9 avril 2014

Agir avant d’avoir la peau qui flotte au vent, la tendance anti-âge

pas.jpgJe joue souvent sur les mots (enfin, avec aussi).

Je me chamaille avec les personnes qui confondent les termes et appellent asperge ce qui mime un concombre de très loin.

A ce train-là, votre potager ressemblera à la forêt vierge et votre pot-pourri à une morte salade mal assemblée, moi je dis « faut appeler un chat un chat, et pas tourner trois fois autour du pot, ça dézingue le ciboulot ».

Au menu du jour, du cash et du trash, avec un titre digne de magazine pour donzelle « est-ce que les soins pour vioques et vieilles loques sont inadaptés quand on est sous la barre des 30 ans ? ».

 

Dans une mise en situation ordinaire, tous les termes utilisés par les industriels font passer une poule pour une cocotte et l’acheteur potentiel se goure de rayon en croyant qu’il n’a pas encore l’âge pour un soin repulpant, qu’il attendra d’avoir la peau fripée comme un parchemin pour agir.

NON, tout est une question de prévention.

 

Cas classique, un gaillard sarde, de Sardaigne, l’île d’où je viens, qui mange des pâtes, de l’huile d’olive, et des tomates de son jardin, s’active de 6h à 10h du soir et rit de bon coeur, aura certes des rides, mais également une longue vie : plus on apporte au corps ce dont il a besoin et ne peut pas produire en quantité, plus on stimule la production de ce qui nous est bénéfique et parie sur notre avenir (épidermique, social, de clown lifté).

L’ADN joue aussi, c’est vrai, merci les parents, mais ce qui passe par la bouche est un des premiers facteurs à prendre en compte si l’on veut s’assurer un capital peau au top.

 

Anti-âge/Anti-rides, de ce qui nous trompe

De manière générale, les produits anti-âge sont des soins qui englobent et répondent à plusieurs problématiques DUES à l’âge, en tentant d’y remédier ET/OU de prévenir leur apparition cutanée.

Les produits anti-rides, eux, sont formulés pour les personnes qui sont déjà dans le bouzin : les bajoues qui flottent au vent, la paupière qui tombe, les rides qui sont réparties de manière plus ou moins harmonieuse (ces rigoles qui ne te font pas…rigoler).

 

La gravité est un des premiers traîtres et le temps fait son travail comme un chef sans trop pétrir le visage pour que la pâte prenne bien les signes de l’âge aux endroits stratégiques (type la joue écrasée sur le coussin pendant 40×365 dodos de plusieurs heures)(sans compter les siestes).

Contre ça, il n’y a rien à faire.

PLEURE PAS.

Enfin, presque rien.

 

Agir tant qu’il en est encore temps

Un produit anti-ride étant un produit spécifique (qui répond donc déjà à un problème qu’on veut éviter), il faut taper dans l’anti-âge, et ce dès 25-30 ans sans problème (mouhouhou, j’ai déjà un orteil qui chatouille la trentaine).

  • Avant, si vous êtes encore une petite fleur, il faut HY-DRA-TER la peau, éviter les expositions sauvages au soleil sans protection aucune (ha ma mie, tu rigoleras moins quand tu feras des lucites), de fumer  comme un pompier tout court, de mettre sa tête devant les pots d’échappement des voitures avec la bouche grande ouverte, avoir une routine de soin impeccable (tu l’avais lu mon article sur le dodo dans son make-up pendant un mois ? Ultramiam), et éviter l’excès de sucre facile autant que possible car il a, sous la forme de glucose, la capacité d’induire une perte d’élasticité en agissant comme rigidificateur (phénomène de caramélisation) et donc, de favoriser l’apparition de rides précoces
  • Quand on commence à devenir conscient du temps qui passe – en général vers 25 ans : on peut utiliser des soins anti-âge ou anti-rides (oui oui) s’ils se revendiquent surtout hydratants. Comme les peaux matures ont besoin de plus d’actifs car elles s’affinent, deviennent plus sèches et sensibles, ce type de soin contient tout ce qui peut convenir aux peaux qui s’assèchent vite : des ingrédients relipidants et de l’acide hyaluronique souvent (présent naturellement dans les cellules, ce n’est pas une molécule de grand-mère), des composants apaisants et qui agissent sur la fermeté de la peau
  • Si vous savez lire les compositions, ne vous arrêtez plus aux packagings : j’utilise un sérum anti-oxydant créé pour les personnes qui cherchent un produit miracle contre les rides, et pourtant mon minois n’est pas encore une réplique de carte routière : l’oxydation étant un facteur important du vioquisme-prématuré, je préfère prévenir que guérir.

 

En terme de solutions ACCESSIBLES quand il est (presque) trop tard

On ne peut pas prévoir qu’un produit utilisé dix ans plus tôt a effectivement bien agit sur la peau à moins de n’essayer que ses soins sur la moitié du visage pendant toute sa vie.

Mais il est certain que plusieurs ingrédients aident la peau, à son bon fonctionnement et un renouvellement cellulaire optimal :

  • les AHA, en tête de file, mes chouchous, mes doudous, ils pénètrent la peau et permettent de faire peau neuve (plus d’infos ICI pour ne pas faire de conneries), on privilégie les PHA sur peau mature, moins agressifs
  • les antioxydants donc (vitamine C, E par exemple) en prévention surtout, mais ils sont tellement incroyables pour l’éclat du teint qu’ils devraient être plébiscités dès qu’on entre dans la vingtaine, en cure
  • le rétinol, le retinaldéhyde, moins irritants que l’acide rétinoïque et qui agissent directement sur ce qui fripe quand on vieillit : le rétinol ou vitamine Aagit sur la synthèse du collagène, et donc ce qui constitue la base de la peau et sa beauté éternelle,et le rétinaldéhyde, une forme dérivée de cette vitamine, stimule l’élasticité de la peau (pour faire un lance-pierre avec son lobe d’oreille) et a une action sur les taches (il est présent dans le triacnéal par exemple)
  • le derma-roller couplé à un sérum antioxydant : effet garanti sur la qualité de la peau, peau plus lisse, pulpeuse et éclatante, les aiguilles permettent une pénétration plus profonde du soin et donc de stimuler plus directement les cellules (en encore plus trash, il y a le laser, même principe de stimulation de l’élastine et du collagène, mais c’est à faire faire par un pro)
  • y aller à fond sur les soins qui contiennent de l’acide hyaluronique de bas poids moléculaire car il pénètre EFFECTIVEMENT mieux
  • faire des masques à la banane (je le refourgue, et le refourguerai jusqu’au bout), ce fruit étant un excellent anti-âge, nourrissant et normalisant le taux d’hydratation de la peau : plus pulpeuse, les rides se voient moins (l’hibiscus, l’avocat, la fraises, le miel, fais-toi plaisir)

 

Il y a énormément de pratiques en institut ou en cliniques spécialisées qui sont plus abrasives et promettent des résultats spectaculaires.

Mais je voulais surtout vous donner des pistes très terre à terre vu que tout le monde ne peut pas se payer des séances à quelques centaines d’euros, et que finalement, avec des produits naturels et de bons choix, on peut arriver à trouver son bonheur.

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Cet article est né d’un énième tartinage de mon visage avec ce masque, donc autant rendre à César son vin et sa guitare : la composition est assez bonne, pas de silicones, beaucoup d’ingrédients émollients et revitalisants, moult actifs à en faire tombé mémé et son dentier, je suppose que le formulateur a bien ri dans son labo en faisant sa popote d’allumé.

Et je n’ai pas grand chose à dire sur ce wrap à part qu’il sent très fort le bonheur et les chaussettes moelleuses.
Propres, les chaussettes.

PS: je l’utilise surtout quand ma peau flanche, il est très tenseur et adoucit bien l’épiderme

Aqua, caprylic/capric trygliceride, glycerin, octyldodecanol, butylen glycol, cetearyl alcohol, coco-caprylate/caprate, cetyl alcohol, cetyl palmitate, glyceryl stereate citrate, persea gratissima oil, evodia rutaecarpa fruit extract,  oryza sativa bran oil, malus domestica fruit cell culture extract, chlorella vulgaris/lupinus albus protein ferment, pyrus malus fruit extract, sodium hyaluronate, magnesium pca, artemisia abrotanum extract, sesamum indicum seed oil, hydrolyzed soy protein, pectin, melia azadirachta seed oil, spilanthes acmella flower extract, boswellia serrata oil, calcium hydroxymethionine, plankton extract, solanum lycopersicum leaf cell culture extract, soy isoflavones, xanthan gum, mica, titanium dioxide, phenoxyethanol, propanediol, ethylhexylglycerin, chlorphenesin,carbomer, disodium edta, sodium hydroxide, lecithin, sodium pca, peg-8, ascorbyl tetraisopalmitate, tocopherol, zinc pca, cyclodextrin, alcohol, ascorbyl palmitate, pentylene glycol, polysorbate 80, manganese pca, potassium sorbate, 3-aminopropane sulfonic acid, ascorbic acid, citric acid, hydroxyethylcellulose, hexanoyl dipeptide-3 norleucine acetate, sorbic acid, bht, parfum, alpha-isometyl ionone, linalool, eugenol.

 

Le sujet des rides est hyper délicat, et je vois même des gens de mon âge commencer à lancer des réflexions comme « WAW, T’AS VU LA TRANCHÉE, JE FAIS QUOI, JE FAIS KEUUUWAAAH ? ».

Tu ne fais rien. Il y a des lignes délicates qui se posent sur les visages et qui racontent des rires et des sourires, des voyages et des coups durs, ta tête reste et restera ce que tu ne veux pas raconter de toi.

J’imagine qu’une fois qu’on commence à voir sa peau vraiment vieillir, elle nous rappelle un peu trople temps qui passe et qu’un cafard en amène un autre et forme un troupeau à faire frissonner l’échine.

 

Je préfère me dire qu’une fois vieille, j’aurai une belle peau et un récit à raconter pour chaque ride qui se dessine.

Mes sourires se voient déjà un peu au coin de mes yeux, mais ça ne m’empêchera jamais de m’enfiler un éclair au café, crème pâtissière café, en moins de deux.
Je profite, voilà tout.

 

Des bisous les Caribous  !

Caribouland
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7 avril 2014

Choisis tes produits comme un produderme !

produ.jpgNe me prenez jamais avec vous pour faire des courses du quotidien, je suis une vraie ruine pour la charrette, je n’observe jamais le prix au litre du lait ni le « autant d’euros le kilo » pour le jambon, j’en oublie ma règle de trois et préfère aller faire les yeux doux au rayon bonbon sans penser aux chiffres.

PAR CONTRE, quand il s’agit de cosmétiques, je suis une vraie bête de scène : un sérum à 30 euros les 30ml me fait pleurer, débourser deux billets de 20 hurler et cracher mon mécontentement au visage de la caissière  (qui aurait préféré prendre une vraie douche, que la douce pluie de ma bouche)

Mais finalement, ce qui m’importe le plus, c’est la longévité du produit, c’est pourquoi j’ai ma petite technique pour éviter de crier au scandale si je débourse un peu plus que prévu, j’essaye d’être méthodique quand je joue à la planche à billets.

 

Le prix, le contenant, la durée de vie

Déjà, avant de chouiner, il faut observer trois constantes : le prix, le contenant et la durée de vie du produit.

Exemple : un sérum de 20ml qui contient de la vitamine C, coûte 90 euros et doit être utilisé dans les 3 mois.

===> Très mauvais rapport : le soin contient un ingrédient instable, une longévité assez courte et un prix élevé.

 

Deuxième exemple : la skin rescuer de kiehl’s :: une crème de 75ml pour le visage, qui coûte 35 euros et dure 12 mois après ouverture.

===> Très bon rapport : la quantité est quasiment le double du standard pour ce genre cosmétique pour un prix moyen, elle dure plus de 8 mois en utilisation bi-quotidienne (tu ne le sais pas à l’achat, je le concède), et tu peux l’utiliser pendant un an.

 

Souvent, j’entends des gens se plaindre d’un prix avant même d’avoir acheté un produit.

Et souvent, à y regarder de plus près, on se rend compte qu’on reverrait bien son jugement :

  • il faut connaître les tailles moyennes : une crème fait 40ml, un contour des yeux 15ml, un sérum 30ml, un shampoing 200ml, un blush entre 3 et 5gr, un mascara 8ml, un masque 40ml (ou 75), etc.
  • il faut comprendre les emballages : parfois, les marques bio proposent de plus grands formats que dans l’industrie traditionnelle quand les marques de luxe n’hésitent pas à vendre toujours plus petit vu que cela renforce le côté précieux. D’où mon intérêt pour le milieu parfait entre ces deux mondes, entre « cute-ism » et actifs essentiels
  • il est normal de râler sur un prix qui frôle les 50 euros parce que le banquier ne comprend pas la notion « d’étalement de la dette beauté », mais si il s’agit d’une pommade démaquillante de 100gr, et que sa composition donne envie de baver, ça vaut la peine
  • Tout ce qui est peu cher et en grand format n’est pas forcément plus intéressant qu’un gel douche de 100ml plus onéreux, parce que le premier, on aura peut-être pas le temps de le finir, et le second ne nécessite peut-être qu’une larmichette pour se laver

 

Je me suis aussi rendue compte que l’avis des gens dépend (trop souvent) de leur mauvaise utilisation après achat : non, le shampoing ne se dose pas à la cuiller à soupe, on ne trempe pas ses doigts-on utilise une spatule, quatre gouttes d’un sérum peuvent suffire pour le visage et le cou, la crème se compte en un trait sur la dernière phalange de l’index (et si tu ne sais pas ce que c’est, revois ton anatomie), on économisera un masque en l’appliquant uniformément au pinceau, pour le contour des yeux, un mini petit pois pour les DEUX yeux suffit.

 

Bien sûr, tout cela s’adapte à vos besoins et vos envies, si un tube de 200ml de crème vous dure deux semaines parce que vous aimez vous sentir comme un humain lubrifié, c’est votre droit.

 

Mais un soin de jour qui nécessite une double application parce qu’il est bu trop vite MAIS n’apporte pas de confort, ce n’est pas parce qu’il est mal formulé (enfin, pas TOUT LE TEMPS), mais parce que vous ne l’avez pas assez bien ciblé : d’où l’intérêt de savoir lire les ingrédients ou de les passer au crible sur COSDNA ou le flacon, et de lire les avis des gens UN PAR UN sur beauté-test.

Perdre 30 euros parce qu’on a confondu peau sèche et peau déshydratée, ça fait mal au porte-monnaie.

 

Donc oui, on peut dire d’un produit qu’il coûte une vache et son pré si c’est justifié, mais acheter n’est pas qu’affaire de prix,l’envie joue tout comme l’usage.

Et puis après l’achat d’un produit onéreux, il faudra rester sage, il vaut donc mieux être sûre de son coup avant de sortir la carte d’une main tremblante, en pleine nuit, avec pour seul éclairage la lumière de l’ordi.

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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4 avril 2014

Une poudre safe et légère pour peau chiante par Une Natural Beauty

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Il faut savoir qu’avant d’arriver à cette poudre, j’avais été faire un tour chez The Body Shoppour m’acheter un bronzer (que je n’utilise plus, because talc, donc teint brouillé comme une omelette).

J’étais tombée sur une charmante demoiselle qui s’occupait du maquillage, et qui, après lui avoir dit que je cherchais aussi de quoi fixer mon make-up, avait fini par me conseiller de mettre du blush sur tout le visage.

Comme poudre de finition.

Vwala.

 

Ca ne m’étonne même plus de voir des adolescentes maquillées comme des trutes (oui, trutes, c’est du belge)(ça veut dire comme des idiotes écervelées) quand on leur donne des conseils pareils en magasin.

Sans parler de la petite confidence en boutique pour essayer de me faire acheter du fond de teint poudre trois intensités au dessus de la mienne histoire de « donner bonne mine », alors que, sans déconner, physiquement, entre moi et un lavabo, il y a quand même une corrélation optimale au niveau de la teinte.

SOIT.

 

J’ai donc été pleurer un peu partout, sur twitter, facebook, instagram, à grands renforts de NON MAIS LE SCANDALE, DU BLUSH PARTOUT, bientôt ce sera la fête au mascara pour se brosser les dents et du rouge à lèvres bleu pour combler les sourcils.

Et là, ma chère Laura a débarqué et m’a parlé d’une poudre qui a calmé mon hystérie.

Légère, bio, au fini doux et transparent qui pourrait convenir comme poudre de finition.

Elle ne le sait pas encore, la Laulau, mais je l’aime (la poudre aussi, mais surtout elle pour ce fabuleux conseil).

u3-copie-1.jpgLa Poudre Minérale Légère par Une Natural Beauty

C’est la première fois cette année que j’achète un produit quasiment les yeux fermés.

Pas beaucoup de revues sur le net, inexistante sur beauté-test, je n’avais que sa composition pour me décider.

 

JAMAIS JE NE FAIS ce genre d’achat irréfléchi, j’aime bien avoir mes dix onglets ouverts sur des blogs pour lire les avis, les défauts, les qualités d’un soin ou d’un cosmétique.

Mais là, c’était un plongeon la tête la première dans la piscine et tant pis si je me cognais au fond.

 

Le packaging, la couleur, la promesse

J’adore les packagings ultra-sleek de chez Une, ils sont portables, pratiques, pas besoin de miroir, tout est compris dans le prix, et en général la contenance est au rendez-vous. Un de leur blush crème m’était déjà passé sous les doigts et au niveau des textures, comme de la pigmentation, c’est une marque VALABLE.

La composition est, sans surprise, vraiment adaptée à tous les types de peaux : un émollient,  de la silice (matifiante), de l’amidon de maïs (absorbant), et du mica pour l’effet satiné.

Il n’y a pas de silicone, ni de talc, ce que j’essayais d’éviter ces derniers temps, et le tout est certifié ecocert.

OCTYLDODECYL STEAROYL STEARATE, SILICA, ZEA MAYS (CORN) STARCH*, ZINC STEARATE, GLYCERYL CAPRYLATE, p-ANISIC ACID, PARFUM (FRAGRANCE), TOCOPHEROL, GLYCINE SOJA (SOYBEAN) OIL.
[+/- (MAY CONTAIN) : MICA, CI 77007 (ULTRAMARINES), CI 77491, CI 77492, CI 77499 (IRON OXIDES), CI 77163 (BISMUTH OXYCHLORIDE), CI 77891 (TITANIUM DIOXIDE)]. 13UMT002-1 * Ingrédients issus de l’Agriculture Biologique

 

Elle n’est disponible qu’en deux teintes : la L03 pour les peaux claires et la L08 pour les peaux plus foncées (encore une fois, à tester si vous avez la peau vraiment foncée), mais je ne pense pas que cela soit un problème.

La L03 a un sous-ton jaune (et non rose, l’horreur) et peut totalement convenir à des personnes qui comme moi ont une peau très claire – pas la plus claire, mais pas loin.

Ce que j’aime par-dessus tout c’est sa douceur : rien qu’en la swatchant on sent le velouté, la poudre est fine et complètement mat.

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Même si la marque recommande l’usage du kabuki, je ne cherche pas forcément de couvrance ni de rendu super crémeux et parfait : j’ai un gros pinceau poudre qui fait très bien l’affaire.

Une fois appliquée, elle s’en sort très bien pour unifier mon teint, et il m’arrive de l’utiliser seule les jours où je veux un maquillage sans prise de tête type : PAF la poudre, PAF le blush, PAF le mascara et le crayon à sourcils.

Certains matins, je peux avoir des rougeurs sur les joues (souvent la faute au coussin qui m’a foutu des baffes pendant la nuit), ou envie de plus de couvrance pour cacher mes dernières cicatrices, du coup je fais une légère sous-couche correctrice avec ma Cream Foundation de chez Mud, et avec cette poudre tout reste en place jusqu’au soir.

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Uniquement PAF la poudre, PAF le blush, PAF le baume teinté, PAF le mascara et le crayon sourcil.

 

J’aime beaucoup

  • son rendu ultra naturel, velouté sans effet poudré dégueulasse (même en la réappliquant en cours de journée, je n’ai jamais fini avec une tête en forme de cake)
  • son pouvoir correcteur sur mes taches : pas de perfection, je suis d’ailleurs toujours plus pro-naturel que pro-couvrance, c’était la même chose quand j’avais mon acné kystique, tout camoufler empirait les choses, mais oui,même si elle est légère, elle parvient à corriger l’hyperpigmentation de certaines zones du menton, la classe
  • son prix : 18 euros (si je me souviens bien) pour 7.5 grammes, mais il y a souvent des promos sur cette marque chez Di, j’ai donc pu l’avoir pour 15 euros
  • elle ne dessèche absolument pas la peau
  • elle ne contient pas de talc et silicone, donc je lui voue un culte

 

J’aime moins

  • son non effet matifiant probant : clairement, si vous voulez du mat pour du mat, il faudra passer votre chemin, cette poudre fait office de touche unique ou finale d’un maquillage léger pour apporter un coup de frais sans prétention. Du coup, oui, en journée, je dois faire une retouche quand même, mais rien ne bouge

 

Re-Vwala,

Je pense que si vous êtes comme moi il y a quelques semaines à savoir : à la recherche d’une poudre de finition, quelque chose d’extrêmement naturel et pas hors de prix, à la composition qui n’inspire pas de boutons rien qu’à la regarder, alors elle pourrait vous plaire.

A mon avis elle peut facilement donner une couvrance tolérable avec un bon kabuki, mais moi ce que j’aime chez elle, c’est son effet peau nue, je me sens mieux quand je n’ai pas l’impression d’avoir quelque chose sur le visage.

Et puis son nom, c’est Poudre Légère pas Couvrance De Dingo, donc elle tient toutes ses promesses et laisse la peau lisse.
Je suis conquise même si avec un peu plus de contrôle de la brillance, elle aurait été PAR-FAITE.

 

Des bisous les Caribous !
Light Minerals Face Powder par Une Natural Beauty
Achetée 15 euros les 7.5gr (valeur 18 euros)

Caribouland
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1 avril 2014

La routine démaquillage cocoon/lazy/techno bitch du moment

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J’avais posté ma routine de soins il y a quelques jours.

Puis je l’ai retirée.

Parce que j’avais l’impression de jeter un torchon sale à la tête des gens avec une vidéo approximative (je fais de longs raccourcis dans ma tête, je passe par l’Ohio à dos de taureau bleu), et comme la chose est passée inaperçue, j’en profite pour (re)mettre le couvert avec un article écrit ET complet.

 

Donc today, on va parler de trois routines du soir qui s’assemblent en une routine, la mienne, que j’étale sur les sept jours de la semaine, selon que je me sente lazy bitch, techno bitch ou cocoon bitch.

L’idée c’est que chaque soir, quand je me présente devant le miroir, je n’ai pas forcément la même humeur ni la même envie de massacre de mon chef d’oeuvre du matin (oui, on parle de mon MAQUILLACH’), puis prendre soin de ma peau passe par des besoins qui changent avec le temps.

 

Pour tous les démaquillages que tu feras et éviter de tomber dans une routine plan plan et chiante, il vaut mieux avoir des basiques, quelques ustensiles, et tout faire tourner comme un tourniquet bien huilé.

Cela semble plus justifié que de passer coûte que coûte la clarisonic sur une peau qui veut de la douceur extrême, juste parce qu’on a décidé que c’était Mia 2 tous les soirs.

CA N’EXISTE PAS un visage identique chaque jour (celui de Cher, c’est une autre histoire), il s’agit d’un matériau vivant, et les jours où il va moins bien, faut le biberonner un peu plus, rien de compliqué René.

 

Avant de te lancer dans une routine à volets 

Il est impératif d’avoir une même base, ou en tout cas d’être sûr que tous les démaquillants/nettoyants choisis ne causeront pas de problèmes cutanés, d’imperfections, ou n’irriteront la peau. Le seul moyen pour en être certain, c’est d’avoir testé le produit auparavant et d’y avoir mis le cachet « bitch approved ».

Le B.A.BA, c’est les doudouces, comme toujours, et d’arriver à trouver un équilibre entre ce que la peau veut et ce dont on a envie.
Faire sa popote et se laisser vivre.

 

La routine techno bitch 

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C’est la routine que je pratique en moyenne quatre fois par semaine, parfois plus, quand j’ai envie d’une peau impeccable sans trop en faire.

Je la réserve aux soirées où j’ai un maquillage lambda, pas grand chose sur les yeux, mais une envie de bon nettoyage vite fait bien fait : je prends un coton imbibé d’eau micellaire klorane pour enlever le gros, et puis je dégaine ma clarisonic et la mousse cattier que j’aime toujours autant.
En deux minutes, c’est torché, je sens bon et je suis clean, HIGH FIVE !

 

La routine Lazy Bitch

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Mise en situation : jour de grosse flemme, les miettes de pain tombent à terre quand j’essaye de me nourrir, la nutella reste dans la commissure des lèvres, je change les chaînes de la télévision en faisant « brubrubrughtozpff », règne une ambiance de chèvre qui n’a pas eu sa dose d’herbe journalière.

Pour tous ces jours de flemme monumentale, je ne jure que par le gant démaquillant : je glisse sous la douche, je passe ma main dans le gant et je me débarbouille joyeusement sans penser à rien d’autre, vu que le magic mitt fait le boulot à ma place (ou du moins les bonshommes qui vivent dedans, y a une armée indétectable qui se meut et chante « et hop, une crasse de moins, et hop » à chaque fois que je le fais glisser sur ma peau).

Une vraie routine démaquillage de feignasse MAIS efficace !

 

La routine cocoon bitch

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C’est simple, ultrasimple ou n’importe quel cleansing balm me procure un plaisir inouï comparable au trempage de mes lèvres dans un cappuccino mousseux en faisant face à la mer (c’est du vécu).

Plus c’est gras, plus j’aime ça, et pour rappel, c’est ce qui enlève le mieux toute trace de maquillage récalcitrant et de sueur abominable.

Je l’utilise surtout les soirs où j’ai envie de cocooning et/ou un make-up plus prononcé.

Je masse mon visage avec, je fais des pressions avec mes paumes sur le visage pour bien tout décoller, je m’amuse à faire remonter le noir de yeux jusqu’aux sourcils pour me donner un look de zombie – les pas de danse de thriller ne sont jamais loin.

Mon passage préféré étant de tout ôter avec mon muslin cloth, un second massage vigoureux, donc un surplus d’hystérie dans la salle de bains en découvrant mon visage frais et serein (et un peu zinzin).

 

Ce qui suit chacune de ces routines
(Sauf celle du cleansing balm, encore que ça dépend des jours et des besoins de mes petits pores)

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Jusqu’à présent j’utilisais le sérum OST à la vitamine C et je suis passée depuis une petite semaine au sérum polyphénol C15 de chez Caudalie, qui est une tuerie, pour de vrai, mais faudra attendre trois semaines avant que je fasse la revue dessus.

Je recharge ma peau en actifs hydratants en somme (en mode framboise dodue oui, on va finir par en faire une pancarte) et pour bien sceller l’eau et qu’elle ne s’échappe pas, je mets une petite pompe d’huile de noisette sur tout mon visage.

 

Cette huile végétale est une des huiles les plus recommandées pour les peaux mixtes à grasse car elle a une très grande action sur le sébum et est très pénétrante, donc idéale si vous voulez la coupler à des huiles essentielles (HE à manier avec précautions pour ne pas finir avec la tête frite et aux cloques peu rassurantes).

Je la préfère de loin à la jojoba, qui a une texture moins sèche : la noisette est très vite bue et peut même s’utiliser en sérum le soir sous une crème hydratante, quoique le mieux serait de la mélanger directement au soin.

 

De manière générale, je suis en mode luciole à chaque changement de saison, et plus particulièrement en automne et au printemps. Mais depuis que je l’utilise, je vois une bonne différence au niveau de la qualité de ma peau, de la quantité de sébum produit (on pouvait cuire un steak sur mon front), et ce en seulement quelques semaines.

Pour les plus frileuses, pas de craintes, c’est une des HV les mieux tolérées, par contre pour le matin elle risque de laisser un petit film pas idéal quand on doit vite-vite passer au maquillage.
NB : pour les allergiques aux noix, c’est no way !

Après ce tartinage, je mets mon contour des yeux en tapotant, et baby wombat est prête pour aller au lit.

 

VWALA,

Je crois que je n’ai rien oublié.

La routine qui me prend le moins de temps est celle avec la clarisonic, les deux autres sont à égalité.

Je voulais vous écrire cet article pour vous parler de soins, certainement, mais surtout pour vous faire comprendre qu’il n’y a pas qu’une manière d’avoir une routine de démaquillage.

 

Qu’on peut très bien se démaquiller/nettoyer la peau tous les jours avec un baume démaquillant si on veut, mais les jours de maquillage léger, sur moi, ça n’a pas de sens.

Parce que j’ai des envies changeantes, que j’aime bien avoir le choix, et que, finalement, le côté plan-plan m’emmerde, et que ce qui me plaît le plus dans les soins, c’est de jongler entre différentes textures.

J’en reviens donc toujours au même topo : « écouter sa peau c’est la rendre beau » (oui belle, mais ça rime pas avec peau).
Ciao !

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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30 mars 2014

Phase 1 du programme anti-taches/cicatrices : un coup de flash au visage avec de la vitamine C et O.S.T

ost1-copie-1.jpgJe pense que s’il y a bien une chose qui me concerne le plus depuis que je ne fais plus d’acné violente, ce sont les cicatrices.

Parce qu’elles laissent une trace, que j’ai la peau extrêmement claire, et que ça me donne encore l’impression d’avoir des boutons partout alors que ce qui reste (quand je ne me gave pas de lait entier/junk food/bonbon trop bons/chocolat/et tralala) n’est que le champ d’une bataille qui est déjà finie et que j’espère ne plus devoir mener.

Le miel en masque peut aider, mais j’ai souvent la flemme/un bras qui passe par là, et en une vingtaine de minutes il ne me reste plus rien sur le menton et une tache collante sur le bras et le décolleté.

Bien joué, bébé.

Donc, dans mes petites recherches, je savais que la vitamine C était ce qu’il pouvait y avoir de plus efficace dans le genre et je me suis lancée dans une cure avec un des best-seller du marché asiatique : le OST C20 Sérum.

 

La vitamine C In & Out

J’ai vraiment eu du mal à bosser sur le sujet, parce que c’est de la bio-chimie, que j’aimais bien ce cours en secondaire quand il fallait disséquer un coeur, mais moins quand il s’agissait de parler d’action-réaction de l’organisme.

La vitamine C fait partie de ces vitamines qu’on nous recommande de prendre en hiver pour renforcer nos défenses immunitaires, qu’on retrouve dans le kiwi, la fraise, le citron (entre autres), et deux oranges suffisent largement à couvrir les AJR.

Cette vitamine protège l’intérieur des cellules du stress oxydatif : pour pouvoir vivre, nos cellules ont besoin d’oxygène qu’elles vont utiliser comme source d’énergie. PENDANT cette modification il y a une formation de radicaux libres, contre lesquels, a priori, le corps sait se défendre, mais il arrive que l’instabilité de ceux-ci et leur production en excès (à cause de la pollution, la cigarette, les UV) aient un impact considérable sur la peau et se traduisent, sur la peau, par :

  • des rides, ridules
  • un relâchement cutané, manque de fermeté
  • un teint plus inégal

 

La vitamine C agit comme un fort cicatrisant, anti-oxydant, inhibiteur de l’enzyme responsable de la coloration des taches et non, elle ne fait pas machine à glaces.

Pas encore fort certaine que le sujet soit clair dans ma tête, mais il est indéniable que les actifs antioxydants en application cutanée m’avait déjà bluffée concernant la fermeté : on se rappelle de l’épisode « moi et ma peau en mode framboise pulpeuse » après avoir découvert mon premier tube du Philtre de Beauté de Nominoë, sûr que la criste marine y était pour quelque chose.

 

Packaging, praticité et composition

ost2-copie-1.jpgJ’ai cassé la pipette.

Pourtant au départ l’idée était vraiment bonne, c’est plus pratique pour prélever du produit, on ne met pas ses doigts en contact avec le soin, on compte les gouttes comme un chimiste et on apprécie la magie de l’instant.

Mais la pipette a buté sur le bord du flacon et tout a atterri à terre en plein milieu de ma routine de soin, résultat des courses j’ai un bout de verre qui se balade au fond du pot histoire de rajouter un peu de piquant chaque soir.

Une partie du produit en a également profité pour se faire la malle sur mon meuble et le lendemain matin je voyais encore de belles traces oranges miner mon meuble blanc.

Les sérums dans un flacon en verre, c’est vraiment me faire du mal, je suis trop maladroite pour des objets comme ça.

ost3-copie-1.jpgDu coup maintenant, j’essaye de mettre la juste dose de produit sur le dos de ma main, et je tapote ensuite chaque partie de mon visage avec en espérant secrètement que je ne me retrouve pas avec une balafre à cause d’un éclat « pipettal » que je n’aurais pas vu passer.

 

Au niveau de la composition, c’est simple (hihi !)

Water, Ascorbic Acid, Alcohol, Sodium Lactate, Butylene Glycol, Glucose, PEG-60 Hydrogenated Castor Oil, Sodium Hyaluronate, Bis-PEG-18 Methyl Ether Dimethyl Silane, Methylparaben, Diethoxyethyl Succinate, Phenoxyethanol, Ammonium Acryloyldimethyltaurate/VpCopolymer, Xanthan Gum, PEG-180, Gluconolactone, Camellia Sinensis Leaf Extract, Beta-Glucan, Rosa Davurica Bud Extract, Citrus Aurantium Dulcis (Orange) Oil, Zinc PCA, Panthenol, Niacinamide, Carthamus Tinctorius (Safflower) Flower Extract, Glycerin, Tocopheryl Acetate, Lecithin, Caprylic/Capric Triglyceride, Ubiquinone, Diisopropyl Adipate

 

Il y a de l’eau, de l’acide ascorbic dosé à 20% (la fameuse vitamine C), de l’alcool (pas top en haut de liste comme ça, mais il est un très bon conservateur, et la VitC est une des molécules les plus instables en cosmétique : elle craint la lumière, la chaleur, l’oxydation, donc on conserve le sérum dans un endroit adapté), du sodium lactate pour réguler le pH, de l’acide hyaluronique (hydratant), du paraben et du phenoxyethanol pour renforcer l’effet conservateur de l’alcool j’imagine, de l’extrait de feuille de thé vert (antioxydant et émollient), de la niacinamide et de l’extrait de fleur de carthame pour leurs propriétés anti-âge, ainsi que de la vitamine E (garantit une meilleure stabilité et également un effet antioxydant).

La présence d’HE d’orange douce me dérange grandement, car cette huile essentielle est photosensibilisante et peut donc occasionner de nouvelles taches si on ne fait pas assez attention et qu’on est paresseux de la crème solaire, été comme hiver.

Même en l’appliquant ce sérum le soir, faites attention en journée si vous traînez en terrasse et tartinez-vous !

 

Texture et application

Typiquement le genre de texture que j’aime, ça s’étale comme un charme, est bu rapidement par ma peau (ou s’évapore très vite, c’est selon) et ne laisse pas la peau déshydratée.

Je n’ai pas l’impression qu’il a une odeur, à part un lointain souvenir d’orange.

ost4.jpgPar contre il y a un vrai point emmerdant, c’est le fini collant.

Par la porte ou par la fenêtre, pas moyen de m’enlever cette sensation du visage, j’ai essayé mélangé à ma crème, sous celle-ci, en attendant plus de temps avant d’enchaîner sur mon hydratant/huile végétale de noisette, mais c’était toujours le même discours.

Le rendu est moins dérangeant quand on va se laver les mains pour enlever ce qui reste du sérum sur les paumes, mais sinon, j’aimerais bien qu’on me donne une piste.

 

Première cure d’un mois et demi avec l’OST C20 Serum

Je l’ai appliqué tous les soirs sur ma peau depuis le 21 février.

Ces derniers temps j’ai eu des boutons sans importance (type ceux de fin de mois), et deux gros à cause d’un abus non contrôlé de lasagne à la béchamel bien (trop) crémeuse.

Et d’un mars glacé. En fait deux.

De pizzas.

De chocolat.

Vwala.

 

  • Premier constat : oui, certaines taches se sont bien affadies, quelques-unes étaient récentes et sont carrément devenues un souvenir grâce au très bon effet cicatrisant du sérum
  • Deuxième constat : quel teint ! L’effet coup de flash se ressent d’autant plus un lendemain de veille ou quand a nuit n’a pas été réparatrice
  • Troisième constat : ce sérum a resserré mes pores encore plus, surtout au niveau des ailes du nez
  • Quatrième constat : sur peau lésée ça pique, et le bouton met trois plombes à s’en remettre :: mieux vaut éviter la zone et privilégier la cicalfate pour la guérison initiale, et le sérum pour la deuxième phase de dégommage de mélanine
  • Cinquième constat : les plus vieilles taches ressortent, et c’est là le plus étrange parce que la vitamine C ne fait pas un effet peeling sur la peau, donc rien à voir avec des acides de fruits, elle devrait zigouiller toutes les taches en stoppant l’hyperpigmentation. Ou alors, le fait d’avoir le teint plus clair me donne peut-être cette impression de contraste (oh bon ça va, je suis myope comme le cul d’une taupe)

 

ph.jpg
En peau de départ, en commençant ce sérum j’avais :

  • une peau mixte
  • trois boutons de fin de mois
  • des cicatrices, la majorité datant de l’an passé
  • une peau en bonne forme, sans plus

En peau de fin (30/03/2014)

  • j’ai toujours ma peau mixte (ouf !)
  • taches moins présentes
  • beau teint, c’est fou ! Et quelle douuuuuuuuceur !
  • les boutons que j’avais fin février ont laissé des cicatrices qui se voient à peine aujourd’hui, good job

Même si le sérum promet un effet sur les points noirs, j’en ai, bien sûr, mais mes pores sont tellement petits que soit je n’ai pas vu la différence, soit il a bel et bien agit dessus, mais la blogueuse en carton que je suis ne peut se prononcer sur le sujet (limite tu espérais que je sois infestée de noirauds en début de test, je sais).
(Hé bien non)

 

Pour conclure, Guldure !

C’est un sérum qu’il te faut si tu frôles l’âge mature ou que tu psychotes comme moi sur les hypothétiques effets du temps (dans tous les sens du terme, temps qu’il fait, temps qui passe, temps de chien, temps de sa race), que tu cherches un coup de flash et un bon effet cicatrisant ciblé.

Il convient à tous les types de peaux, mais pour les sensibles/réactives, faites un test dans le creux du coude pour plus de sûreté car le OST C20 est fortement dosé.

Le prix est quasiment un cadeau, il coûte 14 euros et dure un bon bout de temps si on ne l’utilise que le soir (3 à 4 gouttes sont suffisantes pour le visage et le cou), à mon avis il faut pousser jusque trois mois pour commencer à avoir un résultat optimal.

Même s’il me reste du produit, je pense que le fait d’avoir fait l’idiote maladroite altère un peu plus vite le soin car je suis obligée de le verser sur le dos de ma main, sûr que ce contact n’est pas ce qu’il y a de mieux pour le préserver.

cua.jpgDepuis quelques jours j’utilise de nouveaux produits de chez Caudalie pour ma routine de jour et qui jouent sur le même créneau, mais avec la carte raisin-zinzin en plus.

On verra bien ce que ça donne !

 

Des bisous les Caribous !
Produit offert par Wishtrend, 19.99USD

Caribouland
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