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20 septembre 2016

Another basic, l’huile démaquillante DHC

ABOUT
Deep Cleansing oil DHC
dhc-oil

Nan mais la CHIEUSE de service.

Je promets toujours de ne pas trop enfoncer le clou sur certains produits. Comme les baumes. Ou les huiles. Mais quand tu as un hobby pour les matières poisseuses, c’est comme lancer un « promis-juré » je ne mangerai plus de croissant frangipane jusqu’à la fin de ma vie.

It’s never gonna happen. A cause des amandes. De la pâte d’amandes. Du moelleux de la couque.

T’avoueras que c’est toujours plus sympa comme passion que celle pour les truites d’Amazonie.

 

Je ne sais pas ce qu’il se passe, mais depuis quelques mois, je me démaquille plutôt avec des cleansing oils, rapport (peut-être) au format pompe, ou à la fatigue latente qui me poursuit jusqu’à mon oreiller. Je suis certaine que ce genre de produit a été inventé pour les paresseuses de service qui ne veulent pas se battre avec les amas noirs sur le bout des cils parce qu’elles ont un peu trop forcé pour avoir un regard de biche.

Avec une huile, tu ne t’emmerdes pas avec des cotons, tu ne fais que masser, rincer, et apprécier le moment avec la danse du « taadaaam ». Oh oui, c’est vraiment pour les gens qui refusent de se bouger les fesses.

 

La fameuse de chez DHC

Je la connais depuis longtemps, l’ai croisée de multiples fois sur le net, dans ces revues hystériques où tout le monde la bénissait et lui baisait les patounes. Sachant que j’ai du mal avec les soins adulés par le plus grand nombre, j’ai refermé les onglets en refusant d’admettre qu’il s’agissait d’un bon démaquillant.

En août arrive un mail, je demande ce que twitter en pense, on me hurle que « c’est de la bonne, tu devrais tester sans déconner ». J’arrive à me persuader que, parfois, il faut savoir ravaler sa fierté et expérimenter pour devenir plus intelligente encore.

Du coup, le bidule a débarqué devant ma porte, frais et pimpant, avec un jouet en forme de mini-geisha pour l’accompagner dans le colis. J’ai couiné et je suis partie me débarbouiller le soir avec le flacon, en me demandant si j’allais moi aussi devenir gaga.

 

Mon scepticisme débarque toujours quand l’ingrédient de base est une forme brute, naturelle et pas chère. Parce que je sais pertinemment que le simple fait de prendre de l’eau et la mettre dans une bouteille sur des étagères blanches de parfumerie la rendra tout de suite plus sexy – et abusera de la faiblesse des gens à cause des éclairages.

En haut de la formule on a de l’huile d’olive, plus classique tu meurs (y a même la petite odeur quand tu t’en tartines), réputée pour être excellente pour revitaliser et adoucir la peau – comme l’huile de tournesol mais en un peu plus épais.

Ensuite, on une huile esthérifiée, un émulsifiant, un solvant, deux conservateurs (un chimique et un naturel),  un booster d’hydratation et de l’HE de romarin (purifiant).

Olea europaea (olive) fruit oil, Caprylic/Capric triglyceride, Sorbeth-30 tetraoleate, Pentylene glycol, Phenoxyethanol, Tocopherol, Stearyl glycyrrhetinate, Rosmarinus officinalis (Rosemary) leaf oil.

dhc-oil-2

Du classicisme cosmétique.

Pas un pet de traviole, on est tout droit plongés dans le monde des « plus basique, tu rêves ».

 

Je rends à César sa toge et sa couronne, cette huile démaquille très bien (sans laisser le halo noir sous l’oeil, la chose la plus barbante à dégommer), elle a une texture ni trop fluide ni trop épaisse, elle me durera quatre mois sans problème, s’émulsionne en un clin d’oeil et ne nécessite pas forcément un nettoyant par après.

Je peux facilement la comparer au baume ultra-simple de Lush, mais en version huile, pour son côté naturel ou presque (rapport aux conservateurs), sa capacité à enlever tout le makeup sans arracher la peau, et à durer un moment sans spécialement coûter une blinde – vu sa longévité.

C’est d’ailleurs la première fois que je me dis que je vais sûrement racheter un exemplaire quand j’aurai fini cette bouteille – même si l’hiver arrive bientôt, les frimas, les « aglaglah j’ai froid », et la possibilité qu’un cleansing balm passe aussi par ma salle de bains.

Je m’en fous, je switcherai entre les deux, selon les envies et le temps, je ne vais pas me contenter d’une texture alors que le MONDE est à ma portée.

 

En tout cas, j’avoue, un genou à terre, les mains levées au ciel, que j’ai compris le buzz, que je valide le buzz, et que j’apprendrai à moins baliser quand un soin « mythique » voudra glisser sur ma bouille.

 

Des bisous les Caribous !
Deep Cleansing oil DHC, reçue par la marque (MERCI !)
27,50 les 200 ml (4 mois) ou 11,50 le format voyage

Caribouland
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1 août 2016

Plaisirs de douche

ABOUT
Coslys gel douche peaux sensibles à la figue bio
Lovea gel douche pina colada
The body shop Tahitian orchid massage oil
douche time

Je suis une grosse fan de gel douche. J’ai juste un corps qui a « ses petites préférences » et ne me laisse pas toujours le choix quand il s’agit de mes achats.

Monsieur le body veut du naturel, monsieur le body ne supporte pas trop le chimique à la longue (sinon il te fait une crise d’hystérie, se transforme en boule irritée que je gratte – bah oui, jusqu’à muter en une plaie géante)(j’avais qu’à écouter ses demandes).

Quand je suis dans les rayons de supermarché, on me retrouve en train de baver comme une limace, le nez coincé sur un goulot de wash-wash « tahiti rêve de donzelle ». Même si je sais que ça m’arrache l’épiderme. La vendeuse qui s’occupe du réassort doit se dire que j’erre seulement par-là pour sniffer comme une droguée, mais je passe outre.

Alors des fois je grimpe au-dessus de mes réticences, je tente quand même l’expérience, même si je sais que je suis sur la route du diable. Juste parce que je suis faible et que les fragrances sont un péché mignon sans limites dans mon monde de poney arc-en-ciel.

Sauf que le retour de flammes est toujours violent, faudrait voir ma bouille de « mais enfin, je voulais juste essayer une fois, pour me relaxer ». Tu parles d’un bonheur de détente, ça dure le temps que ça s’évacue dans les égouts, après commence la danse de la gratouille.

J’ai l’impression d’être une grosse nouille.

J’ai pris sur moi vers le début de l’été, la douceur est revenue dans mes tiroirs, mais croquante, avec son zeste estival, j’ai réussi à trouver trois produits qui me rendent gaga sans mordre mon divin corps.

 

Number ouane – Lovea Pina Colada

Cruche jusqu’au bout, je demande à quidam ce que sent la Pina, parce qu’au fond, en reniflant le flacon, je ne percevais qu’une franche dose de coco.

« Logique, ça baigne dans ce cocktail ».

Peut-être que tu seras plus à même de déceler le rhum et l’ananas, la lampée que je me sers sous la douche comble surtout mon envie de farniente sur une plage tropicale, le côté agrumesque en moins, avec un nuage gourmand qui reste dans la pièce bien après le wash-wash.

Ce produit a l’avantage d’un effet peau douce alors que la compo est à la limite du « chimique » pour ma couenne, mais vu que je le tolère très bien, j’en abuse.

 

Number toutouyoutou – Gel Douche Coslys à la figue 

Je l’ai siphonné comme une grosse malade, lui.

Je n’ai jamais mangé de figue de toute ma vie, ce fruit étant un des rares sur cette terre à ne pas avoir rencontré mes babines. Mais, chose étrange, j’adore le sentir en cosmétique.

Je traque son odeur, j’aimerais avoir un parfum avec ce bidule mauve pressé dedans, mêlé à un côté lacté et coulant, histoire d’en avoir pour mon argent.

Quand ce gel douche a débarqué, je l’ai tout de suite testé et approuvé. Il a ce côté « je nettoie ta peau, je prends soin de toi, je  ne sens pas trop fort, j’ai une texture simple et je suis bio » qui me plaît (moi et les produits basiques, suis mon regard).

Dedans on a de l’hydrolat de reine des prés (très bon anti-inflammatoire) AVANT les tensioactifs (doux), de l’inuline (connue pour son action hydratante intense), de l’extrait de figue bio plus bas (pour que le nom corresponde à la formule) et de la glycérine histoire d’assouplir un peu plus, entre autres.

Aqua (eau), spiraea ulmaria flower water** (eau florale de reine des prés bio), sodium coco-sulfate (tensioactif anionique issu du coco, du palmiste et de la glycine), decyl glucoside (tensioactif non ionique issu du glucose), inulin (extrait de racine de chicorée), sodium chloride (sel), cocamidopropyl betaine (tensioactif amphotère issu du coco), polyglyceryl-2 laurate (agent surgraissant issu du palme et du coco), ficus carica fruit extract** (extrait de figue bio), glycerin (glycérine végétale), parfum (parfum 100% naturel), sodium benzoate (agent de conservation), potassium sorbate (agent de conservation), citric acid (régulateur de pH), coco alcohol (alcool de coco), sodium sulfate (tensioactif anionique issu de la noix de coco).

Honnêtement, je pense que tu peux laver toute ta famille avec, le chien aussi, et tant que t’y es, achète le gros format d’ un litre, parce qu’en tube ça part trop vite.

Si tu as cette chance énorme de partir en vacances en Août, il pourrait bien combler tes épaules de homard au retour de plage, c’est un peu l’équivalent bio et sucré de mon huile lavante xeracalm d’Avène, d’où mon enthousiasme.

 

Number Threenity – L’huile de massage The Body Shop à l’orchidée tahitienne

Je cherchais un petit quelque chose pour masser l’homme Caribou, et comme d’habitude, je me retrouve à me tartiner d’huile de massage au sortir de la douche parce que la sensation de cabillaud qui glisse dans un fond de poêle grasse m’enchante.

Quand je traîne chez The Body Shop, j’essaie d’éviter tous les rayons sauf celui des grassouillettes (sérums compris). Je ne sais pas ce qu’il se passe dans leur équipe marketing, mais de tous leurs soins, il n’y a que cette catégorie-là qui donne une impression d’effort sur ce qu’on a voulu mettre dans le flacon.

L’effort étant même un peu trop poussé, tu jugeras par toi-même, BodyshopMan a pété un câble et mis toutes les huiles du marché dedans. Juste pour le fun.

huile massage

C’est aromatique, c’est enivrant (même si tout le monde n’est pas d’accord sur l’odeur de celui-ci, deux autres versions sont disponibles), ça s’écoule facilement par le goulot (MEGABRAVOHOURRA, premier flacon qui n’en met pas plus sur le sol que sur ma divine couenne), et ça assouplit sacrément fort mon corporel.

La seule chose c’est qu’on est loin des huiles sèches, ce soin sensoual se prête vraiment à une séance post-douche où l’on prend son temps pour bien palper son épiderme, ouvrir ses chakras, ses amygdales, tout ça. Mais si rien que l’idée de  toucher une goutte de grassouillette te met dans état proche de Barbapapaland, ne tente même pas l’expérience.

 

Suffit de pas grand chose pour me remettre à flots, et même avec la caboche mangée par la migraine ou la fatigue, je ne lésine jamais sur le temps que je passe dans ma salle de bain.

Parce que je n’ai pas de piscine ni pris de vacances, je fais plouf-plouf avec les moyens de bord.

Et quoi de mieux que l’été pour transformer le simple nettoyage en une cocooning party ?

 

Des bisous les Caribous !
Huile de massage Tahitian Orchid, acheté 18 euros les 170ml
Lovea Pina Colada, acheté 4 euros (il me semble) chez Di, trouvable en France chez Leclerc
Gel douche Coslys à la figue bio, reçu par Sebio (Merci !), 

Caribouland
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16 mai 2016

Body Oils

ABOUT
RENE FURTERER huile sèche sublimatrice 5 sens
NAJEL Elixir aux trois huiles
ELIZABETH ARDEN Eight Hour Cream All Over miracle Oil
L’OCCITANE Huile Parfumée Néroli Orchidée
bodyoils

Tu me vois venir à 10km avec mes pots d’huiles diverses et mon sourire hagard de fille tombée dans un macérât d’olive quand elle était petite.

Je suis une grassouillette dans l’âme, et je ne n’arrêterai JAMAIS de vous en parler.

Parce que, de tout ce que vous pouvez trouver sur le marché, c’est la matière première la plus pénétrante dans la peau, donc la plus à même de vous rendre un épiderme satiné, celui que les gels douches décapants et le manque de temps vous ont  gracieusement volé, sans notice, sans petit mot sur le frigidaire pour prévenir du carnage.

 

Le grand avantage des body oils, c’est qu’elles sont multi-usage : sur le visage (avec restrictions, que l’huile de base convienne à votre type de couenne), sur les cheveux (voir l’oil therapy), sur le corps (si t’es ne faignasse de première, je te conseille de lire mon article pour les lazy de la routine corporelle), sur les cuticules en fer forgé, comme base pour un gommage maison (dans ce cas, autant prendre une version pure pas trop chère, comme celle de coco – qui sent merveilleusement bon).

Dans ma petite valise quotidienne, j’en ai quatre pour le moment : toutes sont des mélanges, parfumées, et aux usages complètement différents. Comme quoi, d’un liquide à l’autre, on peut totalement changer de catégorie d’application.

 

La plus pure // L’élixir aux trois huiles de Najel

C’est celle que j’utilise pour me masser les cuisseaux depuis que j’ai commencé ma cure de ventouse anti-cellulite (le machin bleu qui ressemble à une coupe menstruelle mais se charge de décrasser les jambons engorgés).

Elle est un mix d’huile d’amande douce, de nigelle, et d’olive, ajouté d’un antioxydant naturel. Le flacon vante une odeur de fleur d’oranger, je suis d’avis que ce doux parfum est allé voir ailleurs, je sens surtout le cumin noir qui flotte comme un petit génie vicieux en arrière-fond.

De la troupe, c’est celle qui hydrate le plus en profondeur (on n’oublie pas qu’une grassouillette contre la déshydratation aussi par défaut en fortifiant le ciment intercellulaire et donc en empêchant une déperdition d’eau inutile)(en gros tu te tartines, puis tu bois ton Evian tranquille), mais elle ne conviendra clairement pas à celles qui cherchent un soin « oup’s je suis partie« , elle est d’une lenteur d’escargot au niveau de l’absorption.

NB : elle ferait un excellent bain d’huile, l’amande douce est un très bon fortifiant capillaire, la nigelle réputée pour soigner les maux pelliculaires (entre autres), et l’huile d’olive la reine dorée méditerranéenne de la brillance et de la nutrition.

 

La plus capillaire friendly // Elizabeth Eight Hour Cream All-Over Miracle Oil

Découverte par hasard pendant un évent Elizabeth Arden, j’ai été étonnée de voir que la marque vendait certains produits pour la peau à la composition plus qu’appréciable (quand on aime bien le naturel et qu’on est habitué au grand écart conventionnel/bio, s’entend).

Elle sent la pastèque – ou un truc frais et juteux, un peu floral, un bonheur fruité quoi, et est un VRAI plaisir à appliquer sur les longueurs en finition. Il en faut très peu, elle laisse un doux parfum et n’alourdit pas du tout la coiffure.

Dedans on trouve une base d’huile de riz pour une excellente émollience, de pépins de raisin (connue pour son excellente pénétration cutanée et son pouvoir antioxydant), et enfin la précieuse huile de camelia que je traque depuis des plombes en version pure, réputée pour être une grassouillette magique pour le soin des cheveux, qu’elle rend doux/brillants/lisses.

C’est devenu mon passage obligé une fois que ma touffe est sèche, une petite pression et pouf pouf sur les pointes et la masse, elle remplit très bien la mission d’adoucisseur capillaire, c’est d’ailleurs le seul usage que je lui réserve.

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La plus sèche // René Furterer Huile sèche sublimatrice 5 sens

Aaaaah, la recherche d’huile qui pénètre en un clin de mirette et se laisse oublier sur la peau. De toutes celles testées jusqu’à présent, je pense que celle de René est la plus sèche de chez sèche dans ma salle de bains.

Bon, au niveau des ingrédients, c’est sûrement celle qui va apporter le moins de bénéfices nets, elle contient essentiellement des composants chimiquement modifiés (pas de silicones ceci étant dit), MAIS, on retrouve quand même en milieu de liste de l’huile d’avocat / carthame / amande douce / ricin / jojoba, un mix à la fois assouplissant et réparateur.

En gros, on ne l’achète pas pour son côté nature (laissé au coin de la rue, entre la boulangerie et le supermarché), mais plutôt pour sa facilité d’utilisation et son parfum de vacances ensoleillées – sans ylang-ylang, ni monoï, ni vanille, pour éviter la redondance.

Elle donne un très beau côté satiné à la peau et je l’utilise essentiellement quand les beaux jours arrivent et qu’il fait si chaud que la simple pensée de m’hydrater la couenne me donne des sueurs froides et glissantes. Puis, comme elle donne un aspect glowy immédiat, c’est tout bénef’ de la dégainer quand la saison des épaules nues débarque.

 

La plus délicieusement parfumée // L’Occitane huile parfumée Néroli Orchidée

Graou.

C’est tout ce qui m’est sorti de la bouche quand je l’ai essayée au sortir du colis. Je suis rarement fan des huiles parfumées parce qu’elles sont souvent imposantes, olfactivement parlant, et me donnent l’impression de me mouvoir avec un paquet de fleurs qui me sortent par les pores.

Ici, on est dans un bain de douceur, un néroli qui n’est pas trop guimauve, même plutôt vert, l’association avec l’orchidée rend l’ensemble absolument délicieux et très cocooning.

Pareil que pour l’huile 5 sens de René Furterer, on ne se la procure pas pour ce qu’il y a DANS le flacon (composition sans intérêt), mais bien pour ce qui en sort, elle est également assez sèche pour convenir à celles qui détestent avoir l’impression d’être un filet de poulet au fond d’un poêlon gras.

En gros, elle nourrit bien, elle rend heureux en se glissant dans les naseaux, que demander de plus ?

Seul bémol (bah oui) : elle coûte 28 euros pour 75ml et j’ai déjà vidé un dixième du flacon en une semaine. Les 100 ml habituels auraient été plus que bienvenus.

 

En conclusion je dirais que toutes les huiles pour le corps ne sont pas forcément à utiliser sur l’entièreté du body. Certaines auront des ingrédients plus intéressants pour une zone ou l’autre, d’autres une dimension confort non négligeable. Suffit de regarder au dos du flacon, de déchiffrer, de réfléchir, et de… bon okay, étales-toi le bidule sur le parchemin et va glisser sur la banquise.

Je passais juste par-là avec mes bidons d’huile de mamma italienne.

 

Des bisous les Caribous !
Huile L’Occitane + René Furterer + Elizabeth Arden offertes par les marques
Huile Najel offerte par Sebio

Caribouland
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11 mars 2016

Recette de pureté by Cîme

DSC_3460

Tu la connais la rengaine, quand dans d’autres pays hors Europe ils se tapent des cosmétiques de fifou, nous on trime pour avoir ne serait-ce qu’un petit bout du gâteau.

Faut savoir qu’il y a 5 ans de cela, les huiles démaquillantes ne couraient pas les rues, il fallait se ruer sur les sites asiatiques pour avoir sa dose de grassouillette. Et encore, même au moment de valider le panier, on se faisait des films du genre « est-ce que je suis dans le bon en commandant un produit qui vient de Chine ? Vais-je crier « pustule nucléaire » ? ».

Ce n’est plus le même combat aujourd’hui.

 

Preuve en est, L’Oréal a sorti sa version de supermarché il y a quelques temps, signe qu’on avance lentement mais sûrement vers une démocratisation des soins « atypiques » (s’ils copient, tout le monde copie).

Pourtant, l’européenne ne se démaquille toujours pas en majorité avec une cleansing oil, elle préfère choisir un lait ou un bête nettoyant et se frottouiller l’épiderme jusqu’à ne plus avoir aucune trace sur le minois. Et tant pis si ça génère des yeux de panda fou.

Je vous parle de la base épaisse de la société, celle qui n’a de temps pour rien.

 

Par principe, je SAIS que prendre soin de soi, c’est comme de s’offrir un petit cadeau chaque jour, le simple geste du gommage sous la douche qui adoucit les jambons et je me sens comme une donzelle au sommet de sa féminité.

Quand je me tartine d’un masque et que j’attends qu’il se passe un petit miracle, c’est Nowel, j’ai hâte d’ouvrir mon cadeau au moment du rinçage, de découvrir un effet flash, le coup de frais/fouet tant attendu.

 

Pour ça que j’ai toujours privilégié les textures fondantes et épaisses, ce sont les plus jouissives. Si je pouvais, je troquerais ma peau mixte pour une normale à sèche, juste pour pouvoir me délecter de baumes ultra-épais, mon nirvana sensoriel.

Donc oui, je suis une skincare addict, mais je suis chiante sur les matières.

Tout le monde n’a pas le même niveau d’exigence que moi (ce n’est pas une critique, votre vie doit être plus simple que la mienne).

 

L’huile recette de pureté by Cîme

Bon bon bon, je SAIS qu’il y a quand même une grande majorité de minettes qui aiment qu’une routine aille vite, mais cette nouvelle huile démaquillante joue dans la catégorie des « si tu veux que je me lactifie VRAIMENT à l’eau, tu rêves ».

On repassera pour le côté express, on est dans le style lazy cocoon.

 

Dedans on trouve :

caprylic capric triglyceride (une huile esthérifiée commune, c’est bien, mais sans véritable valeur de soin) – sesamum indicum (sesame) seed oil*(de l’huile de sésame pour le côté sensoriel) – helianthus annuus (sunflower) seed oil*(pareil pour l’huile de tournesol) – dicaprylyl ether + polyglyceryl-4 oleate (deux émulsifiants) – prinsepia utilis (dhatelo) seed oil* (pour hydrater et nourrir la peau, on la retrouve aussi dans leur huile multi-usage) – prunus armeniaca (apricot) kernel oil* (de l’HV d’abricot, antioxydante, excellent anti-âge) – parfum** (fragrance) – tocopherol – geraniol – linalool

* Ingrédient issu de l’agriculture biologique
** Issu d’huiles essentielles naturelles

100.00%

du total des ingrédients sont d’origine naturelle

31.50%

du total des ingrédients sont issus de l’agriculture biologique

 

Absolument rien à dire sur la compo, on a une base simple, des huiles qui sont connues pour êtres fines et émollientes, et même si j’aurais préféré que la première grassouillette ne soit pas esthérifiée mais bien complète, il n’y a pas de faux pas.

 

A l’usage, c’est sûrement la seule, avec celle de Liérac (même si elle me piquait une chtouille les yeux), qui pourrait me tenter si je n’étais pas accro à ce point aux cleansing balms :

  • elle est très bien tolérée : je la conseille sans problème à tous les types de peaux
  • elle n’arrache pas les mirettes : elle enlève absolument tout, du waterproof, pas waterproof, pas de quartier, faut juste apprendre à viser pour ne pas avoir le fameux film « feux de l’amour » (le halo graisseux qui transforme le champ de vision en conte de fée parce qu’on est dans le flou)
  • elle laisse la peau DOUCE
  • elle ne coûte pas si cher (17 euros en moyenne pour 100 ml)
  • l’éthique de la marque : pas du bobo bio qui se fout de notre poire, on aide les producteurs locaux de l’Hymalaya en achetant leurs produits
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Y A UNE CHOSE qui me plaît beaucoup mais ne convertira pas tout le monde : elle ne se mue pas des masses en lait au contact de l’eau. Si peu. Pourtant Cîme dit que oui.

Moi je te dis que non.

J’ai beau me passer le visage à l’eau chaude sous la douche, si je n’enchaîne pas avec un nettoyant pour enlever le surplus (ou simplement un linge, un muslin cloth), c’est caisse, la recette de pureté engage un sitting dans mes pores.

Au test de la main, ça donne une phase qui s’émulsionne légèrement et baigne dans une dose graisseuse, y a bien un refus total de se barrer tranquillou dans l’évier en deux jets d’eau.

 

La marche à suivre pour un massage-splash-splash tip-top se résume à : on l’applique sur peau sèche, on masse bien, puis on prend deux pompes de mousse (j’utilise la Nominoë), on remasse un peu, puis on rince, ET LA, ça a du sens.

La couenne ne crisse pas, elle couine de souplesse, même en utilisant un cleanser pour la virer, c’est dire.

Et pour l’odeur, on est loin de l’amande qui m’a trop écoeurée chez Caudalie, ça sent l’Huile by Cîme (Mona et ses références qui aident grandement).

 

Pour finir, je vous dirais de bien écumer le web pour vous fournir le petit précieux parce qu’on a des écarts de prix assez incroyables.

Sur le webshop de la marque, on arrive à 21 euros, frais de port compris (pour la Belgique!), mais sur MoncornerB, le soin seul coûte déjà 24 euros (woké) – avec l’expédition, on est 9 euros plus cher que le tarif de base oO

Ca doit se trouver chez Desmecht rue de l’Ecuyer à Bruxelles sans problème. Mais pour les frenchies, je ne sais pas quoi dire : soit vous mordez sur votre chique et vous commandez sur MCB, soit c’est niète.

De mon point de vue, elle vaut ses 17,50 euros mais clairement pas un billet de plus.

Ce sera vraiment bien, dis, quand on trouvera des soins au même prix partout. En attendant, on peut se brosser la couenne à la pierre ponce, Ginette, c’est pas le paradis.

 

Des bisous les Caribous !

Huile recette de pureté by Cîme, reçue par la marque

Caribouland
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4 janvier 2016

Winter essentials

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Hi there !

Je décide de commencer l’année avec un article sur les indispensables de l’hiver, la fille qui te parle du froid quand le printemps a l’air de déjà s’installer au bout des branches (l’abeille dodue, je l’ai vue butiner comme une garce).

Et vraiment, jusqu’à présent, j’étais dans une phase de mi-saison, avec des soins que je switchais sans regarder au-dehors. Une crème plus riche de temps en temps, un passage au savon (oui, au savon) après le baume démaquillant. Il s’est passé un ou deux mois de freestyle harmonieux.

Si neige ne tombe, je fais dans le folklore de salle de bain. Tin tin.

 

Body care

Je n’ai pas eu de crise de gratouille monstrueuse depuis début novembre, mon corps reflète l’état du moment : si tu n’as pas besoin de te tartiner, ne te tartignole pas la couenne.

Au cas où, j’avais toujours le baume xeracalm A.D. sous la main, quand l’épilation des guiboles avait été trop intense – ce moment où tu slides le rasoir sans prêter attention aux coins, que tu te prends pour Schumie en plein grand prix, sauf que tu couines dans le virage. Petit trait sanguinolent sur le mollet, tu râles en babelant un charabia incompréhensible, ça donne une scène épique de goumiche au jambon irrité.

Concernant ce super balm d’Avène, je n’ai rien à redire, il s’étale très bien, se boit vite (pas par la bouche, ginette), et ne sent rien à part les ingrédients. Le best of the best des peaux sensibles qui ne veulent pas s’enquiquiner avec une formulation potentiellement agressive.

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Les mains ont eu droit à un switch généreux entre deux crèmes à l’odeur de dingo.

La love and light de Lush, une nouveauté 2015, avec de la jojoba, du karité, du néroli et de l’orange, ce genre d’handcream qu’on utilise quand on a marché trois fois dans la même merde au cours de la journée. Elle sent les agrumes, elle ne laisse pas les mimines poisseuses, en gros, si tu veux que les gens mangent tes paluches, c’est celle-ci qu’il te faut (par contre achète le petit format, il dure vraiment longtemps).

La nuxe, c’est la faute à mon entourage. Y a un zigoto qui en dégomme des tubes entiers pendant l’année, du coup j’ai fini par adorer son parfum cocoon et la glisser dans mon sac à chaque escapade en ville. J’en suis à mon second flacon, c’est rare que j’enchaîne dans cette catégorie.

 

Skin Care

Démaquillage //

La dose, j’ai misé sur la dose.

De bonheur, sans chagrin, pas d’oeil qui pique, les mirettes de panda et la couenne lisse.

Alors oui, depuis mon épisode chez le dermato, tout n’a pas été rose, j’ai eu des rechutes. Parce que je ne suis pas de celles qui arrivent à être régulières quand il s’agit de suivre un traitement barbant; je me suis fièrement battue – cheveux collés sur le front et bouche tordue; puis j’ai recommencé à être assidue, à me dire que oui, effectivement, pour plus d’efficacité, faudrait peut-être que je me bouge le booty et que je sois plus appliquée.

J’ai continué à utiliser le baume Trilogy en first step, je compte finir le bidule, one day, encore un de ces pots dont on ne voit jamais le bout. Mais j’arrive à un petit changement cosmétique, je suis dans une phase où le rinçage à la mousseline me barbe.

Le geste est agréable, tout part en un passage, mais il faut ensuite nettoyer le linge, le mettre à sécher, apparemment Mona ne veut plus s’embarrasser de ce genre de détail en 2016. A part pour les cotons lavables.

 

Donc un baume démaquillant, puis un passage au pain pour peaux intolérantes Avène. Je l’avais adoré pour le corps (la bonne balance longévité/prix dans un petit carré blanc), donc passé sur la bouille, on était dans le même genre de délire.

Ne me demande pas pourquoi, il y a des routines que tu suis par instinct, celle-ci en fait partie. Alors, OUI, il laisse cet effet un peu tight (très léger) sur le visage, mais au visu, dans le miroir, je n’avais aucune plaque sèche, donc je savais que c’était juste un effet « peau nette et propre » après son passage sous l’eau. Et pas un revirement vers le style momie.

 

Hydratation//

Je me la suis coulée douce.

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J’avais reçu pour test le sérum hydratant 2de Nature, marque bio belge que j’avais joyeusement remballée il y a un an, parce que, je cite, « je trouvais leurs produits trop chers au regard des ingrédients ». Je suis revenue sur ma position, ce sérum est un excellent basique pour les petites trentenaires (en devenir ou qui ont déjà 30 piges bien tassées).

Il a le bon côté hydratant qu’on recherche mais avec une phase grasse qui vous fera passer l’hiver sans encombres – la fameuse couche protectrice qui t’évites une escale à Peau-de-parmeggiano-land.

 

Dedans on trouve : de l’eau d’aloe vera (pas du jus, non, de l’eau, cicatrisante et hydratante), des cocoglycérides pour l’émollience, de la glycérine végétale pour booster encore un peu l’hydratation, de l’huile de Pracaxi (bonne pour régénérer la peau et améliorer sa texture générale), une cire à base d’un mix de jojoba/tournesol/mimosa pour la protection du minois, de l’huile de baobab (riche en acide oléique et linoléique, protectrice et régénérante), du beurre de cupuaçu (riche en antioxydant, très bon anti-âge), de l’huile d’inca inchi (bourrée d’omega 3, elle est très pénétrante et revitalisante), de l’acide hyaluronique (plumpyyy), du plancton marin (soit disant booster de samba cellulaire), entre autres.

Un produit à 98 % composé d’ingrédients d’origine naturelle (c’est pas du brut, mais la majorité du bidule est sous forme entière et non modifiée, donc un bon point), dont l’odeur me rappelle fortement celle de la crème hydratante essentielle de Trilogy.

Eau d’Aloe Vera, cocoglycerides, glycérine végétale, coco caprylate/caprate, cetearyl olivate, huile de Pracaxi, amidon de maïs, C10-18 Triglycerides, sorbitan olivate, cire naturelle à base de Mimosa/Jojoba/Tournesol, huile de Baobab, beurre de Cupuaçu, huile d’Inca Inchi, vitamine E, huile d’Olive, acide hyaluronique, extrait de graines de Jojoba, extraits de plancton marin, parfum naturel, gomme de xanthane (gélifiant naturel), carrageenan (épaississant à base d’algue), potassium sorbate*, dehydroacetic acid*, benzyl alcohol*, benzyl benzoate*, citral**, farnesol**, geraniol**, limonene**, linalool**

* conservateur agréé

Je l’utilisais parfois comme crème, après le démaquillage, en la réservant essentiellement à un usage nocturne pour m’éviter une tête de hibou au réveil. Il répond exactement aux promesses de la marque, mais ne suffira pas aux couennes qui sont du côté sec de la force – je ne parle pas de déshydratation passagère, pour ça elle gère.

Ensuite une couche de cleanance Hydra, et j’étais parée pour le plongeon coussin couette dodo.

 

Quand il me fallait plus, je dégainais le songe fleuri de Cattier.

Rien que le nom te donne envie de parader dans ton pyjama une pièce à tête de panda, de sortir tout ton stock de marshmallow pour te les enfiler un à un en couinant d’amour.

Cette crème de nuit est une tuerie.

Rien que la texture est un délice, un mélange entre une crème généreuse et un baume léger et fondant qui s’étale sans sourciller (le jour où une day cream sourcille, tu me phones).

La base est assez classique puis suivent l’huile de tournesol, des esters de jojoba (pour la doudouce), du beurre de karité (bombe de nutrition), une sorte de cire d’acacia/jojoba et tournesol (pour la protection cutanée), du squalane (hydratant), de l’huile de cassis (soulage les peaux sensibles, entretient la bonne hydratation de la peau), de l’extrait d’aloe vera (encore une petite touche hydratante), de l’huile  de tournesol (pour la texture), de l’extrait de romarin (tonifiant, antibactérien), entre autres.

Aqua, Caprylic/Capric Triglyceride, Glycerin, Helianthus Annus Hybrid Oil*, Jojoba Esters, Butyrospermum Parkii Butter*, Cetyl Alcohol, Glyceryl Stearate Citrate, Acacia Decurrens/Jojoba/Sunflower Seed Cera/Polygylceryl-3 Esters, Squalane, Polyglyceryl-3 Stearate, Cetearyl Alcohol, Cetearyl Glucoside, Hydrogenated Lecithin, Xanthan Gum, Ribes Nigrum Seed Oil*, Aloe Barbadensis Leaf Extract*, Helianthus Annuus Seed Oil*, Rosmarinus Officinalis Leaf Extract*, Bisabolol, Benzyl Alcohol, Sodium Benzoate, Tocopherol, Lactic Acid, Parfum, Geraniol, Limonene, Linalool.

Clairement, je suis incapable de l’utiliser tous les soirs, elle est trop riche pour ma peau (fallait bien lui trouver un défaut). A moins d’habiter dans une région au froid polaire, elle conviendra surtout en usage limité aux peaux mixtes, mais en abus sans frontières pour les peaux plus sèches.

 

Le matin, c’est la fête, je passe un petit coup d’eau nettoyante cleanance si besoin, puis je sors ma petite fiole jaune.

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Je vous avais déjà dit que Dr Hauschka faisait partie des marques que j’imagine être des sectes, avec des gourous qui se passent des pots de crèmes sous la table en chantant « ah ce qu’on va s’huiler la couenne ce swaaaaar ».

Hum.

J’ai fini par aimer l’idée.

Ils ont, dans leur gamme, un soin équilibrant censée « harmoniser les peaux grasses, et impures », on est sur un terrain bien grassouillet, avec une texture d’huile ni sèche, ni grasse. Un hybride.

CLAIREMENT, si tu n’aimes pas t’appliquer des sérums huileux, va regarder une vidéo de Norman, parce que mon discours va glisser sur tes mirettes.

Je ne suis pas DU TOUT de celles qui croient aux huiles foncièrement équilibrantes, j’ai toujours un peu eu l’entre-sourcils qui brille jusqu’au bout du naseau, parfaite rampe de lancement pour des poux qui voudraient se mettre au snowboard.

Donc, j’y suis allée avec des pincettes, une goutte, puis deux gouttes, maintenant j’en suis au stade de la lichette qui colore mon index en jaune. Ce sérum est typiquement une bonne affaire pour les peaux mixtes (les vraies, celles qui ne brillent qu’au centre), elle permet de réguler sans agresser à condition de bien nettoyer son visage quotidiennement (rajouter du gras sur du gras, ça empêche quoique ce soit d’accrocher, OKAY ?). Et surtout, il rattrape les pomortes dues à mon traitement anti-bubons.

En une application.

 

Dedans il y a une blinde d’ingrédients, mais on retiendra surtout l’extrait d’anthyllide qui permet de réguler/détoxifier/agir sur l’excès de radicaux libres. Suivent ensuite l’huile d’abricot (bonne pour le teint, doudouce cutanée), d’amande douce (adoucit l’épiderme), d’arachide (excellente pour les peaux sèches et abîmées), de l’extrait de carotte (boom la peau de bombasse) et de millepertuis (régulateur des petits bubons hormonaux), du calendula (pour calmer le feu du minois), du neem (purifiant et équilibrant), et de la jojoba (régulatrice de sébum), entre autres.

Liste d’ingrédients

Je l’aime. Parce qu’il y a 30ml et que ça durera vraiment une éternité (en un mois, j’ai même pas entamé 1/8 ème du flacon), qu’il donne un vrai coup de flash à la peau, avec un rendu de framboise aux grains tendus/dodus, gorgés d’eau. il régule assez bien (ne m’empêche pas rayonner, mais le sébum se pointe bien plus tard dans la journée). Et si j’ai des boutons occasionnels, il leur fait du bien en les dégageant gentiment à coups de batte de baseball.

Last but not least, sous la crème de jour ou mêlée à celle-ci (la cleanance hydra d’Avène, mon p’tit bébé d’amour), il crée un matelas épidermique parfait pour se maquiller, donc il ne faut pas attendre trois plombes avant de se tartiner de makeup.

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Pour finir, parce qu’un hiver sans masque n’a pas de sens, j’ai ressorti mes must have de la vie entière, à savoir mon masque hydratant apaisant d’Avène et le cool peel d’Environ.

Le premier, c’est le doudou-dis-donc des soirées où la peau a morflé, qu’elle ne tient plus droit, qu’elle est rouge et bleue, qu’elle dégage sur les pommettes, que toi-même, en ton for intérieur, tu ne sais plus quoi trouver pour la remotiver.

Le second, c’est mon booster d’éclat, ma fiole magique, mon masque secret pour avoir une superbe peau le lendemain – véridique, c’est le seul soin qui engendre des remarques du style « t’as l’air de bonne humeur aujourd’hui » ou encore « il y a quelque chose qui a changé, on dirait que t’es presque adorable ». Un trésor je vous dis.

 

A retenir

Matin : eau micellaire cleanance d’Avène / huile équilibrante Dr Hauschka / cleanance Hydra d’Avène
Soir : baume trilogy / savon peau intolérantes Avène / concentré anti-âge Seconde Nature / songe fleuri de Cattier ou cleanance hydra

ET basta tagada, un mix de douceur sur mes étagères. Tu vas commencer à voir que je suis dans la transition vingtaine trentaine, à traiter mes bubons tout en misant sur l’hydratation et un peu plus de nutrition. Ce n’est pas le temps qui veut ça, juste l’âge qui est ingrat.

Mais tant qu’on me prendra pour une gamine de moins de 18 ans, je me dis que les cosmétiques, c’est fantastique quand ça marche.

Ne pas boire. Ni fumer. Ni se droguer. Et avoir un excellent capital génétique aide aussi. UNE BONNE SANTE A TOUS MES CARIBOUS pour cette nouvelle année !

 

Des bisous les Caribous !
Huile Hauschkasonge fleuri Cattierconcentré anti-âge Seconde Nature, reçus par Sebio
Love and light de Lush, reçu par Lush
Pictures by Xavier Lejeune

Caribouland
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