me retrouves à la caisse.

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La poudre minérale légère de la marque avait déjà été un gros coup de coeur, pour sa tenue sur mon minois, la bonne teinte pour peau de bidet, et puis surtout son petit budget.

Je l’avais achetée en avril, elle s’est décomposée il y a un mois, et elle a fini comme toute mes poudres compactes qui se cassent la pipe, dans ma boîte vintage au couvercle indestructible.
Pof pof, le pinceau qui écrase les pigments, pof pof, on patine le tout sur les bajoues.

Et roule ma poulette de compète.

 

J’avais aussi testé un de leurs breezy cheeks, rien de foufou au niveau du panel de couleur, mais de quoi avoir sous la main un blush qui tient la route et surtout, ne déclenche pas de crise de boutons quand on est dans une période de guerre déclarée (la fameuse « touche-moi pas sinon je te fais des pustules, gudule »). Une petite touche de fraîcheur qui fait du bien, dans un boîtier qui contient plus de 3 grammes de produit, qui dirait non devant tant de générosité ?

J’ai donc encore été happée comme une débutante, à force d’errer dans les rayons du Di, de voir les « wouhou, viens m’acheter avec un autre poto de ma gamme, je suis à -25% ». Tout ce qui comporte un moins me fait courir à ma perte.

Pour ça que je ne fais jamais les soldes. Never. Ever.

Deux produits pour les yeux plus tard, une soirée sous le bras et une tenue impeccable, j’ai du admettre que même au niveau du makeup pour les mirettes, Une gérait son bouzin.

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Je cherchais depuis un petit moment un khôl brun (à défaut de trouver un liner brun qui ne sèche pas après trois utilisations) histoire d’avoir un crayon ready-to-go, facile à appliquer, et pas onéreux.

J’ai une échelle de valeur en cosmétiques, si un produit de ce genre excède 20 euros, j’ai vraiment du mal, ou alors il faut qu’il ait une couleur de dingue et me fasse danser la capouera.

En le swatchant et l’estompant, j’ai bien senti qu’on allait être amis : rien que sur le dos de ma main il s’accrochait comme une sangsue qui se modère, donc ni trop ni trop peu, histoire d’avoir le temps de le travailler un peu, et la tonalité était froide.

Puis j’ai vu les -25%.

Du coup j’ai acheté une palette dans la foulée, alors que je venais de finir de composer mon quad perso avec les fards de chez MUD (oui oui, je vous montrerai ça), donc achat inutile sur le moment, mais goumiche voulait accomplir son devoir de femme en mode shopping.

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J’ai pris la P07. J’ai longtemps hésité avec la P08, plus dans des tons rosés et bruns, puis je me suis dit qu’il me fallait quelque chose de plus basique : un beau gris clair et un brun, tous deux irisés, et un sfumato gris.

Les trois teintes ne sont pas disponibles séparément, mais si je ne devais en garder qu’une ce serait le browny, complètement « buildable » et couleur parfaite pour mirettes noisette (cookie sur cookie ça fait des chocapics).

unebeauty1-copie-1.jpg

Et depuis quelques semaines, je ne cherche pas les complications : fard clair sur la paupière, le petit browny dans le creux, le crayon en ras de cils et un peu de gris pour intensifier le bas et SFUMATER tout ça en douceur

Au niveau de la tenue, le crayon bat largement les ombres à paupières, vu qu’il faut que j’insiste bien avec mon baume pour le désintégrer, mais les fards tiennent quand même une bonne partie de la journée (même sans base, sur mes noeils).

unebeauty3.jpgJ’ai déjà essayé de m’amuser avec le sfumato gris seul, mais sans pinceaux (le mois prochain, je vais dévaliser les Real Techniques), c’est assez GALÈRE et comme vouloir chercher les poux dans une mer, une cause perdue d’avance.

 

Juste un petit bémol général, tant que j’y suis : autant j’adore les packagings de la marque autant je les hais par la même occasion. A la moindre chute, les matières en poudre se disloquent, et c’est parti pour aller chercher les bouts un peu partout sur le sol. Je te plains d’avance si tu as de la moquette chez toi, ou si ta maladresse mime la mienne.

Mais à part ça, rien à dire.

 

Beautiful makeup, beautiful mood, j’aime bien les marques qui font l’effort d’une compo safe et sont accessibles au grand public avec des prix raisonnables (bon, y a Bourjois derrière tout ça, donc pas d’étonnement). Pour les porteurs de lentilles, les ingrédients de la palette ou le crayon sont sans danger, donc aucun soucis de compatibilité !

Je sais pas vous, mais ça me donne envie d’aller boire un café latte et manger des macarons dorés.

 

Des bisous les Caribous !
Achetés : crayon Une K02 (khôl noirs absolus) & Palette yeux Universelle P07 
Le tout pour moins de 20 euros (bah oui, les 25% !)

Caribouland
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5 novembre 2014

Jane Iredale et ses blushs

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Il fait un temps à se fourrer la tête dans un bronzer.

Dans un mouchoir imbibé de bronzer. Ou encore mieux, à se badigeonner d’auto-bronzant tout en mangeant une carotte en tenue de bibendum orange, à la gloire de la Hollande, une tulipe plantée entre les fesses.

Je suis clairement en train de vivre un mois éprouvant, où Mona La Pwasse dans toute sa grandeur a décidé que c’était ma fête. J’ai eu droit à un petit tour dans les toilettes d’un paki, débarquant avec ma tarte et les cheveux en bataille, parce que je n’en pouvais plus et qu’il fallait que j’évacue mon « pipi de baleine ».

Raz de marée et soulagement.

Jusqu’à la prochaine poisse, le prochain couac.

 

Chaque jour m’offre une petite misère, comme la couque aux noix de pécan dont j’ai rêvé dans mon sommeil qui n’est présente dans aucune boulangerie où je plante mes sabots, une crème main en rupture de stock, un rhume doublé d’un torticolis, des réveils en sursaut chaque matin (concerto de chien et travaux à côté), des colis qu’on laisse sur le pas de la porte, des trajets interminables.

Autant l’an passé, le mois de novembre était sûrement passé comme une feuille d’automne dans le caniveau, autant cette année, j’ai vraiment HÂTE d’être en décembre, que j’enclenche la deuxième sur 2015 et qu’on me foute la paix.

Du coup, j’en ai profité pour refaire un peu de shopping, me laisser emmerder par les gens en rue (y en a pas un pour me contourner, on dirait des obus fonçant sur leur cible) et exploser mon budget.

 

Personnellement, si je suis en mode « gros blues », il y a trois endroits où vous pouvez me trouver : dans la salle de bains, chez Kroonen & Brown, ou chez le coiffeur.
La tête dans un cappuccino est aussi valable.

 

Des blushs et copper wind

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A une époque, quand je sentais que j’avais le moral qui criait trompette, HOP, je débarquais avec ma charrette dans une boutique et tout ce qui tombait dedans était le bienvenu.

J’appelais ça la string therapy.

Je me ruais dans un magasin de lingerie et achetais des millions de culottes en sachant pertinemment que tout m’irait. Simple satisfaction de l’achat sans faille, sourire en coin, il ne m’en fallait pas plus.
Depuis que je connais le monde des cosmétiques, j’ai un peu changé de crèmerie.

Je fais des listes de ce qui me rend fofolle, et une fois que j’ai besoin de réconfort, de souffler, je plie et succombe au plaisir de la dépense.

 

C’est en allant faire un tour chez Kroonen & Brown, avec mes cernes et ma mauvaise humeur passagère, que j’ai repensé à ce blush que Sybille m’avait posé sur les bajoues, le genre de produit qui illumine une journée rien qu’en le regardant (oui oui, il y a tout ça dans une si petite boîte).

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Durant la saison chaude, j’aime énormément – au point de lui vouer un culte – le pot rouge fresh melon de Bobbi Brown, le genre de touche fraîche et peps, avec de minuscules paillettes qui illuminent tout le visage.

Puis, en recevant le magnifique cadeau de Ioana, une beauty box de Jane Iredale, j’ai découvert et adoré cotton candy : un rose froid, irisé, qui réveille instantanément le teint (comme une bonne baffe) et flatte SUPER BIEN les peaux claires.

 

Mais il restait le copper wind en toile de fond, comme une ritournelle, une chanson d’LMFAO qui ne me quittait pas (I’m Sexy & I Know It), j’avais besoin d’un entre-deux.

Ce petit nouveau est cher (36 euros pour la même quantité que le pot rouge) mat, en format poudre, et différent de mes deux favoris habituels : il est un corail orangé, plus du côté doré que rouge de la force, sans fioritures, simplement parfait.

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Haut : Fresh Melon Bobbi Brown  Milieu : Jane Iredale Copper Wind  Bas: Jane Iredale Cotton Candy

 

Je l’avais déjà évoqué, mais les blushs de Jane Iredale sont exempts de talc (souvent présent dans les matières sèches pour le teint, il rend ma peau granuleuse) : on retrouve dedans seulement du mica (minéral), du boron nitride (facilite l’application du blush, naturel), de l’extrait de pin et de grenade. Tu apprécieras la composition courte et efficace, quant au silicone, il est vraiment présent en quantité minime, et je n’ai JAMAIS eu de problèmes.

Mica, Boron Nitride, Dimethicone, Pinus Strobus (Pine) Bark Extract, Punica Granatum (Pomegranate) Extract. [+/- (May Contain) Titanium Dioxide (Ci 77891), Iron Oxides (Ci 77489, Ci 77491, Ci 77492, Ci 77499), Carmine (Ci 75470), Manganese Violet (Ci 77742), Ultramarines (Ci 77007), Red 30 Lake (Ci 73360).

 

Ce que j’adore :

  • pour le cotton candy comme le copper wind : la meilleure tenue de tous les blushs que j’ai pu avoir dans ma vie. On atteint facilement les 8h !
  • le rendu est ultra naturel pour une matière poudre : je suppose que ça tient à leur nature minérale, mais ils sont facile à poser, facile à estomper, une fois en place ils ne bougent pas, des amours de blushs
  • le prix est élevé MAIS, j’ai cotton candy depuis 3 mois, je l’utilise au moins 25 jours sur 30, et il commence à peine à se creuser, donc il va sûrement me durer 9 mois-un an (yeah, encore un produit interminable !)
  • la matière ne s’effrite pas en la prélevant
  • la couleur de copper wind me souffle, il était le petit plus qu’il me fallait pour cet automne (en supplément du thé – du plaid – la doudouce au chien)

 

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Je suis contente comme une gosse qui a eu droit à sa barbapapa au saut du manège parce que je le voulais depuis des mois, et qu’il est enfin à moi au meilleur moment de l’année.

Pas sûre qu’il m’aide à affronter le mauvais temps, le froid et la tenue statique dehors pendant des heures, mais il me fait le même effet qu’une boisson chaude, un rayon de soleil manqué coincé dans un boîtier.

Et si je pouvais, je m’en ferais une écharpe de poudre dorée.

 

Des Bisous les Caribous !
Acheté 36 euros chez Kroonen & Brown
Egalement disponible sur feelunique 

Caribouland
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17 août 2014

Jane Iredale fait briller mes mirettes #discoverthebrand

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Quand j’ai découvert que les produits de Jane se vendaient à Bruxelles, chez Kroonen & Brown, et que je pourrais y trouver le magic mitt sans problème, j’avais dit banco.

Tout en flottant sur mon petit nuage, je pensais à Ioana qui avait pris tout son temps pour m’accueillir, me montrer le présentoir et mes mirettes brillaient comme des phares sur le trajet du retour, complètement gaga dans le bus, le gant démaquillant bien au chaud dans mon sac.

C’est à ce moment-là que je suis tombée amoureuse d’une marque addictive au possible, complètement en accord avec ce que je recherche en général (des actifs, respect de la peau sensible, une qualité over the top), et depuis le début de cet été, au niveau du teint, j’ai été assez mono-maniaque dans le genre, poussant le vice jusqu’à faire des infidélités à Bobbi.

 

Jane Iredale

Jane travaillait dans le milieu du cinéma, à l’époque, et c’est en voyant l’état de la peau des comédiens à cause du maquillage de tournage qu’elle en est venu à créer une ligne entièrement à base de substances minérales (1994).

 

À y regarder de plus près, son petit slogan « the skincare makeup » prend tout son sens :

  • la majorité des ingrédients sont naturels/minéraux
  • non testé sur les animaux
  • pas de nanoparticules minérales
  • mention sur le site si un produit est vegan
  • pas de parabens/phenoxyethanol
  • il y a également des composants bénéfiques pour le soin de la peau
  • ses produits ont été développés pour même convenir aux personnes qui viennent d’avoir un peeling chimique
  • tous les fonds de teint contiennent un SPF

 

Fait important, les poudres/blush ne contiennent pas de TALC, j’ai horreur de cet ingrédient qui fait le bonheur des industriels mais rend ma peau granuleuse comme un vieux frometon. Sans parler de l’irritation à cause de l’assèchement de la peau, il est rare de trouver une marque moyen de gamme sans ce composant, but JANE DID IT !

 

Les produits/mes favoris 

janeiredale2.jpg

Je suis peut-être un être à part, une sorte de golum ou de gremlin qui s’ignore, mais je ne suis pas une grande psychopathe de la cicatrice apparente.

Bien sûr ça me broute la biquette, surtout quand je vois qu’après avoir mâchouillé ma première madeleine au réveil, mon menton prend une teinte rosâtre (ancienne zone de guerre boutonneuse intense). Je suis tellement bardée de cicatrices qu’avec le temps, le bas de mon joli minois (oh oui, jette-toi des fleurs) a pris une seul et unique couleur, mais je fais avec.

Call me zebracadabra.

D’où ma recherche de produits teint qui font plus une belle peau qu’ils n’apportent de la couvrance, je privilégie toujours la vue d’ensemble au défaut particulier.

Je retouche rarement avec un concealer, oui ça va jusque-là.

 

Du coup, j’avais adoré la crème foundation de MUD parce qu’elle annulait à merveille le rose/rouge, tout comme le stick foundation de Bobbi brown pour son effet peau parfaite sans avoir l’air plâtrée.

Mais VOILÀ, en été, on veut du beau qui devient léger, et en tombant sur le dream tint j’ai trouvé mon graal.

dream.jpgDans le genre, je pense que certaines personnes l’utiliseront plutôt en lieu et place d’un primer, vu qu’il ne cache pas vraiment les imperfections, il peut tout à fait s’y prêter.

Mais comme hydratant teinté, il est PARFAIT : il apporte de la luminosité à la peau, un effet satiné magnifique, il est imperceptible et pourtant son effet « soft focus » me rend dingue (le genre de bonshommes qui réfléchissent la lumière pour donner l’illusion d’une peau sans pores)(enfin si, on les voit, mais on dirait qu’on les a affublés d’une parure royale, ça danse la salsa sur l’épiderme et me donne envie de chausser mes plus belles pompes pour simuler des claquettes).

La couvrance est légère, passablement modulable, mais le but est d’embellir et non de couvrir de toute manière (on n’achète pas une fourchette pour boire une soupe, m’voyez), et on a droit à un SPF de 15.

 

Au début je n’osais pas l’utiliser, à cause du dimethicone dans les premiers ingrédients, et finalement, rien à signaler, pas plus de points noirs ni de boutons, pas d’horrible micro-kystes. Une merveille je vous dis.

On trouve aussi du dioxyde de titane (comme protection solaire), du sureau noir pour rafraîchir et hydrater, des esthers de jojoba pour assouplir la peau (et de l’huile de jojoba entière plus loin), de l’huile de tournesol, du beurre de karité, de l’extrait de thé blanc (antioxydant), de l’huile essentielle de lavande (cicatrisante, apaisante), entre autres.

Ingredients: Aqua/Water/Eau, Algae Extract, Titanium Dioxide (Ci 77891), Sambucus Nigra (Elder Flower) Extract, Dimethicone, Jojoba Esters, Octyldodecyl Neopentanoate, Glyceryl Stearate, Helianthus Annuus (Sunflower) Seed Oil, Glycerin, Raphanus Sativus (Radish) Root Extract, Boron Nitride, Butyrospermum Parkii (Shea Butter), Simmondsia Chinensis (Jojoba) Seed Oil, Camellia Sinensis (White Tea) Leaf Extract, Citrus Grandis (Grapefruit) Seed Extract, Lavandula Angustifolia (Lavender) Oil, Punica Granatum (Pomegranate) Extract, Glyceryl Polymethacrylate. [+/- (May Contain) Iron Oxides (Ci 77489, Ci 77491, Ci 77492, Ci 77499), Mica, Ultramarines (Ci 77007), Chromium Oxide Greens (Ci 77288)]

 

janeiredale3.jpgLà où l’histoire a vraiment commencé à devenir intéressante, c’est quand j’ai reçu un très beau cadeau de K&B dans ma boîte aux lettres : une box découverte dans laquelle se trouvait un produit sur lequel je louchais depuis longtemps, la purepressed base.

Waine Goss qualifie ce fond de teint de « naturel et lumineux malgré le fait que ce soit minéral », une petite prouesse dans un bijou qu’il place dans son top20 des produits à avoir, excusez du peu.

 

Encore une fois l’exemple qu’il ne faut pas s’arrêter au nom, il ne s’agit pas du tout d’une base mais d’une poudre pressée qui a une couvrance moyenne à forte, donc mieux vaut avoir la main légère si on l’utilise comme poudre de finition (au top!) parce qu’elle ajoute, par la porte ou par la fenêtre un petit voile de plus.

Il y a des produits poudreux qui laissent un effet sur la peau, comme une sorte de résidu, on voit que la bobine n’est pas naturellement veloutée mais qu’on l’a maquillée. Avec le pinceau du kit, que je mette la dose ou pas, en travaillant bien la matière, j’ai un rendu comme je n’en avais jamais vu avec du maquillage minéral.

J’ai utilisé du Lily Lolo pendant deux ans quasiment, en trouvant le résultat bien mais sans plus, mais ici le constat est sans appel : au niveau de la texture, on obtient un fini patiné complètement fondu dans la peau, et rien que pour ça, je demande un hands up.

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Au niveau de la composition, c’est kif-kif bourricot, Jane jette du dimethicone juste histoire de, mais vu le reste de la liste on est dans le bon : du mica, du dioxyde de titane et de l’oxyde de zinc pour la protection anti UV (SPF de 20), du boron nitride pour le toucher soyeux et la luminosité, le silicone, puis des extraits naturels (de plancton, pin et grenade).

Mica, Titanium Dioxide (Ci 77891), Boron Nitride, Zinc Oxide (Ci 77947), Dimethicone, Stearic Acid, Plankton Extract, Algae Extract, Pinus Strobus (Pine) Bark Extract, Punica Granatum (Pomegranate) Extract. [+/- (May Contain) Iron Oxides (Ci 77489, Ci 77491, Ci 77492, Ci 77499), Ultramarines (Ci 77007), Chromium Oxide Greens (Ci 77288)]

 

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Pour l’instant j’utilise la teinte Amber ; j’ai encore un échantillon d’Ivory et de warm silk sous la main, mais je pense qu’ils m’iront mieux au coeur de l’hiver.

 

Je trouve que, pour les jours où j’ai vraiment envie de faire ma bibiche, la combinaison dream tint plus la purepressed est une association d’enfer qui me donne l’impression d’avoir une peau de poupée mais pas du tout figée.

Incredibeul.

 

En vrac

J’ai eu l’occasion de tester d’autres produits de la marque pendant des sessions de maquillages chez Kroonen, donc en vrac :

  • le jelly jar eyeliner : un eye-liner en gel que j’avais acheté en brun, parce que yeux noisettes et envie de changement. Il a très vite séché, en deux-trois semaine maximum, du coup quand je veux encore l’utiliser, je dégaine le sèche-cheveux pour réchauffer mon mini-pot, j’ai vu plus pratique pour se préparer le matin. Mais sinon, très bonne tenue, une couleur magnifique parce que la matière est piquée de minuscules paillettes bordeaux. Mais bon, tant de regrets devant cette beauté séchée.Mention spéciale pour le pinceau sur lequel j’avais aussi craqué, « c’est de la bonne » comme on dit
gelliner.jpg

 

  • les blushs : copper wind est sur ma wishlist, mais en attendant, j’ai pu me faire la main avec cotton candy, et rien à dire :: ces blushs sont un vrai plaisir à appliquer, il n’y en a jamais trop, la tenue est presque excellente sur ma peau (quand il en reste en fin de journée c’est bon signe, non ?). Pareil que pour les autres produits de teint, il y a un silicone jeté dans la composition, mais je n’ai pas eu de bubons qui ont poussé sur les joues, donc je valide
  • la bb cream : un peu plus chargée en silicones, mais BON DIEU, si votre peau les supporte et que vous cherchez un produit make-up de ce style, qui cache/lisse/vous change la vie mais avec un effet lumineux incroyable, c’est cette bb crème qu’il vous faut (et le fait qu’elle soit très chargée en pigments la rend couvrante au possible)
  • le circle delete : s’utilise logiquement comme correcteur et illuminateur pour les cernes mais je l’utilise plutôt comme cache cicatrice quand j’ai envie d’être impeccable, sa compo naturelle jouant en sa faveur vu qu’il camoufle sans me faire pulluler (mais il faut hydrater dans les règles sinon il marque)
  • le lipdrink : un baume à lèvres qui sent le fruitella à l’orange, très hydratant (mais au rendu un peu blanc qui en fait plutôt un doudou des lèvres pour le soir). Une vraie gourmandise !

 

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Face // Dream Tint Light + Purepressed Base Amber + forever pink on the lips + cotton candy blush + high impact clinique + brow shaper bobbi brown mahogany

 

Sur la photo, on voit ma tête après une journée de shopping sur bruxelles (y avait un trolley dans l’histoire, à trimbaler dans une Rue Neuve complètement bondée, et une proposition d’abandon de la valise sous peine de virer hystérique), et le maquillage tient tout à fait ses promesses vu que rien n’a bougé.

 

Pour conclure, Guldur, je pense qu’il ne faut pas faire comme moi, c’est-à-dire loucher sur tous les produits de la marque. Pour l’avoir testé en long en large et en travers, son odeur et sa contenance, je recommande vivement le Dream Tint, à tous les types de peau vu que je lui trouve un effet un peu matifiant mais sans altérer l’état de la peau.

Mais j’aime tellement la Purepressed Base aussi.

Et le forever pink.
Et mon magic mitt.

Et leurs sprays hydratants qui coûtent un pont.

 

Bref y a le choix, mais ne vous fiez pas au prix, la majorité des packagings pour le teint sont au-dessus de la moyenne (50ml), donc durent longtemps. Puis, finalement, ce test sur plusieurs mois a encore été la preuve qu’il ne fallait pas que je m’arrête au seul silicone perdu dans les ingrédients, les formulations priment !

J’espère vraiment que le petit tour d’horizon de Jane iredale vous aura plu, je compte mes sous, moi, j’ai un blush qui n’attend que mes joues sauf qu’il ne le sait pas (encore).

Je l’aurai un jour, je l’aurai, la patience paye paraît-il.

 

Des bisous les Caribous !
Tous les produits de la marque sont vendus chez Kroonen & Brown
Dream tint light 50ml/39 euros
Vous pouvez également trouver un point de vente par ici
Sinon, sur feelunique, beautybay…

Caribouland
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