4 février 2013

Nominoë va faire mousser ton joli minois

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Bonjour tout le monde !

J’espère que vos épidermes n’ont pas trop souffert avec ce temps maudit, je désespère encore de pouvoir trouver un rayon de soleil pour flatter mes joues un peu trop blafardes.

Aujourd’hui je voulais ENCORE la ramener sur la marque qui fut sûrement ma plus belle découverte de l’année 2012-2013, à savoir NOMINOË.

 

Alors, depuis l’article sur le philtre de beauté breton, rien n’a vraiment changé, je meurs toujours d’amour pour les champs d’ajonc et ma crème bien-aimée, la seule qui fasse en sorte que ma peau gère comme une fougère en ces temps difficiles.

J’en suis à mon deuxième flacon, c’est dire si j’y crois.

 

Et parce qu’il est vraiment gentil comme un koala et qu’il me voyait lorgner sur toute la gamme avec un air de vampire en manque de sang, Jérémias m’a fait parvenir la mousse nettoyante.

Alors, j’avoue tout, c’était un peu comme tenter de séduire une fille qui aime déjà les fleurs avec un énorme bouquet bien odorant, je savais par avance que ça ne pourrait que me plaire.

Et bien, BINGO, BABY WOMBAT, je n’ai pas été déçue.

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En soi le packaging n’a rien de fou, c’est un flacon pompe tout à fait classique, qui contient un produit à la couleur jaunâtre.

Ce qui me plaît de prime abord, c’est le credo de la marque : c’est beau, ça sent bon, c’est bio et ça fait travailler des gens au niveau local.

VIVE LA BRETAGNE.

 

La mousse délivrée ne sent pas le pot-pourri de grand-mère même si les plantes dont sont extraites le nettoyant pourraient laisser sous-entendre qu’on va finir potager humain.

Dedans, donc, il y a de l’eau d’ajonc, de l’artichaut, du blé noir et du genêt, le combo parfait pour relaxer l’épiderme après une dure journée. (En soi je suis moi-même du genre « journée molle », mais c’est une autre histoire).

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Je pense que tous ceux qui l’ont testée sont d’accord sur un même point : cette mousse nettoyante est vraiment légère.

C’est un bonheur de douceur pour se laver les joues, ça glisse tout seul avec la tosowoong, ça mousse allègrement sans être poisseux ou collant.

Un vrai délice de se voir avec le visage tout blanc dans la salle de bain, puis de respirer un bon coup l’odeur du nuage dans lequel on a fourré sa tête. (Gaffe à la mousse en reniflant, ça s’infiltre dans les narines si on ne fait pas attention).

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Au niveau de l’efficacité, rien à redire : ça n’arrache pas le derme et ça laisse la peau toute douce sans tiraillements. (Et dieu sait que c’est IM-POR-TANT)

Je pense que si votre peau est du genre à se déshydrater très facilement, qu’elle est sèche, ou commence à devenir mâture, la mousse de Nominoë vous ira parfaitement.

Et que les peaux grasses se réjouissent, ce n’est pas parce que votre peau produit trop de sébum qu’il faut faire l’impasse sur un nettoyant doux : LA DOUCEUR c’est la clef d’une routine belle peau.

 

Donc, pour 25 euros, vous avez un flacon de 150ml qui va vous durer en moyenne 6 mois, si utilisé uniquement le soir, et à raison d’une pompe par usage (largement suffisant).

Rien à dire au niveau de la composition aussi, pour terminer, la base lavante est d’origine végétale, donc on est loin des sulfates bien trop agressifs pour votre joli minois.

 

J’espère que tout va bien chez vous,

Des bisous les caribous !

Caribouland
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29 janvier 2013

La trixéra + pour peaux capricieuses

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Même si j’avais survolé un peu l’état de ma peau dans un article sur ma précédente crème pour le corps, depuis le début de cet hiver, j’avais vraiment du mal à trouver un soin au top.
Et pour cause, ma vie est compliquée :

La peau de mon corps est  sujette à une forte déshydratation, surtout au niveau des jambes, des hanches, des bras et du haut du dos.

Si je ne mets pas de crème, par manque de temps ou d’envie, il arrive que j’en vienne à me gratter la peau comme une acharnée parce que la sécheresse l’a rendue totalement inconfortable.
Du coup, c’est un cercle vicieux qui n’en finit pas, et seule une douche froide me permet de calmer le jeu (momentanément).

J’ai déjà cherché, cela ne vient pas de la lessive, c’est plutôt une réaction qui apparaît quand il fait plutôt frais, que le frottement des vêtements me donne l’impression qu’on me passe du papier de verre sur la peau.

Bref, l’enveloppe de mon corps est une chieuse de première catégorie et la Lipikar terminée, il me fallait plus costaud.

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Quand on cherche une crème, on veut avant tout ne pas devoir se soucier de l’hydratation du corps pendant au moins 24h, on veut un produit qui assure, qui redonne de la souplesse à l’épiderme, et surtout qui ne colle pas trop.

J’ai encore fait dans l’original, donc, j’ai tapé dans la marque Avène, direction la TriXéra+.

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Au niveau de la composition, je dirais que CA VA (si on ne regarde pas la présence de paraffine ni celle de phenoxyethanol en bas de liste).

Il y a de l’eau thermale d’Avène en grande quantité, de l’huile de tournesol et d’onagre pour le côté adoucissant et anti-oxydant, et de l’huile de coco pour régénérer les tissus abîmés.

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Au niveau du produit

Le principe d’une crème émolliente c’est sa capacité d’adoucir la peau de manière instantanée pour garantir un confort immédiat et surtout apaiser.

Et c’est là le gros avantage de cette crème.

La peau de mon corps est une incapable, trop fainéante pour produire assez de gras, ça tire de partout ça desquame, c’est vraiment insupportable.

Le jour même de la première application j’étais en crise, et bien ça a tout calmé.
Plus d’envie de me gratter, plus envie de m’extirper hors de mon corps, bref j’étais aux anges et ma bonne humeur dansait la samba.

Quelques jours plus tard, j’avais encore une fois eu la bonne idée de ne pas prendre soin de moi, résultat : au retour à la maison, j’avais les pieds en feu et envie de me les couper et de les mettre sous cocotte.

J’ai mis une grosse couche de Trixéra sur mes petons, des chaussettes xxl, et PAF, ça a fait des chocapics, la magie a à nouveau opéré.

 

C’est depuis ce jour-là que je mets de la crème pour le corps tous les jours (quatre mois quand même, un record !).

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Ses avantages

  • le bidon de 400ml coûte environ 16 euros
  • elle fonctionne vraiment sur les peaux qui ne sont pas seulement sèches, mais réellement IRRITEES par la desquamation
  • l’hydratation tient même après la douche qui suit
  • elle met seulement 5mn à pénétrer, ce qui est un record pour une crème aussi grasse
  • elle est multi-usages : elle peut s’utiliser aussi bien sur le visage que sur le corps (comme je suis en traitement anti-acné, je l’applique sur les zones sèches du visage et c’est impeccable)
  • son flacon pompe (il faut vraiment que les autres marques arrêtent de faire des tubes, ça glissent entre les mains)
  • pas de parfum, pas de parabens

 

Je ne lui trouve pas vraiment d’inconvénients pour la simple et bonne raison que je découvre enfin le monde des crèmes émollientes et que ça a changé la vie de ma peau.

Au début je pensais réellement que j’avais juste le corps tout sec, et que la sécheresse c’était forcément une tare dont je devais m’accommoder sans poser de questions.

Hé bien non.
Depuis que j’ai la trixéra dans ma salle de bains, j’ai vraiment passé un meilleur hiver.

Quant à savoir si j’aurais du prendre le baume, par moments je me dis que oui, mais de manière générale, la version crème me suffit, donc, je resterai raisonnable.

 

Des bisous les Caribous !

Caribouland
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16 janvier 2013

Débuter le millefeuille, les 10 conseils !

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Source image

Cela fait maintenant bientôt un an que je me suis mise au millefeuille et rien n’est plus pareil depuis.

Si j’ai beaucoup tâtonné au début, il est certain que j’ai commis certaines fautes qui ont eu des conséquences désagréables (boutons, plaques de sécheresse, etc.)

Et parfois, ce genre d’erreurs peuvent faire de gros dégâts difficiles à rattraper, comme les cicatrices par exemple.

J’ai donc fait une petite liste des conseils utiles que j’aurais bien voulu connaître avant de commencer le layering.

Conseil numéro 1 : aller vers la douceur 

Essayez de bannir au maximum tous les produits estampillés « purifiant », « matifiant », « désincrustant », en général ils font plus de mal que de bien.

Prenez plutôt des produits qui conviennent à tous les types de peaux, ou qui agissent sur une problématique sans tenir compte du type de peau : donc ceux qui se targuent d’être « hydratants », « pour peau sensible », « pour peau réactive et sensibilisée ». (T’as compris l’idée)

 

Conseil numéro 2 : éviter les changements intempestifs

Ce qui marche dans une routine, c’est la régularité et le systématisme de celle-ci.

Souvent, les filles qui commencent le millefeuille se prennent à changer un nettoyant après une semaine, une crème tous les trois jours, craquant dans les rayons des parfumeries à la moindre promo.
Don’t do that, baby wombat !

On essaye de terminer sa crème pour lui laisser une action de 3 mois (à moins de faire une réaction allergique, s’entend), on est régulier dans ses traitements pour l’acné, on se nettoie bien le visage en essuyant tous les résidus d’huile, de savon, etc.

 

Conseil numéro 3 : on lit les notices d’utilisation

Combien de fois j’ai entendu des filles me dire qu’elles mettaient une crème aux AHA matin et soir sans protection solaire, ou qu’elles utilisaient les huiles essentielles comme quelques chose d’à peine offensif.
Il est impératif de vous renseigner, même sur des produits qui paraissent anodins.

Si vous avez une peau plutôt capricieuse, faites toujours un test sur une petite zone du visage (lobe d’oreille) pour être sûr que vous ne ferez pas de réaction au nouveau produit.

J’insiste : même un produit qui vous a toujours plu peut vous déclencher une réaction à n’importe quel moment de votre vie.

 

Conseil numéro 4 : on insère les nouveaux produits progressivement

Ne pas insérer chaque élément de manière progressive, c’est s’exposer à la fameuse question : « bordel de dieu, mais qui me fout des pustules de la taille du mont blanc sur le menton ? »

Soit c’est directement consécutif à l’usage d’une nouvelle crème et dans ce cas, il suffira de l’enlever de la routine.

Soit vous observerez une réaction seulement une ou deux semaines après, c’est pourquoi il est nécessaire que chaque introduction soit faite toutes les deux à trois semaines.

(Trop de changement rend la peau dingo)

 

Conseil numéro 5 : on évite de tropse poser de questions

Un cadre, c’est souvent créé pour que la majorité reste dedans, mais parfois, il faut faire des concessions, adapter une sauce pour qu’elle soit à son goût.

Le millefeuille est une routine de soin qui convient à la majorité des peaux, mais qui nécessite d’observer son épiderme : ne pas s’obstiner à utiliser de l’huile démaquillante si cela vous crée des pustules quelle que soit la marque, ne pas mettre de sérum alors qu’on en a pas besoin, ne pas se nettoyer le visage à grande eau le matin si il est réactif ou sensible (un coton avec une lotion douce nettoyante suffira), etc.

 

Conseil numéro 6 : on va chez le dermato ou le pharmacien uniquement quand on sait ce dont on a besoin 

Chez le dermatologue, on demande un diagnostic de peau, et non la prescription de produits de parapharmacie. On essaye de se faire entendre aussi, parce que, même s’il existe beaucoupde praticiens sûrement très recommandables, ceux que j’ai pu rencontrer ne sont que des fournisseurs de produits type Avène, Bioderma et compagnie, plutôt que de véritables conseillers.

Chez le parapharmacien, on se pointe en sachant exactement ce que l’on va acheter sous peine de se faire entraîner dans un rayon et de finir à la caisse, une carte de banque prête à être débitée et un sac plein de produits inconnus.

 

Conseil numéro 7 : on prend des produits qui conviennent à son âge et ses conditions de vie

Une fille qui a 20 ans et vit dans un environnement très ensoleillé privilégiera une routine avec une protection solaire maximum et plutôt allégée niveau soins.

Si on vit dans une région où il fait un froid polaire, on se dirige plutôt vers des textures baumes et très couvrantes afin de protéger sa peau des agressions extérieures type « le vent mordant qui te déchire les joues, les lèvres et le bout du nez ».

On évite les produits anti-rides si l’on est trop jeune pour que la peau ne s’y habitue pas et n’y réagisse plus ou peu une fois que l’on aura enfin atteint un âge plus mature.

 

Conseil numéro 8 : on adapte sa routine selon les saisons

C’est connu, le corps n’a pas les mêmes besoins en hiver qu’en été.

La différence de température mise de côté, il existe des facteurs biologiques qui interviennent sur la manière dont le corps se régénère, et une grande majorité des gens observent par exemple une peau qui regraisse beaucoup plus vite aux alentours de septembre/octobre, ou encore un besoin accru de nutrition au sortir de l’hiver.

Adapter sa routine, c’est changer une crème, prendre un fluide à la place de la version riche, faire plus de masques riches en eau en été, et de masques plus riches en gras en hiver.

 

Conseil numéro 9 : on combine sa routine à des soins parallèles

Si je ne faisais que le millefeuille pour soigner ma peau, j’aurais encore des points noirs par millier et par moments un gros soucis d’hydratation.

Pour un jour normal, ma crème par exemple, suffit amplement. Mais il suffit d’un coup de stress, du passage chaud froid, des microbes qu’on accumule en respirant dans son écharpe, et HOP, on a besoin d’un soin pour pallier à une sécheresse momentanée ou encore des boutons.

Que cela soit sous forme de masques hydratants (dont on peut abuser), nourrissants, purifiants (une fois par semaine), de gommage (une fois par semaine maximum, même pour les peaux les plus grasses) ou de produit à appliquer localement, les soins parallèles sont le must pour pallier à des problèmes passagers.

 

Conseil numéro 10 (non des moindres) : on se fait plaisir

Qui dit routine, dit s’astreindre à utiliser ses soins dans un ordre précis, matin ET soir, et donc s’exposer à une forme de lassitude. La lassitude entraîne un dégoût et le dégoût l’envie soudaine de changement.

Il faut choisir des produits qui vous font envie mais également vous procurent un plaisir à l’utilisation : essayer d’ouvrir vos horizons, commandez des produits asiatiques, australiens, variez les marques, faites en sorte de profiter de ce moment où vous prenez soin de vous, car même s’il s’agit d’un luxe, dix minutes sur une journée, c’est vite trouvé.

 

Voilà, j’espère que ça aide déjà un peu les plus novices d’entre vous qui aimeraient bien s’y mettre ou sont un peu perdues.
N’hésitez pas à faire un tour sur le blog de sonia pour plus d’infos sur le layering.

Pour celles qui sont déjà « adeptes », mais ne connaissent pas le groupe facebook du Millefeuille, c’est par ICI.

 

Des bisous les caribous !
Mes précédentes routines : ROUTINE 1ROUTINE 2ROUTINE 3ROUTINE 4ROUTINE 5

Caribouland
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14 janvier 2013

Le henné à la bière !

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Mon dernier henné datant de août 2012, autant vous dire que mes cheveux commençait à faire les faibles et qu’il fallait leur redonner un coup de fouet d’urgence.

Ayant les cheveux bouclés en temps normal, ils commençaient à reprendre leur forme naturelle, et beaucoup de frisottis ont pointé le bout de leur nez.
Si il y a bien un avantage au henné (en tout cas sur mes cheveux), c’est que, sans les alourdir, il permet un lissage naturel.

Au fur et à mesure des applications, je perds donc cet aspect un peu brumeux en surface de crâne que les filles à bouclettes connaissent bien, au profit d’une tignasse disciplinée.

 

La reuchette !

Parce que l’idée m’a plu, je me suis inspirée de la recette vue sur le blog de la bigleuse nationale.

Ce qui m’a fait tilter dans les produits utilisés, c’est la bière.

Si tu as un peu suivi mon aventure capillaire de ces derniers mois, tu as du voir qu’en général je rajoutais uniquement du citron et un chouilla d’eau chaude pour tout liquide dans la préparation.

Cette fois-ci, je me la suis joué « henné pour ivrogne, version olé olé », j’ai mis le paquet  pour être sûre de saouler mes cheveux dans les règles de l’art.

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J’ai mis :

  • 180 gr de henné naturel dans un bol (assez pour une longueur en dessous des épaules, cheveux épais)
  • 50cl de bière que j’ai d’abord fait bouillir afin que l’alcool s’évapore, pour ensuite les ajouter à la préparation en remuant gaiement de la cuiller en plastique
  • j’ai mis le jus d’un demi-citron pour la note artistique (honnêtement, il passait par-là)

 

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En vrai, j’ai encore touillé, et rajouté de la bière, il faut que cela soit un tout petit moins compact que sur la photo, et sans grumeaux.

 

Le résultat en images

Avant le henné, mes cheveux étaient comme ci-dessous :

Plutôt rêches, pas franchement accordés sur la direction à prendre (virage à droite, virage à gauche, t’en avais même qui rebiquaient vers le ciel).
La couleur était encore plutôt jolie, mais on voit bien qu’en quatre mois ça s’est clairement affadi depuis le dernier soin.


Avant

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J’ai fait une pose de deux heures et demie alors que je voulais tenir 4h30.

Du couple résultat a été plutôt flash, même si j’ai eu une bonne surprise : le roux a pris une belle teinte rouge en 48h, ce qui m’a EN-CHAN-TÉE.

 

Après

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Ces photos ne datent pas d’après la pose mais bien de ce matin, donc j’ai passé quatre jours sans me laver les cheveux histoire que la couleur s’oxyde bien.

Mais ça explique aussi le rendu un peu cracra de ma touffe.

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Ce que vous n’avez pas vu :

Quand j’ai rincé mes cheveux après la pose et que je les ai séchés, ils étaient tellement brillants et vigoureux que j’étais bluffée.

MORE BEER, BARMAN, MOOOORE !

 

La bière est vraiment un produit à incorporer dans les soins capillaires si vous voulez un effet du feu-de-dieu sur vos cheveux. Elle hydrate, revigore, permettrait de réduire la perte de cheveux et fait briller les poils de tête comme un stand de fête foraine.

Elle donne également du volume et démêle les coiffures les plus nouées ce qui est un plus non négligeable (vous devriez trouver sans peine des recettes d’eau de rinçage, de masque ou de shampoing à la bière en faisant une recherche sur google.

Mais promis, on reviendra sur cet alcool dans un prochain article).

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L’effet brillant est encore présent dans les cheveux et j’espère qu’il durera.

En tout cas, pour une reprise de mon marathon du henné ça s’annonce TOUT TOUT BON, surtout pour ces reflets rouges que je ne m’attendais pas à voir avant deux ou trois poses.

 

Prochaine étape :

  • acheter du henné non hors de prix (ici, deux boîtes pour 8 euros en tout, c’est beaucoup trop)
  • faire une infusion d’hibiscus pour la mêler à la préparation et obtenir un effet encore plus rouge

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me les poser.

 

Voici mes articles précédents sur le henné :

HENNE 1HENNE 2HENNE 3

 

Des bisous mes Caribous !

Caribouland
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9 janvier 2013

Triacnéal d’Avène, mon bilan après trois mois et mon traitement dermato

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J’avais commencé le triacnéal un peu en douce, un jour de crise.

J’avais une armée de kystes, bouboules bien grosses en sous-cutané, impossible à déloger et qui me minait l’humeur et l’aspect de ma face. (Je ressemblais au menton des Bogdanov sur pattes, de loin, sans rire)

J’avais déjà testé une crème à l’acide glycolique au début de l’année passée, la crème lissante aux AHA de Neostrata et j’en avais été très contente, même si elle avait plutôt agit sur l’aspect général de ma peau plutôt que sur mes cicatrices en particulier.

Je ne mettais pas vraiment beaucoup d’espoir dans ce produit Avène, je faisais juste déjà confiance à la marque, donc je m’étais dis « why not ? »

 

Triacnéal, la revue

«  Ses Bienfaits

  • Anti-irritant : L’Effectiose®, innovation brevetée, limite l’afflux de substances irritantes au niveau du follicule pilo-sébacé
  • Purifiant : Grâce à l’effet peeling de surface de l’Acide glycolique
  • Lissant : Grâce au Rétinaldéhyde qui limite la formation des imperfections de la peau et prévient l’apparition de marques résiduelles
  • Apaisant : L’Eau thermale d’Avène, apaisante et anti-irritante, procure à votre peau une sensation de confort immédiate.

Est-il fait pour moi ?

TriAcnéal est particulièrement indiqué pour les peaux à tendance grasse présentant des imperfections sévères.

Le Bon Geste

  • Nettoyez votre visage avec Cleanance Gel nettoyant sans savon et séchez-le délicatement
  • Appliquez TriAcnéal le soir sur une peau parfaitement sèche
  • Eviter l’application au niveau du contour des yeux et des lèvres. « 

 Source Avène

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J’ai sûrement déjà du vous l’expliquer, mais les AHA c’est donc des acides de fruits, et ils font parties de ceux qui pénètrent le plus profond dans la peau.

Ils exfolient un peu plus à chaque application, et permettent un effet « peau neuve » sur le long terme. (Je fais des détours pour que l’explication soit simple pour vous)

 

A savoir avant d’utiliser le triacnéal

  • ce soin est dosé à 8% d’acide glycolique
  • n’appliquez jamais ce produit comme crème de jour (déjà vu, déjà lu trop souvent) : il s’agit d’un soin à localiser sur les zones à problèmes de votre visage
  • il est nécessaire de protéger sa peau des UV : l’acide glycolique sensibilise la peau et ça, mélangé aux rayons invisibles de l’au-delà vers la terre ne font pas bon ménage
  • il est impératif d’appliquer ce soin tous les soirs pour avoir de bons résultats (notamment sur les marques résiduelles), mais il faut introduire le produit de manière graduelle.

 

Le premier mois 

Le premier mois est le mois le plus long, c’est le moment de la patience. Car une peau ne se renouvelle jamais qu’en 28 jours en moyenne, il faut attendre que la nature fasse son travail.

Parfois il y a le fameux effet purge, mais que je considère, quand ça arrive, plutôt comme une réaction de la peau. (A part les points noirs déjà enfouis, j’ai du mal à croire qu’on puisse avoir une armée de boutons en sommeil sous la peau qui n’attend que le Triacnéal pour pointer le bout de son nez)

 

J’ai donc appliqué le produit consciencieusement :

  • d’abord une fois tous les trois jours, puis une semaine et demi après une fois tous les deux jours, et ainsi de suite
  • je n’ai jamais ressenti de picotements pendant ce premier mois (mais les peaux les plus sensibles se contenteront d’une application plus espacée)
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Ces 30 premiers jours étaient assez concluants :

  • j’avais moins de micro kystes (ce genre d’irrégularités qui donnent un aspect grumeleux à la peau)
  • certaines boules de kystes enflammés étaient réduites
  • certaine cicatrices récentes commençaient à disparaître

 

Le deuxième et troisième mois

C’est les mois où la peau s’habitue au produit, et où il faut soit réduire la fréquence d’application soit l’augmenter.

C’est aussi à partir de 40 jours qu’on commence à vraiment voir un mieux et que la peau s’est renouvelée.

 

Si vous ne voyez aucun changement, que vous avez toujours autant d’imperfections ou que le produit vous a « brûlé », c’est que vous n’avez pas utilisé le produit comme il faut (avec parcimonie donc), ou que l’acide glycolique n’est pas un AHA qui vous convient.

Aussi, votre routine ou vos habitudes de soin peuvent entrer en compte.

 

Après donc plus de 90 jours

  • j’ai de moins en moins de taches de cicatrices et certaines, plus vieilles, s’affadissent enfin
  • plus de kystes
  • des boutons qui réapparaissent bien moins vite et sont moins nombreux

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Le seul reproche que j’ai à faire sur ce produit c’est vraiment sur sa couleur : il s’agit d’un jaune qui tire vers le moche, avec un soupçon de laid. Une fois que cela sèche sur le visage ça laisse un film de la même couleur que le produit, donc éviter de s’en tartiner un soir où vous voulez conclure, ça vous fera une tête splashée d’une couleur coquille douteuse.

Sinon, pour le reste, il n’assèche pas, et c’est un gros point fort.

epiduo.jpgJ’ai commencé il y a un peu plus d’un mois un traitement dermato en parallèle du triacnéal.

J’ai donc petit à petit remplacé le triacnéal par l’épiduo : actuellement je suis à deux jours d’epiduo pour un jour de triacnéal.

L’usage des deux combinés a rendu ma peau un peu compliquée (sécheresse, plaques rouges diffuses).

Je compte donc utiliser le produit Avène un peu moins souvent, ce qui me contraint à chercher un sérum anti-taches qui fonctionne bien (j’ai déjà essayé celui de Kiehl’s mais il m’a défiguré le menton, je ne l’ai pas supporté).

 

Le mot de la fin

Voilà,

Plus qu’une revue sur un produit, je voulais, par cet article, commencer une série de revues sur mon « ACNE WAR », mon combat contre des imperfections qui n’ont vraiment débuté qu’après mon adolescence et qui marquent mon visage même quand j’arrive à venir à bout des boutons.

Pour l’instant je n’en ai plus que deux ou trois qui reviennent aléatoirement, mais ils sont petits et tellement insignifiants par rapport à ce que j’avais avant que c’est déjà une petite victoire.
Maintenant, je suis face à un problème de petites peaux mortes à cause du traitement dermatologique, mais j’arriverai à vaincre !

Si vous cherchez un bon produit contre les imperfections et les marques, dans un premier temps je vous conseille le Triacnéal.

J’ai vraiment été conquise par ce petit tutube.

Simplement, avec mes problèmes de peau, j’ai été obligée de passer à l’étape supérieure et me rendre chez le dermatologue pour qu’on me prescrive quelque chose de plus puissant.

Voilà, j’espère que ce fut instructif.

 

Passez une bonne journée les Caribous !

Caribouland
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