13 mai 2013

La crème hydratante essentielle par Trilogy

Il y a un bon mois, par un matin glacial, pluvieux, venteux, un temps de merde à faire chier les chiens sur le pallier, j’ai vu ma peau crier famine dans le miroir.

Avec l’ouragan qu’il y avait dehors, j’avais les joues qui était devenues rudement sèches, j’avais essayé plusieurs crèmes mais aucune n’arrivait à pallier à ce problème.

De plus, mon philtre de beauté Nominoë montrait ses limites et arrivait à sa fin, je suis donc allée voir ailleurs.

 

La Crème Hydratante Essentielle de Trilogy   !

Je pense que j’ai changé de type de peau ces derniers temps, et que je suis passée de mixte à grasse à normale à mixte au début du printemps, ce qui fait que je dois me plier à de nouvelles habitudes de soins pour rester sur ma lignée du « pas de boutons, tope-là ».

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La marque

Créée par deux soeurs Néo-Zéelandaises, Trilogy est une marque qui propose des produits à la fois bons pour la peau et avec un impact minimal sur l’environnement.
 

« Maximum effect on your skin,
minimum effect on our environment. »

 

La plupart de leurs produits sont à base du fruit de l’églantier ou rose sauvage, le cynorhodon, qui produit une huile aux vertus incroyables :

« L’huile de cynorhodon de l’églantier n’a pratiquement pas son pareil pour régénérer la peau. Elle contribue à stimuler la production de collagène et améliore ainsi la capacité de la peau à se réhydrater. Comme elle a aussi une influence positive sur le renouvellement cellulaire, c’est une huile idéale pour les peaux sèches, mûrissantes et facilement inflammées. » Source

Cette marque est surtout connue pour son best-seller, son concentré bio d’huile de Rosa Canina (nom latin de l’églantier, ou rose sauvage), gorgé d’anti-oxydants et d’autres ingrédients végétaux bénéfiques pour la peau.

 

La crème

J’ai beaucoup hésité avant de l’acheter, la faute à sa composition très riche en huiles en tout genre, j’espérais surtout que la balance entre la glycérine végétale et la base nourrissante serait bien équilibrée.

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Dedans, il y a (en vrac)

  • de l’huile d’amande douce, d’onagre, de jojoba, d’églantier, de tomate, de cranberry, de tournesol, de baie d’acaï, de marula, de carotte
  • de la vitamine E, de l’extrait d’aloe vera, d’avoine, de fleur de camomille, d’orange amère, de romarin

 

Le packaging/le produit

La première chose qui m’a frappée, c’est le poids du pot (en verre poli): 120 grammes sur la balance ! Autant dire qu’avec mes petits bras, je me muscle chaque jour pour le sortir de ma beauty case.

Ça mis à part, le packaging est plus que sympa, on a vraiment l’impression d’avoir un objet de valeur entre les mains, et le tout est solide, donc pas de risque de fuite.

Une spatule est fournie dans l’emballage, ce qui est plutôt sympa pour garder le produit le plus hygiénique possible sur la durée.

 

Concernant l’odeur, je préfère vous dire que la première fois que j’ai utilisé cette crème, j’ai été surprise et eu la même réaction qu’avec la Nominoë : un peu du mal à m’y faire, mais ça a fini par me plaire.

En résumé, ça sent surtout le citron léger sur fond de plante, sans être écoeurant ni rester sur la peau trop longtemps, un bon point !

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La texture est impeccable, la crème s’étale très bien, et même si elle paraît plutôt compacte dans le pot, une fois prélevée elle a le même rendu sur les doigts qu’un yaourt gorgé d’eau.

 

Sur la peau

A la première utilisation, ça a été un soulagement total.

Les plaques de sécheresse pour cause de déshydratation intense sont parties en un jour et demi, et ne sont jamais revenues malgré le temps en dent de scie qu’on connaît en ce moment.

 

Le côté nutritif de la crème ne m’a jamais posé de problèmes non plus : pas de boutons, le teint non granuleux, la peau douce qui danse la salsamba à toute heure sans luire (luire de gras j’entends, parce que pour la luisance due à la chaleur, je n’ai toujours pas trouvé de solution).

Je l’utilise aussi de temps en temps sur mon cou (il n’est jamais trop tôt pour contrer l’effet sharpei) et il en faut très peu à chaque utilisation ce qui en fait un produit plutôt économique sur le long terme.

Elle est conçue pour convenir à tous les types de peaux, ceci dit, je pense que pour les peaux grasses, elle risque d’être troplourde.
Pas lourde physiquement, mais dans ses ingrédients.

 

En conclusion

J’aime énormément cette crème puisqu’elle fait tout ce qu’on attend d’elle !

Comme son action hydratante est longue durée (mais vraiment !) et que le nettoyant que j’utilise en ce moment respecte totalement mon épiderme, il y a certains soirs où je ne mets rien, parce qu’aucun besoin et que ça ne tire pas du tout.

Sur le site il est mis qu’elle aurait également un effet sur les rides, mais je pense surtout que c’est surtout l’hydratation optimale qu’elle apporte qui remplit ce boulot à merveille.

Si vous cherchez un soin qui donne à la peau un rendu velours et la repulpe comme des grains de framboise, c’est celle-ci qu’il vous faut.

Elle existe en version pot de 60ml et de flacon pompe de 50ml, tous les deux au prix de 29.95 euros sur le site de la marque.
Je l’ai achetée sur Feelunique, où elle est souvent en stock limité (donc faut agir vite !)

 

Bonne soirée les Caribous !

Caribouland
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2 mai 2013

What makes people happy

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Quand j’étais petite, dans la cour d’école, a commencé à se développer la mode des yoyos.

Un gosse est arrivé un matin avec un engin tout rond qui filait du sol à sa main, de sa main au sol, tendu sur un fil qui le guidait dans sa course et l’envoyait valser en l’air.

On était déjà passés par les Tamagotchis et les Furbys, des jouets assez évolués pour l’époque, mais nous prenait alors l’envie de retourner à nos basiques, à des jeux qui avaient déjà fait leur preuve auprès d’autres générations de gamins.

Ainsi, en une semaine, nous nous étions tous retrouvés avec des yoyos au bout des doigts et ça nous rendait heureux comme des rois.

Le bonheur ça se cache un peu partout, dans le trou à l’intérieur d’une poche duquel on extrait un billet oublié, moi mes petits bonheurs se comptaient par milliers à ce moment-là et étaient empreints de simplicité.

J’allais à la chasse aux escargots dans le fin fond de la France, je mangeais des pizzas généreuses en Sardaigne au bord de la mer, je savourais l’odeur de l’herbe après la pluie, celle du gazon fraîchement coupé, je touchais les vêtements les plus doux d’un magasin, je marchais sur une dalle sur deux dans la rue.

 

Les moments de plaisirs changent avec les années, ça mature, ça prend une dimension plus sérieuse.

Maintenant que je suis jeune adulte, j’arrête de jouer avec le rouleau de papier toilette dans les WC, je n’aspire plus mes pâtes sauce tomate pour m’en mettre partout en public, je ne retiens plus les blagues, j’ai des soucis et des envies non réalisables.

D’où la petite frustration.

Je regarde l’enfant dans le tram qui mange un paquet de bonbons grand comme ça, sans se faire engueuler par une balance imaginaire, je râle parce que j’ai une trace de bic sur les mains alors que quand j’étais môme, je peinturlurais ma paume avec un magicolor noir sans que cela me pose un problème esthétique quelconque (puis, plus c’était moche plus c’était drôle).

J’éprouvais un plaisir indescriptible à construire une cachette dans les bois à douze ans, à rester sous la couette pour écouter Fun radio tard le soir, je cherchais des recettes pour devenir une sorcière et cela m’électrisait, convaincue que j’étais de pouvoir passer dans un autre monde grâce à un miroir bien orienté.

Alors, parfois, quand je me retrouve devant un donut bien gonflé de crème, je me fais une folie et brave l’interdit de la bienséance, je mord dedans et souffle avec mon nez pour faire voler le sucre glace.

Et toute prise dans mon nuage blanc, j’imagine la licorne qui m’attend pour me ramener chez moi, décorée de bouclettes rose et bleues et pimpante comme une Ferrari toute neuve.

Y a pas de mal à être grand, tant qu’on rêve encore un peu.

En tout cas moi, c’est ce qui fait mon bonheur.

Caribouland
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25 avril 2013

Les cleansing balms

Quand je découvre quelque chose, je dois sûrement vivre cette même ivresse que les gars qui se ruaient vers l’or :  l’impression d’avoir déterré des pépites et hurler  » diiiiire que pendant tout ce temps c’était là sous mon nez, didjuu ! »

Ma découverte du mois, donc, le truc sous le pif que je ne connaissais pas, ce sont les cleansing balms.

J’arrive sûrement après une guerre pour les plus calées d’entre vous mais dans ma salle de bains, le changement de bord a eu lieu quand mon huile Edenens est arrivée à son terme.

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La plupart du temps, je traîne sur feelunique, je traînote même, je pianote, passe d’une page à l’autre, et alors que je galère pour trouver un produit à la compo plus ou moins sympa, je tombe sur le mot « cleansing balm« .

Tiens tiens. Trois googlitudes plus tard, je suis en transe derrière mon écran parce que je viens de découvrir un monde pailleté niché entre le démaquillant et le nettoyant.
Si la plupart des huiles actuelles du commerce s’émulsionnent et deviennent du petit lait après l’ajout d’eau, je n’ai jamais eu ce sentiment de « nettoyage vraiment complet ».

Comme si l’huile était efficace mais qu’il manquait un petit quelque chose pour que je me contente de cette seule étape dans mon millefeuille.

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Le principe du cleansing balm

Souvent présentés sous forme de baumes huileux ou crémeux, ce sont des textures riches, avec beaucoup d’huiles dedans qui permettent de bien décoller le maquillage et la pollution qu’on accumule dans ses pores pendant la journée.

muslinTourné comme une sorte de rituel par la plupart des marques spécialisées, ces nettoyants/démaquillants performants sont vendus avec une mousseline (ou MUSLIN en anglais).

Il s’agit d’un carré de tissu, le plus souvent du 100% coton, qu’on imbibe d’eau bien chaude, et qui sert à ôter le produit du visage en ayant les pores bien ouverts grâce à la chaleur.

Une fois le nettoyage terminé, on referme ses pores avec un splash d’eau froide, et on est pimpant.

Je vous reparlerai du  Cleanse & Polish de Liz Earle, le baume que j’utilise en ce moment, car je n’ai pas encore assez de recul que pour avoir un avis définitif sur l’effet à moyen terme.

Mais en tout cas, sur le (très) court terme, je constate déjà deux choses :

  • la peau reste bien hydratée et parfaitement nettoyée !
  • c’est la première fois qu’un nettoyant (autre que le miel) me laisse cette sensation de douceur exceptionnelle, sans que l’application d’une crème de soin soit nécessaire par après (oui oui !)

Il est certain que l’usage de la mousseline joue énormément dans l’efficacité du produit, et surtout dans l’expérience sensorielle.

Plein de marques ont fait leur preuve, Liz Earle donc, mais aussi Emma Hardie, Balance Me, Eve Lom, et j’en passe.

Même s’il est vrai qu’en général l’investissement de départ paraît élevé, le produit va vous durer assez longtemps (et pour les tissus, he bien, ça dépendra de vos qualités de ménagère)

Le confort après utilisation en fait un soin que je trouve totalement adapté à toutes les filles, quel que soit leur type de peau.

Alors, vous connaissiez ? Ca vous donne envie ?

Des bisous mes Caribous !

Caribouland
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16 avril 2013

Le masque apaisant hydratant d’Avène, que « s’il n’y en a plus je pleure »

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Il y a quelques mois, j’étais tombée sur une vidéo d’Hélène de MBDF qui avait la peau complètement en rade après une allergie cosmétique, et avait fait tout un speech bien convaincant sur le masque apaisant hydratant d’Avène qu’elle disait utiliser comme on vide un évier, à la vitesse de la lumière.

 

Tchou Tchou, j’ai été faire mon show dans une parapharmacie du quartier mais dans les rayons j’étais moins emballée :

  • le pot ne faisait que 50 ml, et selon moi c’était une contenance ridicule (parce que bien sûr à l’époque, j’étais certaine que je n’allais faire que trois masques avec ce tube)
  • du coup comme je pensais qu’il n’allait pas me durer longtemps, je le trouvais cher (15 euros)

 

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C’est au fur et à mesure des utilisations que j’ai compris qu’en fait, un masque, ça ne se fait pas à la truelle, mais en fines couches bien réparties.

Viens, on va parler.

 

Le masque hydratant apaisant d’Avène 

Je vais ENCORE vous embêter avec ça mais ma peau fait partie de celles qui adorent l’eau d’Avène, qui veulent en boire tous les jours jusqu’à plus soif, se rouler dedans, la prendre en perf’.

Pour tout vous dire, si je ne devais emporter que deux produits sur une île déserte ce serait mon rhassoul et ce masque qui font un duo d’enfer digne d’un bon vieux Laurel et Hardy.


Le packaging

Il est tout simple, contient donc 50 ml, et se présente sous forme de tube.

Quand on arrive au bout, cela devient un peu compliqué d’extraire le produit, il faut alors envisager de couper le tout dans la largeur pour pouvoir vider la bête jusqu’à la dernière goutte.

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Le produit

J’avais essentiellement acheté ce masque pour :

  • hydrater ma peau
  • l’apaiser quand j’étais en phase de crise boutonnesque
  • et avoir une belle peau bien repulpée et qui criait « ouais gars, je suis un épiderme Deluxe »

 

Au niveau de la composition, il y a plus de 72% d’eau d’Avène dans ce produit, de l’huile de Carthame, mais également un élément qui fâche pas mal de gens car en deuxième position, de la paraffine liquide.

Alors, on en a pas vraiment parlé encore sur ce blog, mais quand vous achetez un soin et que vous faites plus ou moins attention aux ingrédients, il vaut mieux privilégier des substances actives qu’inactives.

 

La paraffine liquide est un élément issu de la pétrochimie, mais également un agent filmogène dans les soins cosmétique qui crée une couche à la surface de la peau et peut empêcher certain types de peaux (mixte à grasses) de « respirer » correctement (les silicones ont un peu le même genre de comportement).

J’avais déjà testé la Bio oil à une époque, qui avait cet ingrédient dans sa composition et ça avait été une catastrophe, j’avais eu une escouade de boutons blancs qui avaient débarqué sur mon menton, ô joie.

POURTANT, car il y a un mais, un naguère et un jadis, le masque d’Avène n’a eu aucun effet négatif sur ma peau.
AU-CUN.

 

D’où ma conclusion à ce sujet : rien ne vaut le bon vieux test cutané pour voir si vous tolérez un produit ou pas, car une formulation n’est pas pareille à une autre et la peau réagit toujours différemment à celle de quelqu’un d’autre.

 

Utilisation

Il faut étaler une couche plus ou moins épaisse sur le visage et attendre 10 à 15 minutes.

Une fois le temps écoulé, enlever le surplus.

a4.jpgLa première fois que je l’ai appliqué, j’ai cru me mettre de la crème gorgée d’eau, à la fois très fluide mais en même temps très riche (bonjour, je parle pas français).

Ma peau avait tout bu en 2 minutes chrono, signe qu’elle avait fortement besoin d’hydratation, j’ai donc du en rajouter une couche, qui elle, a moins pénétré. J’ai alors enlevé le surplus 10 minutes plus tard.

J’avoue que parfois j’utilise ce masque comme un masque de nuit : je l’applique, je laisse tout bien pénétrer, et après une heure je masse ma peau s’il en reste histoire de ne plus avoir de résidus (en général, il ne me reste pas grand chose).

Au réveil, la peau est magnifique, douce comme de la soie et au top de sa forme.

a5.jpgJ’en suis encore à mon premier tube même s’il commence à montrer des signes de faiblesse, il m’a duré 4-5 mois jusqu’à présent.

Concernant l’odeur, ça sent le soin Avène, rien de particulier à dire là-dessus.

 

Le mot de la fin

C’est LE masque que je sors en cure dès que je sens qu’il y a une crise de déshydratation, que j’ai pas mal utilisé cet hiver pour assouplir ma peau bien agressée par le froid.

Quand j’ai la peau irritée sans raison, ou des plaques rouges par réactivité à l’eau, il arrive à bien apaiser ma peau
Je l’ai aussi déjà utilisé uniquement en local sur les joues il y a un mois car j’avais de grosses plaques sèches à cet endroit-là.

Je pense qu’il peut convenir à tous les types de peau, plutôt celles qui tolèrent cette eau thermale, et qui ont la peau sensible et qui ne supporte rien en ce moment.

Enfin voilà, j’arrive au bout du premier tube, j’ai envie de pleurer.
Je vais aller m’en racheter.

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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15 avril 2013

De l’intérêt du démaquillage

Quand My beauty a lancé son défi du lundi sur le démaquillage, je me suis dit « ha tiens, en v’là une bonne idée pour taper sur les doigts de tout le monde ».

Puis j’ai vu qu’il y avait des questions auxquelles il fallait répondre, et que ça parlerait de moi, encore une fois.

 

Alors, quitte à vous dire ce que je fais et pourquoi je le fais, je m’en vais répondre aux questions et vous glisser quelques conseils par-ci par-là, si tant est que vous soyez encore larguées en démaquillage (et pourtant dieu sait si je fais des efforts pour vous inciter à passer par le lavabo chaque soir).

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Première question  : « est-ce que vous vous démaquillez tous les soirs? Pourquoi? »

Tous les soirs où je suis maquillée (sinon je passe directement au nettoyage).
Je fais l’impasse dessus les soirs où je ne suis pas chez moi, mais sur une année, c’est vraiment très peu de démaquillages manqués.

Je le fais parce que tout simplement, le maquillage n’est pas un soin qu’on doit laisser sur la peau comme un masque de nuit.

Plus vous laissez des particules de fond de teint traîner sur votre minois, plus vous aurez de chance de vous retrouver avec quelques pores bouchés et une taie d’oreiller bien sale.

Pour une soirée, ce n’est pas grave, on peut dire coucou au divan si on est complètement déphasée dans sa tête et qu’on voit des poneys, mais si vous arrivez encore à marcher, vous savez où aller avant de vous vautrer dans votre lit. (Et non, je ne parle pas des toilettes)
 


Deuxième question : « quels produits utilisez-vous pour vous démaquiller? »

Depuis que j’ai découvert le millefeuille, je n’ai jamais jonglé qu’entre deux sortes de produits : l’huile démaquillante et l’eau micellaire.

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L’huile, c’est le nec plus ultra pour se démaquiller en douceur et en profiter pour se massage-ouiller le visage, l’eau micellaire est un peu plus fraîche et je la préfère pour des saisons plus chaudes ou quand j’ai très peu de maquillage à enlever.

 

Troisième question :  » êtes-vous adepte des rituels précis et organisés, ou au contraire allez-vous au plus simple? « 

Je vais au plus simple le matin, et je me millefeuille le soir, ça me permet d’aller à l’essentiel au réveil, et d’être impeccable au moment de me coucher.

 

Quatrième question : « êtes-vous satisfaite de votre routine actuelle? »

Très.

J’ai mis du temps à trouver ce qu’il me fallait, mais après un an de travail acharné à suivre des pistes et fermer des portes sans issues, je suis enfin arrivée à cerner ce que ma peau aime plus ou moins. (Et oui, j’en suis fière)

 

Cinquième question : « quels produits aimeriez-vous tester pour améliorer votre démaquillage? »

Alors là, je suis en pleine découverte virtuelle des démaquillants baumes qui s’utilisent avec des muslin cloths (une sorte d’éponge/voile en coton). Depuis quelques jours ça me démange fortement d’en commander, mais ça rimerait à mettre la tosowoong de côté, ce qui m’embête un chouilla.

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J’ai remisé mon envie d’avoir une Clarisonic, même si j’ai tanné tout le monde il y a quelques mois de cela pour qu’on aille m’en chercher une à la nage.

 

Sixième question : « votre routine démaquillage évolue-t-elle avec les saisons? »

Ce qui évolue le plus dans mes routines, ce sont plutôt les soins de « bout de chaîne », type la crème, et la lotion.

Je suis toujours tombée sur des produits qui me convenaient pour le démaquillage et le nettoyage, donc de ce côté-là je n’ai jamais eu de soucis.

NB : ce n’est pas parce qu’un produit ne reste que deux minutes sur votre visage qu’il ne peut pas être responsable de sa déshydratation, au contraire. Pensez à bien choisir vos produits, un à un.

 

Septième question : « comment votre routine a-t-elle évolué avec le temps? (utilisez-vous toujours la même technique aujourd’hui qu’il y a 1 an, 5 ans, 10 ans, 20 ans…?) »

J’avais une routine folklorique quand j’étais ado, j’allais au supermarché sans aucune idée précise et je prenais toute une gamme nivea pour me remplir les bras, plus fortement attirée par le packaging et l’incroyable slogan « dégommeur de pustules » plutôt que par la réelle efficacité.

(Gros souvenirs d’une crème bleue élastique pour « hydrater » et matifier ma peau, qui ressemblait au Slime vert avec lequel on jouait en cour de récré il y a 15 ans)

Mes crèmes étaient des monstres purifiants, je me nettoyais le visage avec un scrub (effet Spontex assuré), je ne me démaquillais pas tous les soirs, c’était l’anarchie cellulaire, mes boutons faisaient des monts et moi je criais au scandale.

Ma routine a évolué vers un mieux depuis, mais j’ai du attendre que mes hormones se calment pour enfin apprécier les soins de manière générale.

Je garde de très mauvais souvenirs des laits démaquillants, froids à l’application, qui ne démaquillaient rien, qui laissaient la peau grasse, collante, luisante, un air de boule à facettes bien trop heureuse.

Oui j’avoue, je viens de loin.

 

Le mot de la fin

Il y a des filles qui ne se démaquillent pas et qui gardent un teint de rêve et d’autres qui prennent trop soin de leur peau et deviennent criblées de boutons.
On vous l’a toujours dit les filles, le mieux, c’est la demi-mesure, ça permet d’en rajouter sans en faire trop.

Et pour celles qui font l’impasse 365 jours par an, c’est peut-être ce genre de vidéo qui vous fera changer d’avis :

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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