9 février 2015

Evoluer dans les textures, meet le nettoyant granuleux par Dr. Hauschka

hauschka1

Quand je vous dis que parfois je me limite au niveau des textures, je me sens comme une mamie qui ne jure que par la même laine depuis 15 ans, et dont l’écharpe ne varie pas d’un iota entre chaque tricot.

Parfois, c’est aussi bien d’acheter de la soie pour voir si l’étoffe apporte quelque chose de plus.

Bref, j’ai découvert un nouveau genre de nettoyant, le granuleux, et depuis, mon monde vacille.


Il y a 15 ans

Sur le marché européen, quand t’étais jeune, t’avais droit à un bon vieux gel (limite visqueux)(limite imitation de la bave du Saint-Bernard de ta voisine)(limite tu trouvais ça tendance) avec un décapage de ton film hydrolipidique en bonne et due forme – y avait plus rien à voir.

A part tes pores ouverts pour un concerto, le derme ravagé par le sec – le « ça gratte »- bordel faut que j’hydrate.

Mais tout le monde était au même régime, pourquoi chercher plus loin ?

 

Il y a 10 ans

On a eu les mousses. Légères, aériennes, côté barbapapa à l’odeur de frais, petit nuage qui se fait la malle dès qu’il touche ton minois mais tu t’en branles : ça nettoie bien, ça tire moins, tu pense avoir touché le graal.

 

Il y a 5 ans

On commence le ramdam sur les crèmes nettoyantes et les baumes démaquillants (même si ça existe depuis une plombe), c’est toujours mieux de dégoupiller quand la grenade se fait chaude, histoire d’exploser sur le marché « RIGHT ON TIME ». Je m’engouffre dans la brèche quelques années plus tard, je suis fan.

 

Il y a un mois

Mona découvre la crème purifiante Dr Hauschka

Hauschka2

J’avais toujours juré ne jamais m’approcher de cette marque : un peu dans le style bobo, qui touche les trentenaires en recherche de naturel mais qui savent y mettre le prix.

Un packaging un peu trop écolo à mon goût, un rituel à la limite de la secte dermo-cosmétique, très peu pour moi.

Mais comme je fais mes courses seule en général, je me suis encore une fois retrouvée dans le rayon à chercher un nettoyant comme un chien creuse la terre pour y trouver un trésor.

 

J’ai à peine hésité (pendant 20 bonnes minutes), et pris une cleansing cream d’Hauschka et un dermo-nettoyant très bien noté de chez Jonzac.

J’ai directement regretté l’achat de ce dernier le soir-même, quand le cocktail « plaque rouge et picotements » s’est installé, j’ai préféré ne pas renouveler l’expérience.
En même temps, j’aurais du pressentir qu’un gel n’était pas la texture la plus adaptée à ma sensibilité de peau. Mais je suis une testeuse née.

J’aurais mieux fait de garder ma monnaie.

 

Le lendemain de ce malheureux incident, je dégaine le tube de la crème purifiante, je me renseigne un chouilla en regardant les vidéos sur youtube avant, parce que la manipulation n’a pas l’air TOTALEMENT intuitive.

La madame semble apprécier le palper-rouler de la menotte, même si ça a l’air plus facile à voir qu’à exécuter.
Une fois postée devant mon lavabo, je me sens un peu penaude.

Disons que le coup de main vient assez vite, faut juste comprendre le schmilblick.

On prend plus ou moins deux centimètres de la pâte au creux de sa main, on l’imbibe avec un peu d’eau, et on appuie les paumes en les déroulant sur le visage humide sans jamais FROTTER.

Grosse révélation dans mon monde de Caribou, je me dis que tous les exfoliants devraient même s’utiliser de cette manière, on entraîne les peaux mortes qu’il faut sans agresser la peau sensible.

La base.

 

Je restais sceptique sur le côté nettoyage mais faut bien admettre que ça marche : rien qu’avec les pressions on permet aux huiles d’agir pour purifier, les grains s’amusent entre eux comme des billes sur une surface plane.

Une fois le visage rincé, non seulement il est doux, clair et pas rouge, mais il reste super confortable.

J’ai combattu l’effet tomate de la réactivité rien qu’avec ce régime épidermique (avec le temps de Mr Freeze qu’on se tape, ce n’est pas du luxe !). Soit je me démaquille au cleansing balm avant soit avec de l’eau micellaire ==> donc oui, double nettoyage in da place mais pas de crise en vue.

hauschka3

Dedans il y a (à part de l’amour et de l’innovation) :

De l’eau, de la poudre d’amande douce (pour exfolier), de l’extrait de calendula (apaise), de l’extrait de trèfle jaune (très bon contre les plaies, les peaux qui crient « j’ai mal »), de l’huile d’arachide (émolliente, assouplit la couenne), de camomille (doudou des peaux sensibles), de l’extrait de millepertuis (anti-inflammatoire), de l’huile de tournesol (adoucit), de l’hamamélis (astringent, régulateur des peaux mixtes), acérola (détoxifiant, reminéralisant), entre autres.

Water (Aqua), Prunus Amygdalus Dulcis (Sweet Almond) Seed Meal, Calendula Officinalis Flower Extract, Anthyllis Vulneraria Extract, Alcohol, Arachis Hypogaea (Peanut) Oil, Chamomilla Recutita (Matricaria) Flower Extract, Hypericum Perforatum Flower/Leaf/Stem Extract, Helianthus Annuus (Sunflower) Seed Oil, Hamamelis Virginiana (Witch Hazel) Bark/Leaf Extract, Triticum Vulgare (Wheat) Germ Oil, Prunus Amygdalus Dulcis (Sweet Almond) Oil, Fragrance (Parfum), Citronellol*, Geraniol*, Malpighia Punicifolia (Acerola) Fruit Extract, Xanthan Gum, Lecithin, Algin.

 

La composition est impeccable et se balade entre un nettoyant huileux et un exfoliant doux, les grains ne sont pas du tout abrasifs et permettent de mieux exécuter le mouvement au moment du nettoyage.

Au niveau de l’odeur, ça m’évoque une promenade plantue et fruitée (sans le côté sucré écoeurant), le genre de parfum qui ne plaira pas forcément à tout le monde mais qui n’est pas trop présent et s’en va assez vite après le wash-wash.

 

Je pense que, de tous les soins qui se proclament « purifiants », celui-ci est de loin roi en son royaume. Même si on perd la détente d’un massage à se faire claquer les tissus, on prend son temps pour bien faire le rituel made in Hauschka, et rien que les pressions-relâchements des mains apportent d’autres sensations relaxantes comme je les aime.

Un peu comme le jour où j’ai découvert qu’un sérum huileux était plus bénéfique quand on l’appliquait par tapotements, on apprend à gérer le palpage.

Que du bonheur sur mon petit visage.

hauschka4

La seule chose qui me chagrine VRAIMENT, c’est la vitesse à laquelle le type se vide. J’utilise ce produit depuis trois-quatre semaines et j’ai déjà descendu la moitié du tube environ.

Mais je l’emploie quasiment deux fois par jour (matin et soir), ce qui m’arrive rarement en temps normal, étant plutôt une adepte du sans eau au réveil.

Dans l’absolu, je voterais POUR la sortie d’un format plus important.

Mais à part ce « mauvais point », ce nettoyant me rend complètement zinzin.

 

Une lectrice m’avait suggéré le même genre d’usage avec le nettoyant Angels on bare skin de Lush (texture similaire), et de se la jouer paume baladeuse la tête par-dessus le lavabo; si vous l’avez dans vos stocks, pourquoi ne pas essayer ?

 

Pour en revenir à la crème d’Hauschka, ne vous arrêtez pas à la mention « purifiante », cela reste un soin qui peut s’utiliser sur tous les types de peaux, même sèches. On a les huiles, l’exfoliation quotidienne, et la garantie d’une couenne au paradis rien qu’avec un peu de pâte brune.

Le plus dur c’est de ne pas frotter.

Le plus intelligent aussi, à vrai dire.

 

Des bisous les Caribous !
Achetée 20 euros les 50ml chez Desmecht, Bruxelles

Caribouland
FacebooktwitterpinterestinstagramFacebooktwitterpinterestinstagram
5 février 2015

A tea & Coffee Companion, Contigo et ses mugs

contigo1

J’ai un sens de la tasse très développé.

Je choisis mon mug avec beaucoup de finesse (RAH OUAIS, J’AI SOIF COMME UN COCHON EN PLEIN CAGNARD), et quand vient l’heure de la dégustation – c’est-à-dire, à tout moment de la journée, j’ai rarement le temps de m’asseoir et composer avec le temps qui passe, la boisson refroidit lentement, et je perds le plaisir que j’avais eu au moment de chauffer l’eau.

Je suis donc dans une phase de ma vie où même quand je n’ai rien à faire il y a toujours QUELQUE CHOSE à faire.

Je peux me pointer derrière mon mac, commencer à écrire un article et oublier ma tasse.

Fail.

Ou encore me faire un petit plaisir avec de la bergamote infusée et du miel, et soudain avoir envie de laver mes fringues ou aspirer (oui oui, Monica Geller est mon double).

Fail.

Ma vie est une suite de thés refroidis sur le bord d’une table – malgré moi – je m’en remets jamais.

 

Il y a deux ans de cela, ma mère avait commandé deux mugs isothermes d’une marque « révolutionnaire », avec un couvercle spill proof, et un design qui répondait tout à fait à ma façon de voir les choses.

En acier de la tête aux pattes, le bidule était indémontable en cas de choc et sans risque d’éclaboussure ou de flaque au fond du sac parce que « merde, je l’ai mal fermé ce matin, didju ».

 

J’avais adoré l’utiliser, mais le déménagement aidant, j’ai bêtement perdu la trace de mon précieux (gollum, si tu m’entends, il serait temps de le rendre, la farce a assez duré).

Du coup, j’ai des envies qui remontent comme des caprices, je passe des jours à me renseigner sur un produit que je connais déjà, et dès que la petite monnaie tombe sur le compte en banque, je craque.

J’ai donc eu du mal à résister à la commande d’un nouveau mug, je me suis pris un west loop à 32 boules comme une vieille égoïste addicte du sirotage bruyant.

MAIS J’EN AVAIS BESOIN.

 

West loop de Contigo

La marque a basé sa réputation sur la technologie safe seal : en gros, le couvercle fonctionne avec un système de levier pour gens ayant fait bac + 10, mais à l’utilisation, il est bien plus pratique que l’ancien.

Avant, pour le nettoyer, il fallait récurer le mécanisme au cure-dent parce que rien ne bougeait (ou tout laisser tremper une nuit en espérant que ça ne goûte plus le café de la veille au rinçage)(trempage qui reste indispensable quand on boit des substances épaisses, crémeuses).

Ici, vu que tout se déplie vers l’extérieur, je ne risque plus de perdre un ongle ni de me battre pour tout nettoyer, je fais comme le monsieur de la vidéo et c’est nickel.

Premier bon point.

contigo6

Deuxième bon point : contrairement à la première version, il y a maintenant DEUX safety locks, un sur le haut du west loopet le lock autoseal (sur lequel on appuie pour ouvrir la fente par laquelle on boit). Tant qu’on ne presse pas le bouton blanc, il est physiquement impossible qu’une goutte sorte de la bouteille.

Le nouveau safety lock sur le dessus me plaît énormément, faudrait voir quand je me balade en rue, j’ai l’air d’un hippopotame qui trimballe toute une jungle dans son sac, vaut mieux avoir un système de blocage qui assure vu ma démarche.

 

Comme ça faisait un moment que je n’avais plus touché au génial avantage d’une bouteille isotherme, j’ai eu le droit à un brûlage de lèvres en bonne et due forme quand j’ai voulu faire ma maline et l’utiliser pour la première fois.
J’avais fermé le couvercle directement après avoir mis le thé dedans, en bonne débutante qui se respecte.

contigo7En le laissant ouvert 10-15 minutes avant, ma boisson très chaude tient sans problèmes 3h30 – 4h (plus ou moins comme promis par la marque) en restant buvable – après plusieurs heures on est entre le chaud et le à peine tiède.

Ce qui refroidit le liquide c’est surtout d’ouvrir la fente pour boire assez souvent, donc si vous vous faites une petite infusion de derrière les fagots pour la boire à midi au boulot sans l’avoir ouvert, normalement ça devrait être quasi identique à quand vous l’aviez versé dans le contigo.

 

Bon, clairement, tout le monde se fout de ma gueule parce que le west loop est devenu mon biberon pour adulte en manque de temps (en à peine trois jours, shame on me), et que je me déplace partout avec.

Mais ceux qui sont toujours dans le rush ou veulent avoir un mug sécure pour le sac à main me comprendront, je suis définitivement contre le mug isotherme avec le couvercle-gobelet qui l’accompagne.

Si tu as le temps de t’asseoir pour déguster, autant te faire un vrai thé avec de la vaisselle pimpante.

 

On verra ce que ça donne en été, vu qu’en ce moment je suis plutôt du côté chaud de la force, mais il paraît que ça peut réserver une boisson froide jusqu’à 12h.

Et puis, si tu te cherchais une excuse pour boire un peu plus chaque jour, il en existe en rose. Et bleu canard. Et vert. Un pour chaque tenue, oui Mireille.

 

Des bisous les Caribous !
West loop polar white acheté 32 euros sur le webshop contigo europe
(le west loop est arrivé en 3 jours, week-end compris, frais de port gratuits
vu que mon west loop dépassait 20 euros)
Plus d’infos sur les modèles ici
PS : j’ai vu quasiment toute la gamme chez Nature & Découvertes l’autre jour, au cas où 🙂

Caribouland
FacebooktwitterpinterestinstagramFacebooktwitterpinterestinstagram
2 février 2015

Miracle Cushion de Lancôme, le petit coussin pour le teint

lancome7Quand j’ai lu le mail qui me proposait le test, je me suis sentie flattée, puis un peu prise au dépourvu : Lancôme est une marque que j’adore pour ses mascaras (l’hypnôse drama me charme tant), mais retomber dans une ère de fond de teint liquide me laissait toute pantoise.

Jusqu’à présent mon teint se résumait toujours à la même chose, en grande amoureuse que je suis du foundation stick de Bobbi Brown, dès qu’arrive l’hiver, il a toutes mes faveurs. Un petit trait sur le nez, le haut des pommettes, le menton et au centre du front. La matière étirée au doigt ou au pinceau et le tour est joué.

J’ai la routine makeup très basique, je ne cherche pas à en faire TROP.

PS : ce foutu tube est discontinué, si vous en trouvez encore, foncez, je ne sais pas DU TOUT ce que vaut sa nouvelle version, le skin foundation stick.

 

Mais je suis curieuse, tu sais bien, il m’en faut peu pour craquer (rapport au packaging déjà).

Lancôme a donc lancé un Miracle Cushion en parlant d’innovation, on dira plutôt qu’elle s’inspire de l’Asie pour nous en faire profiter, les européennes n’étant pas forcément des addictes du shopping en ligne mondial.

Le concept du cushion réunit la qualité d’un fond de teint liquide mais sous forme compacte, qu’on peut donc emporter partout avec soi, si l’on veut faire des retouches pendant la journée ni vu ni connu.

 

HONNÊTEMENT, et j’y reviendrai plus bas, une fois que la base de mon teint est faite, je ne réapplique pas un grain de maquillage pendant la journée.

Pour la simple et bonne raison que j’ai la peau mixte, que mon sébum et la première couche que je lui mets par-dessus sont déjà bien suffisants, et qu’une fois que la toile est peinte, je me lance dans la vie en criant « advienne que pourra ».

Ce qui m’intéressait donc plus c’était le côté « on t’as mis une bouteille entière de foundation liquide dans un compact, qu’est-ce que tu penses de ça ? ».

 

Le boîtier

lancome10

Classe internationale sur ta commode, même si mes empreintes se font peu discrètes sur le couvercle, on a droit à du design à trois étages : un miroir bien assez grand, une éponge qui repose sur un second clapet (qui cache le fameux coussin).

Le blanc c’est beau, quand ça le reste, ici le boîtier virevolte avec l’orange assez vite surtout si on n’a pas le réflexe (humain) de nettoyer son éponge après chaque usage.

Du coup j’ai trouvé le principe de la houppette – un peu – contraignant, même si, par la porte ou par la fenêtre, le fini avec leur soucoupe blanche (pleine de taches) est TRES beau.

lancome14

 

Est-ce que le coussin apporte un plus ?

J’ai déjà testé des fonds de teint liquide de manière plus ou moins heureuse et je trouve que la délivrance plus aérée de la matière donne un tout autre fini que la scroutch qu’on étale péniblement sur le visage avant qu’elle ne sèche.

DONC OUI, ça me donne envie de tester d’autres cushions rien que pour ça, parce que le dosage est hyper simple (et pourtant je suis une trute de première), qu’on tapote l’éponge sur le cushion puis on étale la matière ou on tamponne, c’est égal.

La facilité est à l’honneur.

lancome11

J’avais reçu la teinte porcelaine (1) et le beige rosé (2), j’ai directement exclu le deuxième sachant pertinemment qu’entre le rose et moi, c’est surtout une histoire de fleur, pas de couleur.

Aussi, je trouve que la différence entre les deux premières références de cette gamme est de 1,5 ton au moins.

Même si la couleur porcelaine me convient plutôt bien (tonalité nickel, un peu trop neutre POUR MON GOÛT mais rattrapable avec un blush), ils auraient mieux fait de proposer un peu plus de choix pour les peaux claires comme les plus foncées.

On n’a pas toujours ce qu’on veut Mireille, I KNOW.

lancomemiraclecushion
lancome6

1 – peau nue, 2 – une couche de miracle cushion, 3 – zoom, 4 – fofolle

Pour celles qui aiment la couvrance légère, disons qu’on est plutôt dans un espace modulable. Rien que sur les rougeurs, on peut très bien aller assez haut dans la couvrance sans que cela fasse caky.

Vu la présence de silicones assez importante, la peau devient instantanément floutée comme celle d’une poupée. En zoomant, la matière est quasiment indétectable (et dieu sait que si on voit des pigments jouer au catch sur mon menton, ça me hérisse le pwal).

 

De manière générale

Les bons points

  • un effet soft focus instantané, pas besoin de faire d’effet flou sur les photos, j’ai une peau presque parfaite en vrai
  • la possibilité de changer l’intérieur du boîtier et donc de ne pas le racheter en entier chaque fois (45 euros avec produit, 35 euros la recharge)
  • je n’ai pas noté de brillance excessive : peut convenir aisément à tous les types de peau, un peu poudrer la zone T si vous l’avez assez grasse
  • le produit sent très bon
  • la tenue est IMPECCABLE

 

Les mauvais points

  • la teinte n’est pas parfaite et manque vraiment de jaune pour donner du boost à mon teint
  • forcément il y a du silicone, mais j’ai testé le produit en connaissance de cause, en me disant « pourquoi pas retenter ». Tout ce que je dirais c’est qu’en utilisation tous les jours ça passe (c’est un point positif ça) ===> l’important reste de BIEN SE DEMAQUILLER !
  • la couvrance reste quand même du côté « moyen », donc je n’arrive pas à obtenir de look léger, vu l’effet peau de poupée, je le trouve donc plus adapté aux jours où je veux être sur mon 31 épidermique/sortir/me sentir plus sûre de moi
  • il y a du parfum, donc pas idéal pour les peaux très sensibles
  • le prix, même s’il reste dans la moyenne des produits de parfumerie
  • l’histoire de replonger son éponge dedans chaque jour, entre chaque application, etc. Même nettoyée, ça reste problématique, le milieu est aqueux et n’est pas forcément la meilleure des solution pour les peaux vraiment acnéiques qui ont besoin d’un makeup le plus clean possible (au niveau « microbes) ===> si l’idée même vous dégoûte et que vous êtes psychopatate de l’hygiène, une éponge type celle de real techniques ou beauty blender sont parfaites pour ça

 

lacome3_Fotor

Je suis contente d’avoir testé cette nouveauté (qui n’en est pas vraiment une pour les addictes de l’asiatic world), et j’attends AVEC IMPATIENCE que d’autres marques s’y mettent par ici – oui c’est moi la frileuse de la commande loin à l’étranger.

Je regrette juste VRAIMENT une chose : qu’on ne retrouve pas un vrai plus niveau soin même si la texture reste très confortable. Un petit schmut pour éclairer, assainir, whatever !

On a quand même droit à un SPF farfelu de 23 (PA++), donc pas de quoi se préoccuper des UVA pendant l’hiver, la garantie d’une protection est tenue.

 

Si vous aimez le fini naturel (dans le sens bouge avec tes mimiques), satiné (sans être glowy), et que vous cherchez un fond de teint pour parader comme une souris dans son champ, il pourra vous plaire – attention à l’accoutumance.

J’ai essayé de revenir à mon stick Bobbi Brown mais le fini parfait a un côté très addictif, surtout quand la peau va bien et que tout roule.

Bizarrement, les jours où je portais ce fond de teint on me trouvait très souriante.

C’est comme la bonne humeur qui passe par un string fluo, un petit sproutch de crème teintée peut tout changer.

Des bisous les Caribous !
Offert par Lancôme, 45 euros en parfumerie, disponible en 6 teintes.

Caribouland
FacebooktwitterpinterestinstagramFacebooktwitterpinterestinstagram
1 février 2015

Rachat, pas rachat

whyrepurchase

J’ai une petite liste de choses qui ne craignent pas le rachat : parce que je les aime, que je crois en ces petits bonheurs sous forme de café à emporter (Emmi Caffé latté light machiatto mon amour), de smoothie à un euro, de déo infaillible qui te sauve ta journée.

Mais en matière de soin, j’ai toujours du mal à rester fidèle sur la durée.

Un peu comme l’amour honteux, le petit sentiment qui traîne comme un « je t’aime mais c’est mieux si on ne se voit plus pendant quelques mois ».

Comme un gosse nourrit exclusivement au chocolat voudra tremper sa main dans un pot de confiture, on aime le changement parce qu’on change avec le temps.

 

Je me suis donc rendue compte de mon tempérament volage, ma difficulté à rester sage, quand bien même j’aurais aimé, adoré, récuré le pot jusqu’au fond, je vais (quasi) naturellement voir ailleurs quand un produit a rendu son dernier souffle.

C’est systématique.

Pour que je sois dans le rachat indispensable, il faut qu’il y ait un vrai besoin, une envie irrépressible – et ça m’arrive rarement.

 

Mon brow shaper (Dieu) a vécu 8 mois sans faillir, je ne pouvais plus me maquiller sans, même les jours de no make-up je me trainais deux chenilles au-dessus des yeux pour me rassurer, me baladant avec un paravent à mirettes sur le visage comme un paon fier de son plumage.

Une fois arrivée au bout du tube, je suis tombée en dépression (fallait voir le raclage des parois au petit matin). J’ai alors considéré mon addiction avec un sourcil levé, en m’achevant avec un « FAUT QUE J’AILLE CHEZ BOBBI ».

I know, je suis faible.

Pareil pour le high impact de Clinique, seul mascara qui me comble depuis des plombes (sèche pas dans le tube, cils naturellement boostés, prix décent).

Ou l’eau d’Avène pour l’apaisement (et son côté multi-usage).

Same pour l’eau micellaire au bleuet de Klorane et la mousse nettoyante Nominoë.

Et le must de tous, l’ultrasimple de Lush, un baume de dingue à petit prix qui me convient été comme hiver.

 

Je suppose que je suis trop curieuse pour n’être fidèle qu’à une marque, un type de produit, tout au long de ma vie (boring), le côté « ma grand-mère a utilisé le pot bleu de nivea pendant 50 ans » est de loin mon pire cauchemar.

Comme si pendant un demi-siècle, rien n’avait évolué, que tu n’avais eu aucune envie, aucun impératif en matière de soin.

 

Finalement, c’est peut-être ça qui m’attire tant : la nouveauté (le déballage du produit), découvrir une nouvelle philosophie cosmétique (comme chez Hauschka), un aspect du bien-être pas encore envisagé (et si je m’achetais une brosse pour stimuler mes cuissailles ?), et une réponse à un problème posé au temps T.

Je me sens comme une folle qui veut expérimenter toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, mais a quelques indémodables qui l’accompagnent quoiqu’il arrive.

Un peu schyzo du pinceau, mais rien de grave.

 

Du coup, quand on me pose la question : « pourquoi pas rachat ? », je préfère simplement répondre « parce que j’ai plus BESOIN de ça ».

Ce n’est pas tant de l’insatisfaction ces changements « intempestifs », juste un changement d’horizon.

Comme on part au sud quand il fait froid au nord, on migre selon les saisons comme les oiseaux le font.

L’argument laisse parfois l’interlocuteur bouche bée, c’est vrai quoi, pourquoi tu adores un produit et n’en achètes pas un stock ? Parce qu’on ne vit plus à l’époque des mammouths et autres bachi-bouzouks de trois mètres d’envergure, qu’on a le choix, et que la diversité nous a rendu rêveurs.

Je joue donc à l’hirondelle qui se taille pour voir si il y a encore mieux ailleurs et ça me grise. 1

Tellement.

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
FacebooktwitterpinterestinstagramFacebooktwitterpinterestinstagram
27 janvier 2015

La grande revue Environ Skincare : cicatrices d’acné et peeling

peelingenviron1.jpg

J’ai toujours eu une peau qui te monte des pustules en une nuit, c’est toujours plus rapide que moi quand j’essaye de construire un meuble Ikea en tenant le mode d’emploi à l’envers.

Il reste, sans faute, une pièce qui ne sert à rien alors que l’armoire tient debout. D’où le stress. D’où le bouton en plein sommeil.

Du coup, quand arrivait la vague douloureuse, je laissais le monstre vivre sa vie de son côté, moi du mien, et parfois, par un miracle appelé « lotion cicalfate + niaouli » à temps plein, j’en dézinguais un en mimant l’air d’un judoka un peu trop fier de son massacre.

Je dois dire que depuis plusieurs mois, je n’ai pas eu de kystes. Je suis sortie de l’été avec un tube entier de cleanance expert, et, à part des petits boutons de temps en temps (hey, la portion une personne de tarte brésilienne m’attends toujours sagement dans son rayon), t’en as pas un qui est venu me demander comment j’allais.

Ils ont tous déserté comme des voleurs, les bachi-bouzouks, sans demander leur reste, en laissant l’appartement vide et rempli de souvenirs.

Pire qu’un ex qui tourne les pieds, quand un kyste vient te rendre visite, la guérison est longue et pénible à la fois, et rien ne se soigne à coupde Bridget Jones ou de Diable s’habille en Prada.

Faut du costaud, du lourd, tu vois.

L’après peeling pads philosophy s’est passé avec des hauts et des bas, quand mon épiderme n’est pas en constant « traitement », il a plutôt tendance à mal gérer le vin-la bonne bouffe-le manque de sommeil. J’en fais directement les frais, mais j’y peux rien (faut vraiment que j’envisage une cure de plante).

Du coup, j’ai eu un gros moment sans remous, puis j’ai recommencé à avoir des zones qui rougissaient plus sur le menton, le froid aidant, ça n’a pas arrangé mes affaires et ça a fleurit comme ça jusque fin novembre

La découverte de la marque

peelingenviron5.jpg

ENCORE UNE FOIS, j’étais chez Kroonen & Brown, je me faisais maquiller par Sybille et, d’une oreille attentive, j’écoutais ce que Ioana racontait à une cliente.

« Un nouveau masque qui fait un effet lifting, peau de bébé, truc de fou, tu vas te taper les cuisses à terre » (elle a plus ou moins dit ça)(hihi), j’avais du mal à me concentrer sur le makeup sublime qu’on me tapotait sur les mirettes, je voulais SAVOIR quel était ce produit miracle.

Comme d’habitude, le temps que je me renseigne, elle avait déjà vendu le dernier exemplaire du FAMEUX GRAAL.

Je hais tout le monde quand ça arrive, mona la pwasse le retour en mode hulk.

J’ai donc, par défaut, commencé à inspecter la marque; j’avais besoin d’un peeling pour un peu refaire peau neuve après l’expérience Philosophy vu qu’il me restait beaucoup de vieilles cicatrices mêmes si mon teint, de manière générale, était au top.

Du coup, j’ai misé sur un peeling à l’acide lactique et un toner à l’acide glycolique. Deux favoris déjà rencontrés par le passé, why not ?

Alpha Toner Forte, la lotion miracle
Achetée 54 euros/150 ml chez Kroonen & Brown

Acheter des produits Environ, c’est comme investir dans son capital peau : ça coûte cher, mais les produits durent longtemps et il est PHYSIQUEMENT IMPOSSIBLE de n’obtenir aucun résultat.

C’est certain que si vous êtes une personne lambda, qui n’a qu’une cicatrice perdue en plein milieu de la pomme, je vous conseillerais plutôt de vous diriger vers du naturel, histoire de vous éviter de payer 55 euros pour traiter un cm carré de peau.

T’achètes pas une tondeuse pour un jardinet de la taille de ton pied, right ?

L’alpha toner forte, c’est la fameuse lotion que je cherchais depuis des lustres (à la manière d’un foufou qui traque un spécimen rare à flanc de montagne et déniche la dernière fleur de l’espèce).

Elle permet d’acidifier le pH de la peau, donc de potentiellement :

  • mieux cicatriser
  • réduire les boutons
  • optimiser l’effet nouvelle peau/l’hydratation/l’action des soins qu’on applique par après
  • faire peau neuve de manière progressive

Elle contient 10% d’acide glycolique et son pH est de 3,5.

Au niveau de la composition, on peut difficilement mieux faire, il y a de l’eau, de l’acide glycolique et de l’hydroxyde d’ammonium, TROIS INGREDIENTS qui permettent d’aller à l’essentiel, je dis bingo.

Au quotidien, cette lotion est un petit génie, vu que je l’utilise aussi les jours « off » où je ne fais pas de peeling intensif, elle me permet de garder une belle peau sans boutons et d’entretenir un terrain exfolié chimiquement pour ne pas perdre les bénéfices déjà acquis jusqu’ici.

peelingenviron2.jpg

Je l’utilise depuis deux petits mois maintenant et je suis à peine à 1/4 de la bouteille. A raison d’au moins 5 applications par semaine (uniquement le soir), je trouve ça très économique. J’insiste surtout sur la zone T, zone où je garde le plus de cicatrices depuis la nuit des temps, et le lendemain, les boutons inopinés font la gueule.

Bien fait.

LACM1, le peeling à l’acide lactique
Acheté 43 euros / 25 ml chez Kroonen & Brown 

Pour rappel, l’acide glycolique et l’acide lactique ont une action similaire car ils sont frères dans une même famille, celle des acides.

Quand le premier a tendance à vraiment pénétrer profondément dans la peau et bien stimuler tes petites usines épidermiques (garantie d’un teint jeune à 50 ans, easy), le second a un poids moléculaire un peu plus important, donc il exfolie un peu plus en douceur.

D’où, en général, une meilleure tolérance de celui-ci, il est d’ailleurs souvent présent dans les produits pour peaux matures pour cette raison (glycolique pour les peaux épaisses, lactique pour les peaux sèches/sensibles), il permet de se débarrasser des rides et ridules progressivement sans s’exposer à une potentielle irritation.

peelingenviron7.jpg

Au niveau de la composition, pareil que pour le tonique, on est dans le minimalisme chimique : de l’eau, un alcool gras, un émulsifiant, de l’acide lactique (aucune idée du pourcentage !!!),  un humectant, un solvant, encore un émulsifiant, de la gomme xanthan et un conservateur.

Aqua, cetearyl alcohol, glyceryl stearate, lactic acid, propylene glycol, peg-40 stearate, ceteareth-20, xanthan gum, disodium edta  

De tous les peelings en masque que j’ai déjà testés, celui-ci gagne haut la main la palme de la meilleure texture. En soi, c’est une crème qu’on applique en évitant les yeux (en ayant bien remué le produit dans le pot avec une spatule stérile), rien de plus facile ni agréable.

Il faut attentivement lire la notice, parce qu’il y a plusieurs contre-indications, dont certaines tiennent du bon sens (pas appliquer sur peau irritée, sur une affection de peau type eczéma, sous traitement roaccutane) d’autres de la mise en garde de base à l’usage des AHA (pas d’exposition au soleil sans protection, ne pas continuer si la peau devient sensible, sur une peau récemment épilée, si on est adepte des gommages à grains).

Pour les peaux noires, l’application de ce soin n’est pas non plus conseillée sans l’avis d’un spécialiste.

Pendant un mois et demi je l’ai consciencieusement appliqué tous les 3 soirs :

  • on laisse poser le produit pendant 20 mn sur peau propre et sèche, juste après la lotion alpha toner forte
  • ne pique pas, on sent juste que ça agit
  • aucune rougeur, même pas à la première application
  • la peau est DIRECTEMENT plus douce, et au fur et à mesure on observe un teint toujours plus éclatant
  • malgré les 25ml, comme il faut appliquer une fine couche, j’en ai vidé que deux tiers
  • très très bonne tolérance !! Même quand j’ai passé la journée dans le froid, je ne me dis pas « rah putain, allons m’arracher l’épiderme avec mon peeling »

Pour sa douceur et son action visible après seulement une semaine, je lui trouve un petit côté « peeling pour débutant », à conseiller aux personnes qui n’en ont jamais fait. Il est ultra simple à utiliser et le côté crème évite les irritations sur le court comme le moyen terme.

Ceci étant dit, mieux vaut préparer le terrain un mois avant, mais comme je n’ai quasiment fait que des traitements AHA (légers) depuis la sortie de l’été 2014, ma peau était habituée.

Le best of the best, le revival masque
Reçu par Environ, 60 euros / 50ml, selon les vendeurs   

J’ai commencé à l’utiliser un mois après les deux premiers produits, à raison d’une fois par semaine d’abord, puis en alternance avec celui à l’acide lactique selon mes besoins.

Faut dire que je ne réponds de rien quand je reçois un masque « à se taper les cuissailles et le fessier à terre », rien que les avant après sur le net faisaient énormément envie.

Autant qu’un plat de ramen/oeuf mi-cuit bien présenté.

peelingenviron9.jpg

Dedans il y une vraie synergie pour dynamiter ses problèmes cutanés (relâchement/pustules/teint terne/ridules) : le début ressemble plus ou moins à la compo du LACM1, suivi plus bas d’acide mandélique et asiatique.

Aqua, pentylene glycol, cetearyl alcohol, lactic acid, glyceryl stearate, propylene glycol, peg-40 stearate, xanthan gum, mandelic acid, asiatic acid, ceteareth-20, disodium edta

Entendons-nous bien, l’acide asiatique n’est pas pompé des cellules des habitants d’Asie, mais bien de la centella asiatica, une plante qu’on rencontre dans les gammes pour peaux déshydratées chez Kiehl’s notamment.

Son pouvoir est grand (Ô grand est son pouvoir) : elle permet une meilleure cicatrisation et un assainissement cutané, il s’agit aussi d’un excellent actif antioxydant et anti-âge, de quoi balayer la plage des 25-30 ans jusqu’aux cougars.

On trouve aussi l’acide mandélique, issu de l’amande amère, dont la molécule est plus grosse que les autres, donc on obtient un effet sur les couches supérieures et de manière progressive.

On le recommande pour une action éclaircissante générale (j’ai vu passer que les peaux mates ne devait pas craindre son usage, mais renseigne-toi quand même), comme traitement alternatif contre l’acné (exfolie en surface, action directe sur les pores), ou simplement pour « corriger » certaines irrégularités.

De mon point de vue de gosse de 27 ans, ce masque est une révélation.

Pourtant, il sent l’hôpital, il a une texture gélifiée pas fort agréable, une fois sec et pénétré dans la peau, il laisse une sensation de « machin pas confortable sur la couenne ». Mais alors, utilisé en masque de nuit – QUAND ON A LA PEAU HABITUEE AUX AHA – c’est une vraie merveille.

UN TRUC DE GUEDIN.

Systématiquement, chaque lendemain d’utilisation de ce pot, j’ai des compliments sur mon teint et ma peau en général, alors qu’à mon âge, on devrait juste voir un mieux sur la pigmentation ou encore sur l’effet « je te défroisse aussi le steak en passant ».

Mais non, i’m a princess.

A l’usage

  • la peau est moins douce qu’avec le LACM1 après usage mais juste un peu
  • même avec les pads philosophy je n’ai pas eu un tel rendu au réveil
  • il en faut vraiment peu, tu vas voir comment je vais les chouchouter mes 50ml
  • j’ai toujours du mal à passer au dessus de cet odeur de propre
  • mes cicatrices les plus vieilles s’affadissent déjà, et pourtant JAMAIS je n’avais espéré ça
Environ1

En deux mois, le changement est significatif, je suis tentée d’en faire plus, mais faut que je me calme, je suis juste enjouée quand on compare mon front au lisse cul d’un bébé.

A part le kyste en plein milieu du menton (merci l’huile de chanvre mal dosée) qu’on voit encore un peu sur la deuxième photo, et le bouton tout à droite (pas loin de mon point de beauté au bord de la bouche)(oui, j’ai pas eu le courage de faire des petits ronds), mon menton a perdu l’aspect « je suis une oeuvre pointilliste dès que t’as un peu chaud ».

JAMAIS je n’ai eu un résultat pareil avec quoique ce soit depuis le début du blog à part sur les lésions récentes, même les cicatrices anciennes commencent à foutre le camp.

Encore plus fou, autour des taches résiduelles la peau est revenue à sa couleur initiale.

peelingenviron11.jpg

(Photo today no makeup)(et oui j’ai le même pull, c’est mon doudou pour dodo)

Donc voilà, je suis con comme une truite parce que j’aurai bientôt un menton blanc partout (du moins j’espère), et que je suis dans la phase d’action intense des peelings (le premier mois c’est toujours plus ou moins pour rire, après ça devient sérieux).

L’autre point qui me rend heureuse c’est qu’avant, quand je rougissais avec le froid/le chaud/les blagues salaces, le menton devenait criblé d’inflammations rien qu’avec l’afflux sanguin. Maintenant, je le vois directement, j’ai le bas du visage bien moins rouge quand je m’énerve.

YEAH !

Pour celles qui demanderont :

  • à choisir : j’aime les trois produits d’un amour inconditionnel. Personnellement, je ne garderais que l’alpha toner et le revival masque, mais le LACM1 me sert énormément quand ma peau a quand même besoin de douceur. Dilemme à trois têtes
  • avec les pads en septembre, j’avais eu un mieux, mais si on regarde bien les photos de l’article sur Philosophy, il restait ce qui me dérange depuis des années, la toile de fond pas très « nette », comme des ombres un peu partout sur le bas du visage, impossible à camoufler. Donc, les pads sont géniaux, très belle texture de peau et amélioration visible, mais les produits Environ sont vraiment un cran au-dessus
  • si vous avez la peau très sensible, je vous conseille le LACM1
  • oui le toner coûte cher mais c’est très rare de trouver une concentration pareille en lotion par chez nous

Renseignez-vous bien, la gamme de produits est TRES étendue, et va des soins à la vitamine C, à ceux au rétinol, en passant par ceux contre l’acné ou pour les peaux matures.

Il y a énormément de choix et comme, a priori, il s’agit d’une marque de soins esthétiques, vaut mieux que vous demandiez conseil à un professionnel.

Par contre, si vous connaissez le sujet, et que vous savez quels acides/actifs vous vont le mieux, GO FOR IT.

Dans l’absolu, je ne pense pas m’arrêter là avec les produits Environ, parce qu’ils sont très techniques et que le produit fait toujours exactement ce qu’il dit, tout ce que j’aime.

J’ai déjà eu des retours en lisant des revues sur le net comme de clientes chez Kroonen qui étaient vraiment fana-dingues de cette marque, je suppose que ça tient à la très grande qualité des formulations.

Tu penses bien que je vais m’y accrocher comme une moule à son rocher.

Où trouver la marque ?

En belgique, vous pourrez trouver la marque un peu partout dans des spas, mais surtout chez Kroonen & Brown à Bruxelles où on vous en parlera comme il se doit.

Il y a quelques sites sur le net qui la vendent mais je ne préfère pas m’avancer sur ce terrain-là. Le mieux, si vous n’êtes pas belge, c’est d’envoyer un mail à Environ ou de consulter la carte des points de vente. K&B livre à l’international aussi, au cas où.

Désolée pour la longueur de l’article, j’avais encore plein de sujets à aborder, mais j’ai essayé de faire court dans la longueur.

Bon peeling hivernal, et si tu n’as pas tout saisi, y a des articles de base sur les AHA par ici.

Enjoy !

Des bisous les Caribous !
Site Environ Skincare

Caribouland
FacebooktwitterpinterestinstagramFacebooktwitterpinterestinstagram