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13 juillet 2014

Avène (OUI encore !) et son top coat pour le body, le xeracalm AD

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J’ai récidivé.

J’essaye vraiment de me contenir, d’ignorer les packagings blancs de la marque, les produits que je n’ai pas encore testés, mais une fois dans la pharmacie, sans but grosse menteuse ni envie, je me découvre une nouvelle passion pour une huile lavante que je ne connaissais pas (en vrai si, mais je simule, et lance un « oh le beau bidon ! »incrédule ), et je repars avec, un air de paon trop fier imprimé sur la face.

 

Je me fais honte, je devrais intenter un procès contre Avène pour « trop grosse influence sur mon cerveau de goumiche », je n’ai pas les neurones qui se touchent quand on me parle d’eau thermale, je perds mes moyens.

Et abuser de moi comme ça, c’est mal, c’est du viol moral, de la cosmético-influence intelligemment dirigée.

Donc ouais, Pierrot (Pierre Fabre), si tu m’entends, essaye de créer des soins crades et des flacons turquoise, ça au moins, ça n’éveille pas mon esprit de niaise.

J’en ai marre de passer pour une faible.

 

L’Huile Lavante Relipidante

Finalement je me rends compte que depuis 7 mois au moins, je n’utilise que du Avène sous la douche (en majorité), mais après deux petits pains lavants et la savonnette qui glissait à terre sans prendre en compte mes capacités de bigleuse (je me retrouvais accroupie sous le flot brûlant pour essayer de trouver un savon blanc sur fond blanc en y voyant que niète), je tenais à sortir de la cabine lavée mais sans fracture du coude pour cause de trébuchement sur un petit carré glissant invisible.

Un wash wash simpliste, je voulais juste un wash wash sans froufrous ni boa.

 

Ce qu’en dit la marque, texture et compo

Avène a lancé ce produit il y a quelques mois pour répondre aux besoins des peaux chiantes (wouhouuu, je suis là !) sans les agresser sous la douche ou dans le bain.

 

Est-elle faite pour moi ?

L’Huile Lavante Relipidante XERACALM A.D est spécifiquement formulée pour nettoyer en douceur  les peaux très sèches du nourrisson, de l’enfant et de l’adulte :

  • Peaux à tendance atopique
  • Peaux sujettes aux irritations, aux démangeaisons dues au dessèchement cutané
  • Peaux sèches par nature

SANS SAVON, SANS PARFUM, pH PHYSIOLOGIQUE

 

La composition est exempte d’huile minérale, de silicone ou paraben, et son pH est réglo pour la peau.

Dedans il y a de l’eau d’avène, de la glycérine pour hydrater, du disodium LS qui est un tensioactif basique suivi du sodium coco qui lui est reconnu comme non ou peu irritant, plusieurs émulsifiants, encore un TA doux, de l’extrait d’aquaphilius (à la base de la technologie I-modulia, censé réduire rougeurs et irritations), des émollients, de l’huile d’onagre régénérante, et deux conservateurs bien tolérés, entre autres.

AVENE THERMALE SPRING WATER (AVENE AQUA). GLYCERIN. PEG-7 GLYCERYL COCOATE. DISODIUM LAURETH SULFOSICCUNATE. SODIUM COCOAMPHOACETATE. PEG-25 HYDROGENATED CASTOR OIL. CETEARETH-60 MYRISTYL GLYCOL. PEG-200 HYDROGENATED GLYCERYL PALMATE. LAURETH-3. COCO-GLUCOSIDE. AQUAPHILUS DOLOMIAE EXTRACT. ARGININE. CAPRYLYL GLYCOL. CITRIC ACID. EVENING PRIMROSE OIL/PALM OIL AMINOPROPANEDIOL ESTERS. GLYCINE. OENOTHERA BIENNIS (EVENING PRIMROSE) OIL (OENOTHERA BIENNIS OIL). SORBIC ACID. TOCOPHEROL

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Loin d’être une huile, je trouve que la texture se rapproche du démaquillant velours de Liérac : ce genre de liquide à la consistance d’un gel, et épais sous les doigts, la couleur elle-même étant plus blanche et transparente que réellement jaunâtre.

 

Quatre choses me dérangent :

  • Impossible de savoir quelle quantité il reste de ce foutu nettoyant, on ne voit absolument rien ! (ET OUI j’ai même essayé d’y voir plus clair avec une lampe de poche calée derrière la bouteille pour simuler un contre-jour, mais nada)
  • La pompe est vraiment mal foutue et trop courte : j’avais déjà fait tomber le bidon deux fois en voulant me servir, il vaut mieux le pencher avant de presser l’embout sinon tout le produit se répand sur le flacon sans tomber dans la main. Et vous savez comme moi qu’un engin de 400 ml à l’oblique est plus prompt à se faire la malle
  • l’odeur : un parfum un peu rance sans être franchement dérangeant, il n’est pas des plus agréables (le prix à payer quand on a une peau à problèmes, on fait plus ou moins l’impasse sur tous les gels plaisir)
  • la quantité nécessaire : trois doses donc BEAUCOUP PLUS que ce que j’utilise en temps normal, mais si j’en mets qu’une, je n’ai pas l’impression que l’huile joue son rôle protecteur

 

J’ai passé quelques jours à ruminer avant de fermer les yeux sur ces défauts (je préfère être charmée puis déçue que l’inverse, va savoir), mais j’ai du admettre que ce produit fonctionnait très bien.

Il ne mousse pas des masses mais, je le rappelle, les bulles ne sont pas gage d’efficacité, et la xeracalm nettoie très bien et comme il faut, jusque sous les aisselles !

 

Je l’ai utilisée seule, suivie du gel lipikar, après des marches éprouvantes sous le soleil, quand la sueur m’irritait de partout (surtout dans les creux du corps), quand il faisait un peu plus frisquet, et à chaque fois, elle apaisait et se suffisait à elle-même.

Contrairement à une huile de douche comme la Eucerin, cette huile-ci laisse une sensation de peau profondément plus souple mais sans la sensation d’un film qui la couvre, l’effet est plus persistant, comme un épiderme qui se porte mieux au fur et à mesure du temps, tout ce dont j’avais besoin.

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Je ne me suis pas grattée une seule fois depuis que je l’utilise, donc j’imagine qu’elle contribue à  la bonne santé de ma petite peau tout en la respectant au maximum, la douceur est vraiment au rendez-vous mais sans la fragrance « bave suave de bisounours ». Je ne pourrais par contre pas me prononcer sur sa capacité à calmer des peaux plus à la dérive que la mienne.

Je pense que, déjà, la garantie d’un produit sans parfum, et sans agents lavants très agressifs limite le risques d’une inflammation supplémentaire.

 

J’ai vu qu’on pouvait l’utiliser également sur le visage, et au vu de la composition, aucun dégât ne serait à déplorer. 

 

Je l’appelle mon « top coat » pour le body, parce que la première fois que je l’ai utilisée, elle m’a fait penser à la protection qu’on met par-dessus la peau, comme le last step d’un layering corporel, la couverture finale.

A vous de l’utiliser comme nettoyant unique ou comme dernière touche beauté avant de mettre un pied hors de la douche, je suppose que le choix est vaste.

Je la trouve basique, bien relipidante et suffisante, rien à dire de plus, même si j’ai une légère préférence pour le pain peaux intolérantes qui a l’avantage d’une texture plus agréable. Mais ça se joue à peu.

Salut, douchez-vous bien, je pars déjà à la recherche d’un nouveau produit Avène à acheter si personne ne m’attache, je vous préviens.

 

Des bisous les Caribous !
Huile lavante Xeracalm, achetée 17 euros les 400 ml

Caribouland
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19 avril 2014

Les petits pains sous la douche ou le glamour dans la savonnette

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Il y a quatre mois, je me suis mise au pain sous la douche.

Pas au multi-céréales qu’on se frappe sur la cuisse pour gommer la cellulite à coup de mie trouée, non, je te parle de savonnette.

Celle qui fait penser à la maison de retraite et à tes jeunes jours, ces deux seules extrémités qui admettent l’usage de ce genre de produit : parce que quand on est gamin on hurle de rire à le voir glisser des menottes, et quand on est vieux on est plus assez funky pour les gels douche senteur cactus pékinois.

 

MAIS, le pain a un avantage sérieux à l’achat, quand il ne fond pas trop vite et qu’on le conserve bien : c’est qu’il dure plusieurs mois et il ne faut que peu de bubulles pour se laver.

Avoue, ça te donne envie, bébé.

 

Ca n’a pas été facile, parce que j’ai du passer au dessus de mes préjugés quand j’avais ce petit carré blanc en main, mais finalement, après l’huile de douche, j’ai une seconde passion qui est en train d’éclore (oui c’est moi la seule jeune personne qui dans le rayons hygiène s’accroupit pour regarder les savons solides avec envie)(en même temps mémé, si elle s’agenouille, pas sûre qu’elle arrive à se dérouiller les genoux pour redevenir bipède)(kill me now).

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Bref, j’avais d’abord acheté le pain surgras au Cold Cream d’Avène, parce que j’avais besoin d’un savon au PH neutre (piercing frais oblige) et que j’avais beaucoup aimé cette gamme l’an passé.

Puis hier, alors que j’avais terminé mon premier bagel (pourquoi toujours l’appeler pain, je fais ce que je veux), j’ai reçu celui pour peaux intolérantes, une petite nouveauté.

Bon, les gens qui me connaissent savent que je voue un culte à cette marque, j’imagine que ça faisait mieux passer la pilule, quand, trempée, j’essayais de remettre la main sur ma miche (DE PAIN) ou quand il ne me restait plus que trois copeaux lamentables pour me nettoyer.

Glamour, passe ton tour.

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Au niveau de la composition, le Cold Cream a une base lavante douce, du laurate de sodium (un savon, également présent dans le savon d’alep par exemple), de la paraffine (et paraffine liquide plus loin), du parfum, un peg (émollient), de l’eau thermale d’Avène, de la cire d’abeille, du BHT (pas top, évite que le savon moisisse), des tensioactifs et émollients et du TEA (vraiment pas bien, régule le pH).

SODIUM COCOYL ISETHIONATE. STEARIC ACID. SODIUM LAURATE. SODIUM STEARATE. PARAFFIN. SODIUM MYRISTATE. WATER (AQUA). FRAGRANCE (PARFUM). PEG-45 PALM KERNEL GLYCERIDES. AVENE THERMAL SPRING WATER (AVENE AQUA). BEESWAX (CERA ALBA). BHT. C20-40 PARETH-10. CETYL ALCOHOL. CETYL PHOSPHATE. GLYCERYL STEARATE. METHYLPARABEN. MINERAL OIL (PARAFFINUM LIQUIDUM). SODIUM HYDROXIDE. TITANIUM DIOXIDE. TRIETHANOLAMINE

 

J’ai utilisé ce pain pendant plus de trois mois et je l’ai beaucoup aimé pendant 2 mois, après je n’en pouvais plus de son odeur.

Donc en gros :

  • j’ai aimé sa longévité : 5 euros pour 3 mois d’utilisation, c’est vraiment bien, même si mon savon de Marseille dure plus longtemps (genre, une éternité)
  • l’odeur est typique de la gamme au cold cream, mais devient vraiment écoeurante, j’ai l’impression qu’elle était plus forte dans cette version solide
  • il ne faisait pas tirer ma peau mais ne l’hydratait pas non plus spécialement : j’ai remarqué que sur les aisselles, il fallait vraiment bien frotter pour être sûre de ne plus rien sentir dans cette zone
  • pour un pain surgras j’attendais mieux : à part quelques éléments émollients et filmogènes, les ingrédients ne font pas vraiment envie, je lui préfères le gel nettoyant surgras de loin

 

Mais j’ai quand même utilisé ce savon jusqu’au bout parce que voilà, il était assez basique, faisait bien son boulot, et contrairement à mon savon d’alep, il ne laissait pas cette sensation de peau qui tire après un tour sous l’eau.

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C’est quand j’ai vu Hélène parler du nouveau pain pour peaux intolérantes que j’ai crié « hallelujah » !

Une formule sans parfum pour peaux chiantes (qui tirent, s’irritent facilement), avec des composants plus raisonnables et surtout adoucissants : un tensioactif booster de moumousse, un agent filmogène, une base lavante douce, de l’eau (avant l’eau thermale d’Avène, j’aurais aimé le contraire), de la paraffine, du beurre de karité, de l’huile d’amande douce, un correcteur de pH, etc.

DISODIUM LAURYL SULFOSUCCINATE, MALTODEXTRIN, SODIUM COCOYL ISETHIONATE, STEARIC ACID, WATER (AQUA), CETEARYL ALCOHOL, PARAFFIN, AVENE THERMAL SPRING WATER (AVENE AQUA), BUTYROSPERMUM PARKII (SHEA) BUTTER (BUTYROSPERMUM PARKII BUTTER), CETEARETH-6, PRUNUS AMYGDALUS DULCIS (SWEET ALMOND) OIL (PRUNUS AMYGDALUS DULCIS OIL), CITRIC ACID, MICROCRYSTALLINE WAX (CERA MICROCRISTALLINA), POLYETHYLENE, SERINE, TITANIUM DIOXIDE (CI 77891)

 

Et celui-ci me plaît plus, de loin :

  • il laisse VRAIMENT la peau douce (bon mes jambes ont besoin de leur rasade de crème chaque soir, mais ça ne changera jamais, y a que le savon noir qui apporte un mieux)
  • il n’irrite pas ma peau
  • la balance avec les huiles et le beurre de karité me paraît bien (on verra sur la durée)
  • j’apprécie de buller sans parfum (la grosse guedin, mais oui), on sent vraiment le côté crémeux quand on masse la fougasse entre ses doigts (tu savais que j’allais faire la blague)

 

Donc, oui, il y a moyen de se wash wash le corps avec un petit carré, ça ne fait pas mémé, je n’ai pas le sentiment d’avoir attrapé le syndrome de Benjamin Button après ces quelques semaines sous savonnette.

Je pense essayer de creuser la piste, plus profond, me diriger vers du saponifié à froid, comme quand j’étais dans mon époque Alepienne (je me refuse toujours à utiliser ce qui est à base de lait d’ânesse, à cause de mon imagination : j’imagine les pis de la bête qui me gicle une substance lactée sur mon beau corps en hurlant « allez lave-toi ». J’en ai fait des cauchemars)(pareil avec tout ce qui est à bave d’escargot. Même si on me dit que c’est miraculeux, jamais j’y touche, c’est une histoire à devenir zinzin sous la douche).

 

Si vous avez une peau pas terrible en ce moment, et peu de sous (la totale quoi), le pain pour peaux intolérante pourrait vous convenir.

Il peut même s’utiliser sur le visage en cas de grosse crise, tu gagnes donc à la loterie en un passage à la pharmacie, j’ai vu moins chanceux dans la vie.
Pour l’entretien, évites le porte savon, c’est une poisse à nettoyer, moi je préfère poser mon savon sur un couvercle de pot de confiture, et il sèche droit comme un I pendant la nuit.

C’est une installation du futur mais au moins tu évites le cas classique du bagel qui traîne dans son jus.

Tu me suis ?

 

Des bisous les Caribous
Le pain PI en pharmacie, 5 euros/100gr

Caribouland
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24 mars 2014

Smile, it’s our birthday ! Concours MonAvène Box

dd-copie-1.jpgCet article risque d’être très larmoyant émouvant pour la troupe de caribous que vous êtes autant que pour moi, mais IL FAUT BIEN PASSER PAR-LÀ, un anniversaire ce n’est pas seulement souffler des bougies, c’est aussi se rappeler et remercier ceux qui participent à cette aventure.

Rose Cocoon est sûrement mon sixième ou septième blog, je suis donc, à proprement parler, un dinosaure de la blogosphère, même si j’erre depuis des années plus que je ne m’installe.

 

En mars 2011, j’ai eu un besoin de légèreté, mes études d’art me prenaient la tête, et mon (trop long) traitement orthodontique se terminait enfin, il me fallait une porte de sortie, un univers dans lequel je pourrais parler de choses douillettes, cocoon, où tout le monde se sentirait comme à la maison.

Je savais que je voulais faire des articles en rapport avec la beauté et même si l’idée a mis du temps à mûrir, j’ai de plus en plus pu me concentrer sur ce sujet.

Mais je n’ai jamais eu cette envie de faire dans le jolies photos sans fond, je voulais écrire des articles précis, complets, faire des recherches poussées, apprendre un peu plus sur le monde des cosmétiques mais surtout partager la vérité.

 

Les plus fidèles le savent, ce n’est pas seulement des revues produits qu’on vient chercher par ici, mais une réelle interrogation sur le bio/la cosmétique traditionnelle, ce que l’on peut trouver de mieux dans les deux camps, et surtout une manière d’être plus au courant avant d’aller acheter un produit qui rend bien en boutique mais qui au final n’offre pas grand chose à part un rêve inaccessible.

 

Donc merci du fond du coeur, pour le soutien indéfectible de certaines, les critiques constructives des autres, d’être toujours là et de permettre au blog, chaque année, de passer un nouveau cap.

Merci à tous ceux qui me font sourire chaque matin, ou prennent la peine de m’écrire un mail à m’en donner la larmichette.

Merci à tous ceux qui me lisent pendant leur pause au boulot, ceux qui trouvent un peu d’humour par ici à leur en redonner la banane.

Merci de faire vivre ce cocon rose depuis sa création et d’y croire encore (comme dirait Lara).

Je vous promets rien pour la suite, on verra comment tout roule et s’agence, mais il est certain que je n’ai rien perdu de mon exigence ni du désir de donner le plus d’informations possible à chaque nouveau post.

Et même si je ne suis pas une professionnelle de la beauté, j’espère qu’à mon niveau j’arrive à vous guider au mieux dans tout cet imbroglio.

 

UN BIG BISOU ET GRAND MERCI  À VOUS, LES PETITS CARIBOUS !

 

A l’occasion des 3 bougies du blog, les marques que j’apprécie le plus ont gentiment accepté de vous faire gagner des produits !

 

Et pour ce premier concours, c’est Avène qui va vous gâter (tu ne l’aurais pas deviné, hein ? 😀 ).

Avène c’est un peu ma source d’eau, mon doudou, des indispensables qui me suivront sûrement jusqu’à la fin de ma vie dans mes galères épidermiques comme mes déboires cosmétiques.

Toujours au taquet, je tiens à remercier la RP de la marque, Roseline, qui fait un travail incroyable avec les blogs pour répondre aux mieux aux attentes des lectrices et des testeuses, un vrai rayon de soleil !

 

J’avais dans l’idée de choisir pour vous des produits Avène que j’ai pu tester au fur et à mesure du temps et qui sont désormais des basiques ou soins que je conseille naturellement.

Let me introduce you to ze….

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UNE BOX est à gagner avec mes indispensables visage de la marque

  • une eau nettoyante cleanance, un must have pour le matin !
  • une mousse nettoyante matifiante pour un nettoyage sans s’arracher le derme
  • une eau thermale pour apaiser la peau
  • une crème hydrance légère pour hydrater sans graisser
  • un masque apaisant hydratant pour remettre sa peau sur le droit chemin
  • un baume lèvres au cold cream pour des lèvres de déesse

 

Donc, avec tout ça, vous avez de quoi vous faire une routine simple mais qui tient la route, et a priori, les produits conviennent à  tous les types de peaux !

Pour gagner la MonAvène Box (Mona + Avène, oui j’ai osé), il vous suffit de répondre à cette question :

 

Un coq entre dans un poulailler dans lequel vivent 30 poules.

Chaque poule pond un oeuf par nuit, combien d’oeufs vient ramasser le fermier chaque matin ?

 

Le concours est ouvert à la Belgique, la France, les Pays-Bas et l’Angleterre et se terminera le 2 avril 2014 à 18h (le gagnant sera tiré au sort).

N’oubliez pas de laisser une adresse mail valide sinon pas de gain !


PS : Je n’accepte que les commentaires SOUS CET ARTICLE, pas de réponses sur les réseaux sociaux/mon mail/instagram/twitter 😉

 

CONCOURS TERMINÉ,

la gagnante eeeeeeeeeeest….
na.jpg Bravo Nawele, je te fais parvenir mon mail par pigeon voyageur !

 

Et merci à vous tous pour avoir mis tant d’ardeur à compter les oeufs, c’était juste une blague pour Pâques, tout le monde a eu sa réponse validée évidemment, parce que oui, une poule à la retraite ne donne pas autant d’oeufs qu’une poule naine, et puis le coq, on ne sait pas quel âge il a, si ça se trouve il était stérile et homosexuel. Enfin, cocosexuel (nom de dieu).

Tu me suis ?

Merci énormément pour vos participations, et vos compliments ! Longue vie au blog, les zamis, longue vie !

 

Que la force soit avec vous, et pour de vrai, je vous aime beaucoup!

Caribouland
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6 octobre 2013

Toi aussi, fais une cure de AHA !

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Quand j’avais commencé à écrire par ici, j’avais entamé une cure de AHA.

Un mot un peu étrange mais carrément emballant une fois qu’on était au courant des effets de ces fameux acides naturels.

J’avais acheté la Neostrata crème lissante dosée à 8% d’acide glycolique (et 2% d’acide citrique), parce que j’avais lu que pour les peaux plutôt épaisses c’était l’acide phare à avoir.

Et j’ai vite été conquise par l’idée.

 

La famille des AHA

On en trouve dans le lait, dans la canne à sucre, dans le citron et dans la pomme, pour les plus connus (acide lactique, glycolique, citrique et malique).

Ce sont des alpha hydroxy acids, et son ceux qui pénètrent le plus profond dans l’épiderme.

Ils sont plus puissants que les BHA et les PHA, et permettent d’avoir un résultat assez convaincant sur les peaux les plus « endommagées » (taches, rides, peau moche, manque d’élasticité).

 

Si l’acide glycolique est en général le plus utilisé dans les formulations grand public, c’est parce qu’il est reconnu comme étant le plus efficace des AHA, car le plus petit ! Il pénètre donc plus profond la peau et permet de dissoudre les liaisons qu’il y a entre les peaux mortes pour permettre à une peau fraîche et neuve de pointer son nez plus vite que de nature.

On se retrouve dans les 2 à 4 semaines avec un teint moins terne, une peau plus jolie, et des défauts cutanés qui commencent doucement à être effacés ! (Si tu as des cicatrices d’acné, go for it)

L’efficacité des AHA sur l’hydratation de la peau et la production de collagène est également prouvée, ce qui donne une impression de comblement des ridules de la peau et un air plus épanoui.

En BHA, on connaît l’acide salicylique qui lui est plus efficace sur les comédons et la désincrustation des pores encombrés car il est liposoluble (donc soluble dans le gras, donc il va manger tes comédons, dis-lui bon appétit).

 

Donc, si ton problème est l’acné, il vaut mieux un soin aux BHA ou PHA, ces derniers sont moins irritants que les AHA, car exfolient plus en surface, ils sont aussi plus hydratants et de bons antioxydants. Ils conviennent bien mieux aux peaux plus sensibles.

Si ton problème est un teint d’outre-tombe, des rides, un problème de taches résiduelles et une peau irrégulière, alors les AHA sont tes amis.

Le seul bémol dans tout ça, c’est qu’une cure donne de vrais bons résultats à partir d’un bon mois et demi d’utilisation régulière, donc patience !

 

Conseil à l’achat d’un produit
aha1.jpg Si vous voulez faire une cure de AHA (ou BHA ou PHA, ou HALALALA), c’est LE bon moment pour s’y mettre.

Il commence à faire plus frais, le soleil est à priori moins présent, donc moins de risque d’abîmer sa peau.
Pour une première cure, un dosage entre 5 et 10% est largement suffisant.

Tapez dans les 15% quand vous avez déjà une peau habituée aux AHA et qui est costaude (donc pas trop sensible ni irritée)

Il est évident que ce genre de soin ne s’applique pas sur une peau lésée, ou qui est sujette à des problèmes dermatologiques importants comme une acné sévère, une réactivité anormale, les conseils que je donne s’appliquent pour des personnes qui n’ont pas un terrain critique ou hors norme.

Pour l’instant j’utilise un tonique qui contient de l’acide glycolique et de l’acide lactique, la combinaison des deux a l’air de ravir ma peau même si je n’ai commencé la cure qu’il y a deux petites semaines.

Beaucoup de marques proposent des produits qui contiennent des actifs qui agissent sur la couche supérieure de l’épiderme : on les reconnaît en parapharmacie car, dans/après leur nom, il y a souvent un K, comme dans le gel-crème cleanance K, Hyséac K18, effaclar K, keracnyl.

Les leaders du marché du « peeling maison » sont, selon moi, Neostrata, Filorga, et Mene & Moy.

 

Pourquoi je me fâche ?

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Mon traitement au triacnéal d’Avène fait partie des top recherches sur ce blog.

Les gens aimeraient soigner leur peau avec de l’acide glycolique, l’aider à aller mieux avec des soins réguliers, je comprend.
Mais à force de m’être renseignée sur ce produit, je le connais par coeur, et j’ai un peu du mal à voir comment les gens l’utilisent parfois.

Il n’est donc pas du luxe de rappeler quelques petites règles générales en utilisant le triacnéal comme exemple…

 

REGLE N°1 Tu suivras la notice

Tellement bête mais plus efficace que n’importe quel conseil, quand on démarre un traitement aux aha il vaut mieux suivre la notice.

Sinon Avène ne se serait pas foulé à imprimer la marche à suivre sur l’emballage ET le papier dans la boîte.

C’est donc un soin qu’on applique DE NUIT, et pas de jour.

Et en local de préférence, vu que le triacnéal n’est pas une crème spécialement hydratante.

 

REGLE N°2 Tu protégeras ta peau du soleil

Comme tous les soins aux AHA, il agit comme un peeling de surface qui va rendre la peau plus sensible aux éléments extérieurs, et donc, la rendre potentiellement prompte à développer des taches/rougeurs après un après-midi en terrasse. On dégaine donc un écran de ville pendant cette saison.

Protection UV o-bli-ga-toire.

 

REGLE N°3 Tu ne l’appliqueras pas là où ce n’est pas conseillé

Gare aux conseils type « ça efface mes grains de milium ». Plus on s’approche de la zone du contour de l’oeil plus on s’expose à un risque d’irritation cutanée et autres dégâts.

La peau étant très fine à cet endroit, je déconseille totalement l’usage d’AHA pour cette problématique, et encore plus d’acide glycolique !

On va chez le dermato pour faire enlever ces boules de graisse, et on regarde si le problème ne vient pas d’une crème qu’on applique trop près des yeux, qu’on se les nettoie bien après le démaquillage et que le soin du contour de l’oeil n’est pas trop riche en gras (première cause de grain de milium chez moi).

 

REGLE N°4 Tu appliqueras le soin progressivement

Dit et redit, on ne commence pas une cure aux AHA en grandes pompes, surtout si on n’a jamais exposé sa peau à ce genre de traitement. On introduit progressivement le nouveau produit, à raison d’un soir sur trois d’abord, pendant la première semaine, puis un soir sur deux et ainsi de suite.

On évite d’appliquer le soin sur une peau humide, ça peut être plus irritant, donc on attend un peu après le tonique (certains disent que l’attente doit être d’au moins 30 minutes) et on ne met pas de soin hydratant directement après car les préparations aux AHA sont plus efficaces en milieu acide (et les crèmes du commerce sont en général plus proches du basique).

Il faut également savoir que l’acide glycolique est listé comme le plus potentiellement irritant des acides naturels, donc mollo, les résultats sont encore plus beaux quand on prend son temps.

 

REGLE N°5 Tu auras une routine décente

Parce que d’entamer une cure aux AHA peut assécher la peau dans un premier temps, il vaut mieux avoir une routine bardée de produits bien hydratants, qui seront là pour pallier à ce problème.

On ne lésine pas sur les masques, on lave sa peau avec un nettoyant doux, on évite les gommages quotidien et/ou à gros grains. On met sa peau au repos, en somme, en la chouchoutant comme une reine.

On laisse l’acide glycolique faire son boulot de grignoteur de peaux mortes, il fait ça comme un chef.

 

Conclusion

Vu l’engouement, je trouve que les AHA sont un peu utilisés à tort et à travers, et je ne compte plus les témoignages qui rapportent « une peau brûlée, défigurée, je pelais comme jamais, j’avais des éruptions de bouton monstrueuses, ça marche pas ».

Pour l’histoire de l’action ou non d’un acide, c’est à vous de bien le choisir et de l’appliquer dans les règles de l’art.
Je suis grande partisane de ce genre de cure, qui permet littéralement de faire peau neuve pendant la basse saison, celle où on a plutôt tendance à avoir le teint gris. J’en suis à ma troisième cure depuis le début de ce blog, mais cette fois-ci j’attaque avec une lotion, donc on verra ce que ça donne.

Retenez juste ça : prenez soin de vous et tout ira bien !

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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25 septembre 2013

La fameuse Cicalfate d’Avène

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Il y a quelques mois, je vous parlais de mes zigouilleurs d’acné, ceux que je sortais à chaque crise de bouton, histoire de retrouver une face présentable en un rien de temps.

Maintenant que ma peau est plus ou moins stable,  je n’ai plus que de temps en temps des bubons qui se pointent (and I say HALLELUJAH mes frères).

 

Les derniers en date ont squatté mon délicat épiderme parce que :

  • les menstrues sont venues parader
  • et début d’une cure à l’acide glycolique avec une nouvelle crème aux aha

Je ne crois pas trop à l’effet purge, mais il faut croire que j’ai pas mal réagi à cette crème les premiers soirs.

Depuis je me traîne deux boutons en phase de cicatrisation parfaite.

 

Oui, parce que, c’est bien beau de savoir COMMENT traiter un bouton qui nous sort de nulle part, mais l’idée c’est d’être régulier pour le soigner sinon le cratère va mettre des années à disparaître.

J’avais déjà remarqué ça avec la cicaplast de Laroche-Posay, plus je l’appliquais, même en gros tas, plus ma peau se régénérait presqu’à vue d’oeil.

Certaines pustules ont d’ailleurs pu se faire oublier en 24h, un temps record pour une poussée-explosion-cicatrisation.

 

Tout ça pour dire que, depuis, je suis une grosse addicte de crème cicatrisante.

Je vouais déjà un culte à la cicaplast, donc, mais, comme je jugeais n’avoir pas encore assez de produits Avène dans mes cartons, j’ai été à la pharmacie au début de l’été pour me prendre un tube de Cicalfate.

Non sans ronflonflons, vu que Marty a décidé qu’il allait faire la fanfare au chien du pharmacien en pleine heure de pointe (il est interdit de courses avec ma personne depuis, faut pas foutre la honte à mémère).

 

La cicalfate en lotion / La cicalfate crème

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Souvent, les gens confondent les deux produits alors qu’ils n’agissent pas vraiment de la même façon.

Disons, pour résumer, que si vous avez un bouton qui mûrit, et qu’il a besoin d’être tué dans l’oeuf, il vous faudra dégainer la lotion.

Elle est asséchante, antibactérienne et cicatrisante et permet de bien cibler la zone.
Elle convient aux plaies qui sont suintantes.

 

La crème, quant à elle, est plutôt destinée à un « post-carnage », quand vous avez décidé de vous défigurer pour un minuscule bouton et que celui-ci a effectivement été éradiqué, mais que la croûte est moche à voir et qu’on souhaite la voir disparaître au plus vite.

Donc : la lotion assèche et purifie, la crème cicatrise et répare.

 

Ce qu’en dit Avène

Ses Bienfaits

Réparatrice : Le Sucralfate, actif original, favorise la réparation de l’épiderme.
Assainissante : L’association sulfate de cuivre – sulfate de zinc limite  le risque de prolifération bactérienne. 
Apaisante : Riche en Eau thermale d’Avène, elle apaise les épidermes fragilisés.

Est-elle faite pour moi ?

Cicalfate Crème réparatrice est particulièrement indiquée pour soigner les irritations sèches des adultes, enfants et nourrissons; elle peut être appliquée sur la peau comme sur les muqueuses.

Pour toute question sur une indication en particulier, veuillez consulter au préalable votre médecin.

Le Bon Geste

Nettoyez tout d’abord la zone irritée que vous souhaitez réparer.
Appliquez la crème une à deux fois par jour en massant légèrement.

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A l’achat, n’hésitez pas trop, et prenez le tube de 40 ml. Il paraît petit, mais il vous durera un bon moment. Celui de 100 ml est plutôt réservé à un usage particulier (grandes zones de dartres, gerçures, etc)

 

Cette crème est un peu ma crème à tout faire.

Pas spécialement hydratante, elle est surtout grasse, ce qui permet de bien ramollir les zones sèches et de contribuer au confort de la peau quand elle est fort irritée.

Nul doute qu’en hiver, elle sera toujours calée dans mon sac pour soigner mes menottes en sang à cause du froid (oui oui, malgré les gants).

 

Je l’utilise donc le soir qui suit celui où j’ai utilisé la lotion cicalfate sur un bouton

Si le bouton a l’air sérieux (il a un bazooka et un abonnement au Mickey Club), je passe un peu d’huile essentielle de Niaouli, et je mets par-dessus un petit pâté de crème cicalfate, ce qui permet de doubler les effets sans avoir le côté asséchant de la lotion.

 

Il y a quelques temps, j’ai fait une réaction à un fard à paupière.

Impossible de savoir lequel, dans le doute, j’ai directement arrêté d’en mettre

J’avais les yeux secs, irrités, je n’arrêtais pas de me passer le doigt dessus pour essayer de soulager la sensation d’inconfort.

Et puis un soir, j’ai pris mon petit tube et je m’en suis appliqué sur les paupières. Dès que la peau avait tout bu, j’en remettais.

Comme ça pendant quelques heures.

Le lendemain matin, quasiment plus rien.

 

En cas d’irritation

Je sais que certaines personnes qui passent par des phases de grosses irritation de l’épiderme utilisent ce produit comme un masque de nuit.

Je pense que tant que cela reste occasionnel, il n’y a pas de problème.

Mais n’utilisez pas cette crème comme une crème quotidienne, la présence de paraffine liquide rend la matière assez lourde et cela pourrait devenir comédogène sur le moyen terme si vous avez les pores qui se bouchent facilement (mais il est possible qu’une peau sèche ADORE).

On peut aussi l’utiliser après une brûlure pour apaiser, sur le bout du nez après un gros rhume, sur des zones épilées qui grattent/piquent, et j’en passe.

(Ce produit peut s’appliquer sur les muqueuses)

 

Et comme cicatrisant ?

He bien comme cicatrisant elle fonctionne très bien.

Je lui regrette juste une chose : la cicaplast laissait un léger film sur la peau, comme un patch, alors que la cicalfate d’Avène est vraiment comme une crème, elle ne crée pas tellement cet effet « bulle » sur la plaie qui est pourtant très bénéfique pour avoir une cicatrisation rapide.

Il faut donc la ré-appliquer plus souvent, mais quand on prend la peine de le faire, les résultats sont au rendez-vous.

Elle a aussi une très bonne action émolliente, qui permet de ne pas avoir un aspect figé d’une croûte sous le maquillage.

 

J’insiste sur le fait qu’il s’agit d’une crème réparatrice, et non d’un produit magique pour faire disparaître vos cicatrices vieilles de trois ans.

Les crèmes cicatrisantes agissent sur les tissus superficiels et permettent de refermer des « plaies » et de régénérer la peau pour qu’il n’y ait plus de trace de l’incident.

Mais pour un résultat pareil, il faut s’y prendre dès que les dégâts sont là, se protéger du soleil (pour que la zone ne brunisse ou ne rougisse pas) et en appliquer tout le temps.

 

Il y a des solutions naturelles qui ont fait leur preuve sur les cicatrices, comme le peeling au citron, l’utilisation en local d’huile de rose musquée (qui agit plus profondément !!), ou encore les masques au miel.

Mais la clef de la réussite réside dans la RE-GU-LA-RI-TE, tout comme lorsqu’on entame le millefeuille ou qu’on essaye de maigrir en se mettant au sport.

Rien ne se fait en un jour.

 

Conclusion

On a toutes des basiques dans notre salle de bains (certains diront que nos basiques prennent trop l’aspect d’un stock de guerre)(je fais ce que je veux).

Il y a quelques années, c’était sûrement le bon vieux tube d’homéoplasmine qui était en tête de gondole (toujours efficace, si vous n’avez que ça sous la main), maintenant les soins réparateurs sont plus spécifiques et servent à peu près à soigner tous les petits bobos du quotidien.

Il en existe dans beaucoup de marques mais la plupart du temps ils se rejoignent sur leur action : ils apaisent, ils réparent et ils sont antibactériens.

 

Si je me tourne vers Avène, c’est parce que leur eau thermale agit vraiment sur les irritations de ma peau (du corps ou du visage) et que depuis que je marche à la plupart des produits de cette marque, je n’ai quasiment plus de soucis de gratouille ou d’irritations.

Ceci étant dit, la Cicaplast de Laroche-Posay est plus pratique à utiliser en journée, car incolore donc moins de risques de se retrouver avec une traînée de crème sur la moitié du visage.

Mais les jours où je ne vois personne et que je joue à la marelle avec mes pustules, je traîne dans toute la maison avec mon tube de Cicalfate.

J’ai un nouveau pote je crois.

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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