25 février 2017

Mon petit déjeuner de base, les flocons d’avoine

Non je ne vais pas te barber avec un discours de nutritionniste de base du style « il faut bien manger, bouger et ne pas être stressé de la nouille », chacun démarre sa journée comme il le sent, avec une dose de bonne humeur ou un râle dès le lever, tant que cela te permet de partir en trombe et avec de la motivation collée aux fesses (oui c’est là qu’elle se trouve).

 

J’ai connu des petits-déjeuners très variés depuis que je suis gosse, avec une grosse tendance à la madeleine qui trempe dans le café et finit au fond de la tasse – le repêchage du malheureux bout était douloureux et poisseux, la plupart du temps.
Il y aussi eu ma période de corn-flakes, plus ils étaient sucrés, enrobés au miel-chocolat-soufflé, plus je sautillais sur place avant même de commencer à les déguster.

Y a des drogués qui dansent sur un pied comme ça quand ils attendent de recevoir leur dose.

 

Parfois je ne mangeais pas.

Parfois je ne m’enfilais que des tartines sans croûtes au nutella, ou encore des kinder délice. Je n’avais pas vraiment la notion des fruits + bonnes vitamines, je pensais que le lait de vache était plus que suffisant voire nécessaire à mon corps – j’ai évolué, je te rassure.

Bref, de cette période de trempouillage intensif dans mes mugs et de repas absolument déséquilibrés au réveil j’ai retenu trois choses : plus c’est mou, plus j’aime (calme-toi Jeannine), faut quand même une petit saveur sucrée – on ne me désintoxique pas comme ça des Trésor de Kellog’s,  ET que cela soit facile à préparer (c’est le matin, bordel).

Il s’agit du petit-déjeuner le plus « everybody-friendly » que je connaisse : chacun l’agrémentera à sa sauce, avec ou sans amandes, graines, copeaux de coco, poudre de cacao…

J’ai d’ailleurs pris une photo qui n’est pas du tout de l’ordre de ces superbes images de super-bowls énergétiques du matin, il ressemble à ce qui atterrit VRAIMENT dans mon assiette, sans fioritures ni rien. Mais si la déco de nourriture t’anime, amuse-toi hein.

 

Les flocons d’avoine sont bourrés de bienfaits naturels : ils ont tendance à remplir le ventre, sont riches en fibres, en protéines, en vitamines et ont un indice glycémique bas (ils ne vont pas occasionner un pic d’insuline). Ceci étant dit, leur cuisson peut influer sur cet élément-là, donc si vous voulez bien faire, laissez-les imbiber dans de l’eau ou du lait au soir – au frigo, et vous pourrez un chouilla réchauffer le tout le lendemain si vous voulez vraiment les consommer un chouilla caliente.

 

Une dernière chose : ils ont tendance à vite devenir « gluants » pendant la préparation à feu doux, il vaut donc mieux retirer la casserole quand la pâte est lisse mais pas trop compacte (comme dans mon assiette), plutôt que d’attendre que cela devienne un tas immangeable.

Après, je pense que certaines personnes les adorent très liquides, d’autres comme du béton, c’est une question de goût !

 

L’idée, c’était surtout de vous présenter mon petit-dèj de base, celui qui m’accompagne tous les matins depuis presqu’un an et ne me pose aucun problème de digestion (pas de maux de ventre – pas de ballonnements – pas de crève-la-faim à 10h du mat’). Si tu as envie d’être encore un peu plus rassasié, n’hésite pas à rajouter une petite cuiller à soupe de son d’avoine dans la popote, ça te calera bien le bidou.

Quelle que soit sa forme, n’en abusez pas trop non plus, car il s’agit de glucides avant tout, donc équilibrez le reste de votre journée en conséquence – mais si vous vous en cognez la mirette à coups de patoune de buffle, faites comme bon vous semble, et, surtout… bon appétit !

 

Des bisous les Caribous ! 

Caribouland
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22 février 2017

Les savons et l’huile de palme

Je suis en proie à ce petit sentiment de haine qui parcoure mon cerveau quand je suis embêtée.

Depuis quelques temps, shopping en ligne ou pas, chaque petit détour en magasin se passe dans la douleur et le grognement parce que je n’arrive pas à trouver un savon solide pas trop cher (dont les autres ingrédients me plairaient) et sans huile de palme (oui, tout ça).

Tu vas me dire qu’il y a de plus gros problèmes dans la vie et que ça ne te concerne pas, tout en retournant croquer dans ta tartoune de Nutella. Sauf que si, ça te touche aussi.

Tu crois qu’ils utilisent quoi pour rendre ta pâte à tartiner si crémeuse ?

 

Le bon savon comme on les aime

Pour faire un savon de bonne qualité (le fameux conçu « à froid ») on a besoin :

D’une phase d’huile

Et de soude (et d’eau pour la diluer)

Oui oui, c’est tout !

 

On choisit d’abord sa formule grasse selon l’effet recherché, on liquéfie les beurres – si on a décidé d’en mettre dans la préparation, et ensuite, une fois que l’on a atteint une température d’environ 40°c, on mêle la soude aux grassouillettes en protégeant ses yeux et ses mains.

Le mélange va créer une réaction, la saponification, de laquelle des sodium something vont résulter (je ne sais pas les nommer autrement, ils peuvent à la fois être du sodium oleate quand c’est issu de l’huile d’olive, ou encore du sodium shea butterate pour le karité, ou cocoate pour la coco, etc.).

On retrouve également de la glycérine (apparaît quand la pâte devient savon) : dans la plupart des pains conventionnels, elle est presque ou totalement inexistante et en grande partie revendue à d’autres fins, cosmétiques ou pharmaceutiques essentiellement.

De manière générale, un savon industriel aura toujours plus ou moins tendance à assécher la peau – parce qu’il est parfois créé en excès de soude, qu’il y a un raffinage et que les huiles ne conservent pas du tout toutes leurs propriétés bénéfiques à une cuisson qui excède 100 degrés.

Donc si on a la couenne sensible, on privilégiera plutôt une version homemade.

Ca va c’est cool, tu suis jusque-là ?

 

L’huile de palme et le naturel dans tout ça

A la base, elle répond au doux nom de palm oil ou elaeis guineensis, qui devient ensuite du sodium palmate (oui, un sodium something) – après le procédé de saponification.

Elle est naturelle et massivement utilisée dans le secteur agro-alimentaire, avec une production qui a atteint les sommets en 2015 – plus de 60 millions de tonnes à disposition du marché mondial.

De ce total, plus ou moins 20% est utilisé dans le secteur cosmétique, avec un certain ratio se rapportant à la récolte issue de plantations qui respectent les normes d’agriculture biologique.

 

Cette huile :

  • est rouge quand elle est brute, et apporte beaucoup de bénéfices – riche en antioxydants grâce à sont taux de vitamine E et de carétinoïdes (  une partie transformé en Vitamine A dans le corps)
  • coûte peu cher, parce que son rendement est gigantesque par hectare
  • et est répandue dans une très grande partie des savons solides du marché

Seulement voilà, cet ingrédient qui arrive dans nos soins n’est plus exactement le même et peu comparable à la grassouillette presque rouge qui sortait du fruit du palmier à huile. On l’a épuré, chauffé, fait refroidir, clarifié, désodorisé, pour obtenir une matière grasse qui laisse la margarine solide et donne son moelleux au chips comme aux couques au chocolat.

Mais qui, cosmétiquement parlant ne sert plus à grand chose, à part à apporter de la dureté au bloc et à participer à un quart d’heure mousseux sous la douche.

 

Le savon à choisir 

Sa culture bio ou non importe (parce que cela permettra peut-être à de petits producteurs indonésiens ou malaisiens d’être traités avec plus de respect), mais dans l’absolu, je préfère ne pas acheter un pain qui en contient, parce que, typiquement, je ne suis pas sur place pour être vraiment sûre que tout est cultivé dans le meilleures conditions du monde.

La formule étant majoritairement décisive lors de mon achat, il m’arrive de retourner 100 blocs avant de trouver ce que je recherche.  Je vois trop souvent de l’huile de palme traditionnelle et non organic qui se retrouve dans des carrés parfumés, avec les broutilles de scandale qui vont avec : l’exemple du carré de savon naturel à la rose de Weleda est très parlant, avec cette grassouillette comme premier ingrédient, mais il y en a plein d’autres comme ça.

On trouve aussi de la graisse animale pour saupoudrer le tout parfois, oui oui, donc essayez d’ouvrir l’oeil ( le sodium something tallowate par exemple).

 

Si vous voulez sincèrement mieux consommer (ou en tout cas suivre mon raisonnement), soit achetez une version dont chaque élément est marqué d’une « origine = agriculture biologique », soit une qui exclue totalement l’huile de palme.

Le plus simple étant de se ruer sur un bon vieux savon saponifié à froid, parce qu’il est d’une douceur absolue et qu’au moins, les huiles utilisées dedans on un vrai pouvoir hydratant et émollient.

Il aurait juste été intéressant que la palm oil soit brute et sa culture moins dévastatrice sur l’environnement en fait, mais les industriels sont des foulamerde qui préfèrent me zigouiller mon temps libre dans les rayons.

 

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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20 février 2017

Angela Langford Repair & Renew face oil, avec du kiwi dedans

ABOUT
Repair & Renew Angela Langford sur @lovelula
Huile balanced & beautiful, dispo sur @angelalangford

Depuis le début de mon traitement antibio, j’ai l’impression que ma peau me parle en morse.

Le signal n’est pas très clair, j’arrive à détecter le sens, mais entre SEC ou DESHYDRATE, mon coeur balance. J’ai du, j’avoue, un peu patouiller dans mes pots pour me trouver des soins qui me parlent et causent enfin ma langue.

Parce que jusqu’à présent, c’était charabia sur charabia en passant par carabistouille et tralala.
Même toi t’y pigerais rien à ces bafouilles.

 

En commandant le sérum dont je vais vous parler, je dansais d’un pied sur deux, parce que la structure générale de la formulation était plutôt destinée aux peaux les plus arides et les plus rêches de la terre, tout comme les matures.

Comme mon minois a toujours plus connu le manque d’eau que de gras (même si ça se rejoint)(voir mon article sur pourquoi j’hydrate ma peau), je me demandais si je n’étais pas occupée à craquer avec déraison.

Même si j’avais comme un pressentiment que le bidule allait coller à mes besoins, en grande partie parce qu’il était riche en huile de kiwi. Oui oui, ça existe.

 

Après quelques semaines sous thérapie anti-bubon, je n’avais pas le visage abîmé en tant que tel, juste un peu capricieux, à tirer puis à s’inflammer d’un jour à l’autre – oui, c’était la merdasse couennale mais j’ai géré comme une baleine à bosse nage, avec grâce et remous.

Il me manquait seulement un petit plus pour survivre avec un épiderme sans plaques ni résidus de pomortes.

En soi, je voulais bien prendre des cachetons pour éviter les kystes, mais l’inconfort cutané était l’une des choses les plus difficiles à vivre pour moi.

Comparable au moment où je veux me préparer un thé et que le réservoir de ma bouilloire est vide. Et qu’il faut le remplir. Blah.


A
ngela Langford, une aventure personnelle

A la base, la créatrice de la marque était surtout passionnée par la cuisine et frustrée car elle n’arrivait pas à avoir accès à ses soins préférés pendant son séjour en Espagne. Lui était alors venu l’idée de préparer sa propre tambouille, histoire de toujours disposer de ce dont sa bouille avait besoin, sans dépendre de ce qui était disponible sur le marché.

Elle a d’abord créé sa gamme pour toujours avoir des soins de qualité sous la main, pour ensuite les vendre au grand public.

Angela Langford ne teste pas sur les animaux – uniquement sur des humains consentants, et les produits sont exclusivement fabriqués en Grande-Bretagne, la plupart convenant aux végétariens comme aux vegans.

Aussi, tant que faire se peut, elle essaie de se fournir en ingrédients bio ou tout du moins naturels (le pourcentage étant à chaque fois mentionné sur le site, pour l’un comme l’autre).

 

 

Une fiole dorée ULTRA-ACTIVE

Vous commencez à me connaître, je choisis mes soins comme une psychopate: faut que ce soit actif/mais pas trop, chargé en naturel/mais avec sens et SURTOUT, d’une sensorialité à te détendre jusqu’au panard.

Dans le repair & renew on trouve tout ce qu’elle a pu choper dans la forêt, avec, dans l’ordre (je t’ai divisé le bloc sinon c’était indigeste) –

de l’huile végétale de kiwi et d’églantier (riches en omegas 3, des acides gras essentiels, elles apaisent les rougeurs et revitalisent les teints ternes et fripés en hydratant en profondeur et en encourageant le renouvellement cellulaire),

de la vitamine E (antioxydante),

de l’HV d’onagre, d’argan (les huiles de base pour nourrir et assouplir les couennes en manque de lipides, antirides naturels), de riz (un adoucissant cutané de dingue), de macadamia (basique et riche en acide oléique pour la santé de la peau à travers les âges), du squalane hydratant (issu de l’huile d’olive), de l’HV de coco fractionnée,

de l’extrait de cassis (anti-inflammatoire puissant), de romarin (purifiant et revitalisant),

de la vitamine A (stimule la synthèse du collagène, en chute à partir de 25-30 ans), de l’huile essentielle d’encens, de palmarosa et de néroli (toutes trois tonifiants cutanés qui stimulent les cellules et la qualité épidermique),

de citron (pour l’éclat), de bois de rose (pour encore un peu plus booster la jeunesse de la peau), de mandarine (encore un agrume, riche en vitamine C, excellent pour les couennes fatiguées ou plus matures), de petitgrain (tonique de couenne et régénérant), de poivre noir (stimulant et anti-inflammatoire), de brèdes mafane (une plante raffermissante souvent utilisée dans les anti-rides)

et du Q10 (le couteau suisse pour ralentir les effets naturels du vieillissement).

actinidia chinensis seed oil, rosa rubignosa oil*, tocopherol , oenothera biennia oil*, argania spinosa oil*, oryza sativa bran oil, macadamia ternifolia seed oil*, squalane, caprylic/capric triglyceride, ribes nigrum fruit extract, rosmarinus officinalis leaf extract*, retinyl palmitate, boswellia carterii oil*, cymbopogon martinii oil*, citrus aurantium flower oil, citrus limon peel oil*, aniba roseodora wood oil*, citrus reticulate peel oil*, citrus aurantium leaf oil*, piper nigrum fruit oil*, spilanthes acmella flower extract, ubiquinone

 

L’huile qui répare et renouvelle

J’ai eu 29 ans, donc je touche encore du pied la petite portion de fin de vingtaine, mais de loin comme de près on me donne souvent moins que mon âge. Peut-être est-ce du à la génétique (sûrement même), mais il ne faut pas ôter son heure de gloire à mon choix méticuleux des soins qui habitent ma salle de bain.

Si je passe des heures à me pencher sur la composition de 1000 & 1 produits, c’est aussi souvent parce que je cherche l’unique, ce qui sort de l’ordinaire et n’est pas juste un aplat d’eau, de glycérine et d’huile de tournesol.

 

La repair & renew face oil entre dans la catégorie des huiles pour le visage à utiliser par saison pour choquer la peau et lui donner un coup de boost.

Au niveau de l’odeur, je la trouve assez neutre, rien de déplaisant ni citronné, ça sent bien quelque chose de fruité mais mon naseau n’est pas des plus fins.

Concernant l’action, elle est excellente : comme on a un complexe d’omega 3 – 6 et 9, on va à la fois avoir une action anti-inflammatoire, mais aussi éviter la déperdition d’eau et observer sa peau s’adoucir et se détendre au fur et à mesure des applications (je ne parle pas du glissant de l’huile, le lissage sera presque visible – je ne suis pas encore assez mature pour avoir un avis tranché là-dessus, mais déjà sur moi, je vois un changement).

Les ingrédients sont tournés vers la clarté (qui ne voudrait pas briller comme une licorne à paillettes ?) mais également vers une recherche de stimulation de l’élasticité (avec le Q10 et le retinyl palmitate).

En gros, dans ce mini flacon, on a de quoi envoyer du bonheur aux couennes ternes comme plus matures, tout en passant par la case déshydratation et sécheresse aride, du jamais vu.

 

Je l’applique en mêlant deux trois gouttes à mon soin de nuit, ça dépend un peu du temps que je veux passer à me masser la binette. Les huiles ont une très grande affinité avec la peau, mais le mieux est de choisir une crème hydratante pour optimiser leur pénétration – une HV mettra bien plus de temps à être absorbée si elle n’est pas massée sur une trombine encore légèrement humide.

C’était le quick tip du jour.

 

Une solution pour les peaux mixtes

Pour celles et ceux qui ont la couenne peu tolérante, je trouve la repair & renew extrêmement bien dosée en actifs (pas d’huiles essentielles qui crèvent le plafond et mon nez par la même occasion), le mix est très équilibré et le résultat progressif comme tout. Donc non, pas de « peau sensible s’abstenir », elle conviendra vraiment à tout le monde.

Peut-être un peu moins aux minois plus impurs ou à tendance grasse – je testerais plutôt celle-ci à votre place, la balanced & beautiful, moins chargée que la mienne, c’est l’autre version qui m’avait tentée mais uniquement disponible sur le site mère.

Elle contient un mélange plus basique en huiles végétales intéressantes (même si la plus grosse partie est identique), on retrouve surtout des ingrédients plus « pore-friendly » pour nettoyer ses petites cuvettes et profiter d’un léger effet peeling.

Voilà, j’arrête de te tenir la jambe comme un chien enragé pour aujourd’hui, je pense que tu as compris que la repair & renew était une ultra-bombe en flacon. Le seul mini-rikiki bémol est la contenance, mais après un mois, je n’en ai utilisé qu’un bon tiers, donc je devrais facilement tenir les 2 mois et demi avec 15ml en l’utilisant une fois par jour.

Au regard de ce que m’offre le menu – la qualité des matières premières et le résultat, je te garantis que ce sont 25 euros bien placés.

Et au moins, TU SAIS que ce qu’il y a dedans est là pour te faire du bien. Elle est pas belle la vie ?

 

Des bisous les Caribous !
Sérum Repair & Renew Angela Langford sur @lovelula
Reçu sur demande via Love Lula

Huile balanced & beautiful, dispo sur @angelalangford

Caribouland
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17 février 2017

TriXera d’Avène, le concours !

J’ai déjà essayé d’aller voir ailleurs, mais honnêtement, Avène (comme La Roche-Posay dans certains cas) est sûrement une des rares marques de parapharmacie vers laquelle je me tourne systématiquement quand ma peau est irritée et complètement têtue de l’épiderme.

J’ai encore de temps en temps des épisodes de plaques sèches sur les cuisses (la faute aux balades à vélo), me grattant comme une folle furieuse pour faire passer l’irritation  (la douche froide aide mais t’avoueras qu’en hiver, faut du courage pour se la coltiner).

Et je ne connais qu’une seule manière de vraiment me soulager quand ça arrive : je pars m’enduire les jambons de Trixéra + comme si j’étais une tranche de bon pain prête à accueillir une lampée de Philadelphia. Ah oui, j’en ai déjà utilisé quelques litres de ce soin-là, je le connais par coeur…

J’avais, en outre, une franche préférence pour la formule la plus épaisse (ou encore le xeracalm dans un autre style), même si la crème m’accompagnait souvent en été quand la lucite se réveillait sur mes épaules et le haut du dos, sa texture étant plus fine.

 

Depuis peu, la gamme a subi un lifting, on trouve un lait et un baume, ainsi qu’un petit nouveau, le nettoyant nutri-fluide.

Il a une texture gel assez épaisse, je pense d’ailleurs que la version pompe est assez compliquée à gérer sous la douche quand on a des bras de moustique, il faut de fameux biceps pour arriver à pomper une bonne dose de produit.

Au niveau de sa base lavante, elle est vraiment douce et change un peu des listes d’ingrédients ultra-chimiques – on n’est pas dans le bio hein, ‘tention, mais c’est tout à fait le genre de produit qui rentre dans mon panier quotidien, hydratant, à la formulation soft et qui sent BON !

De loin, je préfère quand même l’huile lavante xeracalm, à laquelle j’ajouterais bien le parfum du nettoyant TriXera pour avoir le produit parfait. Mais je ne vais quand même pas tuer les formulateurs de chez Avène juste pour pouvoir utiliser leurs éprouvettes de test.

Si ?


Le concours Trixéra

Cela faisait TELLEMENT longtemps que je ne vous avais pas fait plaisir que j’ai profité de la réception des trois produits de la gamme pour aussi en demander pour vous.


Il y a 5 lots à gagner (OH YEAH), chacun comprenant 

1 baume Trixéra 200ml + 1 lait Trixéra 200ml + 1 nettoyant nutrifluide 100ml.

Concernant les conditions de participation – Important !

  • il faut résider en Belgique (SORRY LA FRANCE)
  • remplir le fabuleux formulaire qui suit – AUCUNE réponse en commentaire ne comptera comme participation au concours
  • Pas d’obligation de suivi sur mes réseaux, cela ne changera rien au moment du tirage (et puis c’est plus barbant qu’autre chose)(mais si tu as envie, TU PEUX me rejoindre évidemment, sur l’instagram, le twitter ou le facebook)

PS : les doublons de réponse seront supprimés

 

J’espère que cela vous fait plaisir en tout cas et surtout bonne merde à tous les belges qui participeront au concours !

Pour les françouillais, je ne vous oublie pas, vous êtes l’autre moitié de mon lectorat, et, de ce fait, tout aussi importants pour moi. Je vous préparerai du big cadeau pour l’anniversaire du blog en mars, promis promis promis, comme ça personne ne sera délaissé.

 

Pour en revenir au présent concours, il prendra fin le 28 février 2017 à 18h, avec les 5 gagnants annoncés dans la soirée sur la page facebook du bloug, suite à un tirage au sort – gardez un oeil ouvert là-bas.

Ca vous laisse une grosse semaine pour valider une réponse, donc ne perdez pas de temps pour remplir le questionnaire, 11 jours ça passe vite.

Je crois que j’ai tout dit, y a plus qu’à participer Cunégonde. Je vous envoie plein de bonnes ondes, et vous souhaite un bon début de week-end à tous.

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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16 février 2017

Ma gourde en verre Miu Color pour éviter le gaspillage

ABOUT
Gourde en verre @miucolor

Il y a du bon sens dans les routines.

Quand on prépare son sac le jour d’avant, son petit tupperware, quand on dispose des fringues bien pliées et repassées sur le coin d’une chaise, prêtes à être enfilées au matin.

Mais le bon sens me passe par-dessus la couenne dans certains cas, il m’arrive de ne pas distinguer le gros éléphant en tutu qui se balade dans la pièce.

Je suis capable d’utiliser du mouchoir pour essuyer mes mains, de laisser la lumière allumée dans ma chambre quand je n’y suis pas, d’utiliser beaucoup trop le robinet pendant ma vaisselle quotidienne ou de prendre des douches qui équivalent à deux bains.

J’ai beau être petite, je suis une mini catastrophe écologique à moi toute seule.

 

Quand j’ai vu la quantité astronomique de bouteilles d’eau en plastique qui jonchaient le sol de ma chambre « parce que j’avais besoin de m’hydrater » (mais qu’en réalité, après une gorgée j’oubliais le litre entier près du lit, le laissant devenir rance et imbuvable), j’ai un peu percuté avec l’absurdité de cette routine-là, justement.

J’avais l’impression d’être un oiseau dans un océan de goudron, complètement dépité. J’ai eu un petit hoquet de déception et, après avoir erré sur Amazon pour la millionième fois, je me suis achetée une gourde.

 

Hasbeen ou pas, la gourdasse était, de mon point de vue, le meilleur moyen pour mieux me rendre compte de mon gaspillage intempestif.

La mienne vient de chez Miu Color, mais peu importe la provenance – il faut juste qu’elle soit bon marché, en verre, réutilisable à l’infini, et surtout qu’elle ne soit pas oubliée sur un bord de table de cuisine au matin.

Surtout, oui.

 

Les avantages

  • je ne jette plus mon argent par la fenêtre
    Combien de fois je ne me suis pas retrouvée en pleine ville, avec une soif de chacal et à devoir dépenser 2 euros juste pour boire
  • 0 déchets plastiques
  • elle est en verre
    donc pas de rejet bizarre de substances chimiques sans nom contenues dans du plastoc
  • Totalement transportable, elle ne coule pas au fond du sac
    sur ce point je dois avouer qu’il y a eu quelques ajustements à faire – je n’avais pas vu qu’il y avait un petit rond de silicone à fourrer dans le cul du bouchon. Une fois ce petit détail compris, je n’ai plus eu de problèmes de fuite
  • je l’utilise uniquement pour l’eau
    je ne bois pas de sodas, ça fait déjà quelques années que j’ai arrêté d’en consommer – à part de temps en temps quand il fait chaud, mais ça ne coure pas les rues en Belgique
  • elle me sert de baromètre
    je dois au moins finir deux bouteilles pour arriver à un litre, sachant qu’à côté, je consomme aussi des thés, donc j’arrive toujours à mon quota d’hydratation du jour
  • le goulot est hyper bouche-friendly
  • Ma gourde est livrée avec ses accessoires de nettoyage

 

Les inconvénients

  • elle pèse plus qu’une gourde en plastique, même vide
  • le manchon en silicone est peu pratique
    au moment de la sécher, il faudra bien essuyer tous les rebords. Aussi, c’est une matière qui a tendance à un peu attirer les poussières – better have a clean bag.

 

TOUT LE MONDE devrait avoir une bouteille en verre ou en inox dans son sac, ne serait-ce que pour éviter de gaspiller son argent chaque jour dans un contenant plutôt que dans le contenu (en soi, c’est toujours plus facile de trouver un robinet qu’un gobelet) et surtout pour mettre en place un geste quotidien plus écologique.

Je l’utilise à la maison comme au boulot, où j’oublie souvent ma tasse. Il y en a bien d’autres qui traînent mais va savoir quelles babines les ont frôlées ou si elles ont correctement été lavées depuis 10 ans.

 

J’avais déjà un thermos de chez Contigo que j’aurai pu utiliser pour continuer sur ma lancée du durable et ne pas RACHETER une énième fiole à boisson. Mais je m’en sers plutôt pour le thé, le café, toutes les boissons chaudes ou dans lesquelles je rajouter du lait, du miel; c’est plus logique pour moi.

Je ne pense pas que cela soit NECESSAIRE d’investir dans une gourde, tu trouveras toujours un petit verre à jeter après usage, ou une tasse mal essuyée par un collègue quand tu seras en phase terminale de déshydratation.

Mais avoue que d’en posséder une serait presque faire preuve de bon sens, Ginette.

 

Des bisous les Caribous !
Miu Colors, achetée 20 euros en promo sur Amazon

Caribouland
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