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14 juin 2017

Oily milk – Trevarno Rose & Jojoba Cleanser

Y a des gens qui aiment trop les cases : foutre les nanas et les mecs dans des boîtes, se demander pourquoi la populasse ne suit pas l’avis général sur tous les sujets, les avis contraires les dépassent et les choquent; personnellement, ça va, je fais même parfois le grand écart entre plusieurs catégories parce que je ne rentre pas dans toutes.

Ca fait des siècles qu’on est relax du bulbe dans ma caboche et c’est pas près de changer – et si tu es plutôt tendu du genou, sache que ça s’apprend, la zenitude d’opinion, et qu’il n’est jamais trop tard pour s’y mettre.

Les ateliers « rempotage de cactus » peuvent aider, si besoin.

 

Quand je vous parle de ce sectarisme, il a lieu à TOUS les étages de la société et de la consommation, et si une broutille n’est pas au bon endroit, ça dézingue toute ta logique. Parfois tu tournes comme une toupie dans tous les rayons du supermarché parce que l’étalagiste a décider de te foutre les cornichons au rayon pampers et que la brosse à chiotte est vendue près de la poupée qui hurle « maman ».

Pas étonnant qu’on finisse par acheter des conneries, à force d’être embrouillé dans les magasins, les zigzag font perdre toute sa crédibilité à la liste de courses.

 

Bref, pour tous ceux qui veulent savoir de quoi je vais leur parler today, c’est possiblement d’un lait nettoyant. Ou d’huile. Ou un peu des deux. En tout cas, ce genre de soin qu’on aura du mal à foutre dans une case, à moins de l’avoir testé et adapté à son usage perso.

 

 

Trevarno Rose & Jojoba Cleanser

Quand on se pomponne, on utilise souvent des produits qui ont une base de lipides – notre sébum en contient, la crème, l’écran solaire, une vraie mare qui devient un cambouis collant à la fin de la journée – merci Mona pour cette image à s’en lécher les babines.

D’ailleurs, tant qu’on en cause, soyons heureuses de ne pas avoir de microscopes sous la main, parce qu’il y a pas mal de donzelles que ça effraierait (et d’autres que ça motiverait pour enfin se laver le visage – au moins une fois par jour).

 

En saison chaude, c’est très simple :

  • j’hydrate rarement ma peau le matin : question de sensation, plus que de réelle conscience de mes besoins, je suis juste beaucoup plus à l’aise sans rien sur la peau, et puis, la crème solaire Anthelios Fluide pour le visage est souvent suffisante – ne suivez pas cet exemple, il faudrait au moins que je me jette sur un sérum hydratant + une crème pour m’éviter de petits dégâts le soir
  • le passage du visage sous l’eau au soir est PRI-MOR-DIAL : j’amasse forcément plus de crasses en journée en été que par temps sec et froid (le marcassin transpire, la saison chaude ne pardonne pas)

 

D’où le : choisis bien ce que tu vas utiliser pour enlever « tout ça », le beau mélange, l’amalgame gras et luisant que tu te trimballes depuis midi après la petite montée de sueur en mâchant ton plat de spaghetti bolo avec les collègues, crois-moi, il faudra du costaud.

 

Pour le moment, j’utilise le cleanser de Trevarno, qui a l’avantage d’une texture hybride (mais qui ne me suffit pas seul en été).

 

Dedans il y a

De l’hydrolat bio de rose, de l’huile de jojoba (normalisante, convient à tous les types de peaux), de la cire émulsifiante (végétale), de l’extrait de pépin de pamplemousse et de la vitamine E (conservateurs naturels), et enfin du macérât de vanille (pour l’odeur et prendre soin des couennes sèches et sans vie)

Organically Produced* Rosa Damascena Flower Distillate* (Rose Flower Water), Simmondsia Chinensis* (Jojoba Oil), Emulsifying Wax (Vegetable-based: used to combine Flower Water and Oil), Citrus Grandis* (Grapefruit Seed Extract), Tocopherol (Vitamin E), Simmondsia Chinensis Vanilla Planifolia* (Jojoba Oil infused with Vanilla)

 

En gros, de l’eau de rose dans de l’huile bio et rien de plus. Que du bonheur végé.

Sous les doigts, on a l’impression d’un lait huileux ou d’huile lactée, c’est très étrange et assez efficace sur le mascara (le reste s’en va sans sourciller), mais il lui manque cette franche décision entre le « je démaquille ou je nettoie ? ».

A priori, il fait bien les deux mais sans vraiment se contenter d’un côté ou de l’autre de la barrière. L’eau de rose est topissime pour les rougeurs, la jojoba assouplit, on en a pour son argent quant au feeling post-nettoyage (pas de « couic-couic », c’est souple, hydraté). Même un peu trop.

Pour ça que j’enchaîne avec un bon vieux cleanser crème sans grande phase grasse pour dégommer ce qu’il reste.

Et là, oui, on est bien.

 

Je ne sais pas vraiment dire si je l’aime ou pas, même si je l’ai vidé aux deux-tiers (doit y avoir une petite addiction quand même), mais il manque un chouilla d’émulsion pour sentir un peu plus la jojoba déguerpir et laisser la peau calme, nette et sans surplus.

=> j’ai déjà utilisé des cleansing balms en été sans que cette fameuse sensation de film hydratant sur la peau ne me dérange, elle est peut-être juste un peu particulière avec ce produit-ci.

=> je peux arranger le problème en me débarbouillant avec un muslin cloth (mais c’est s’embarrasser d’un outil, I WANNA FARNIENTE), soit en utilisant mon cleanance hydra d’Avène en étape 2.

 

En soi, il est vraiment bien, je le classerais plutôt du côté des démaquillants doux qu’on fait suivre selon l’envie d’un autre soin lavant pour parfaire le nettoyage. #tuchoisis

Si tu as la peau peureuse dès qu’elle entend le mot lavabo, il laissera un feeling de protection qui pourrait aussi te convenir (surtout que parfois, on a pas le choix, il faut VRAIMENT passer par le wash-wash du minois).

 

Bref, j’aime beaucoup la marque et ai surtout adoré leur crème hydratante, qui est topissime.
Au cas où tu cherchais un produit tout en un bio pour te débarbouiller le minois, celui-ci est pas mal et basique.

De l’organic-good-qui cleanse la bouille en douceur.

 

Des bisous les Caribous !
Environ 25 euros/100ml, disponible sur Love Lula #produitoffert
PS : la marque fournit la pompe directement dans la boîte 😉

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14 mai 2017

Le body scrub tout doux par Trilogy

Je sais qu’à une époque, les gommages étaient des soins rébarbatifs qu’on observait du coin de l’oeil sous la douche, la goutte pendouillant au bout du nez, en leur lançant un regard de rejet non dissimulé.

Faut dire qu’ils avaient sale réputation, ils arrachaient TOUS la peau – les muscles et les os – et on sortait de la brume chaude avec l’impression d’avoir passé son corps entre deux tapis de fibre de verre. Succulente sensation de vigueur.

J’en étais déjà venu à me demander ce que certaines compagnies foutaient au moment du l’essai produit, si tous les cobayes humains étaient tellement timides qu’ils n’osaient pas dire que les grains leur griffaient l’épiderme – je les imagine sortant des cabines de test avec les bras en sang en lançant un « non non ça va, tout baigne, excellent produit Jean-Charles, on se sent revivre ».

Enfin, depuis ça va, on a augmenté le niveau, on a droit à des textures plus recherchées et surtout moins « tiens, maintenant on arrive à voir ton cubitus sans ta couenne » – on vient de loin !

 

Un peu comme pour la crème contour de mirette, je sais par expérience qu’on a toujours du mal à se dire qu’on se paie « un bête » gommage à 25 euros, alors qu’on pourrait le bidouiller à la maison.

A priori, tout peut se popoter dans nos propres fourneaux, comme les fringues, un shampoing, des nettoyants pour le linge, on pourrait tout fabriquer nous-mêmes et puis finir par s’en contenter et ne plus rien acheter (je le fais pour certaines choses, par phases, mais je suis tellement nulle en dosage que je me sens bête avec 1 litre de matière en trop).

Le choix de se diriger vers une marque est tout à fait personnel, pas souvent réfléchi, mais très certainement guidé par une envie, un besoin, un vide à remplir.

Du coup je cautionne qu’on achète ce que l’on pourrait tambouiller chez soi, pour la simple et bonne raison que le marché existe aussi pour nous faciliter la vie – et m’éviter du gaspillage, hu hu.

 

 

Trilogy Exfoliating body balm

J’ai déjà testé pas mal de choses chez Trilogy, leur cleansing balm, le nettoyant crème, le sérum à l’églantier dont je vous parlais il y a peu de temps et la crème hydratante essentielle qui a ravit ma peau en mi-saison.

Autant te dire que toutes les pioches ont été bonnes, et que je n’ai pas été déçue par eux depuis que je les connais.

> Note à ceux que cela concerne: ils sont cruelty free, youpie !

 

Tu penses bien que dès que la marque sort une nouveauté, je suis au taquet comme un lémurien aux aguets : ça couine, ça attend son colis, ça sautille, la grosse marrade quoi. Y avait un peu de tout ça quand j’ai découvert leur nouvel exfoliating body balm.

Il se vend comme un moment de luxe et de plaisir, à se patiner la couenne avec des grains qui ne polluent pas les océans, et surtout sans compromettre l’intégrité de notre barrière naturelle.

Dedans il y a : de l’huile d’amande douce (assouplissante ), de la cire d’abeille (protectrice), un émulsifiant, de la poudre d’églantier et son huile (ça fait très « le saumon et sa cloutch de crème anglaise »)(antioxydant), deux conservateurs, du parfum (à base d’huiles essentielles uniquement), des traces de ce que l’on trouve dans les HE, puis (encore ?) les mêmes conservateurs (à mon avis c’est une erreur).

Prunus Amygdalus Dulcis (Sweet Almond) Oil, Cera Alba (Beeswax), Polyglceryl-3 Palmitate, Rosa Canina (Rosehip) Seed Powder, Rosa Canina (Rosehip) Seed Oil, Dehydroacetic Acid (and) Benzyl Alcohol, Parfum, Citronellol, Geraniol, Linalool, Dehydroacetic Acid (and) Benzyl Alcohol

 

Je vais vraiment avoir du mal à décrire la bête mais : il me fait penser au baume de Nominoë, avec des grains si fins et en parfaite quantité qu’ils ne sur-gomment pas, le tout avec une odeur qui est EXACTEMENT la même que celle de leur crème hydratante essentielle (très plantue gourmande).

Le petit bonheur, c’est son fondant.

J’en prends une bonne lampée et me l’applique sur tout le corps en admirant la dose fondre et parfaitement s’étaler. Je crois que c’est surtout ça, son apothéose, il a vraiment  une texture idéale pour un gommage, on sent qu’il est généreux, qu’il a envie de nourrir ta peau jusqu’aux aisselles, qu’il est là POUR TOI.

Je ne dirais pas que c’est mon préféré du monde entier (je suis une donzelle volage en cosmétique), juste qu’il est de bonne facture et que je le placerais facilement aux côtés d’un scrub de chez Rituals (un qui sent bon comme j’aime), de Karmameju, ou le coffee scrub de joik.

Il a juste un effet doudou en plus qui me RA-VIT.

 

Si tu es une paresseuse de première qui ne se tartine jamais le corps de crème en sortant de la douche, essaie peut-être de voir du côté des baumes exfoliants (pas forcément celui-ci, peut importe, il doit juste être riche en huile & beurre végétaux). C’est quand même plutôt sympa de se dire qu’une fois lavée et scrubée, il n’y a plus qu’à se sécher et enfiler ses vêtements.

Et avec une peau hydratée, souple et douce par-dessus le marché, je vois pas ce que tu demandes de plus Jeannine.

> Du savon noir peut-être ?

 

Des bisous les Caribous !
Disponible pour environ 27 euros sur Love Lula
(produit offert par le site sur demande)

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6 mai 2017

La peau qui repart de zéro

Ma peau a ses marronniers apparemment.

Chaque année c’est la même rengaine, je repasse en mode petite souris économe au printemps, pendant que mon minois bourgeonne pour bien me montrer qu’il en chie.
Et que la nouvelle saison ça ne lui inspire que boutonniauds – kystounays et pustules à tête pointue.

Fourte hein dis.

 

Je suis restée pendant plusieurs mois sur la case antibiotique et je vois qu’effectivement, pour ma part, le miracle a eu lieu avec la prise du cacheton, mais qu’en arrêtant, cendrillon a mué en laideron qui grogne râle et fait « gnagnagna » en pointant un doigt énervé vers ses boutons.

J’exagère, okaaaay, je suis juste revenue à un statu quo d’avant traitement, donc, en soi, j’ai plus perdu du temps – mon estomac – et un petit chouilla d’argent – qu’autre chose, mais au moins, je le clame, J’AI TENTE, MADAME !

 

Comment ça a été ?

J’ai donc pris du Tetralysal de janvier jusqu’à un bon fin mars sans vraiment espérer devenir une licorne au duvet lisse, je voulais juste la paix couennale.

 

Sur ces 3 gros mois :

  • mon bidou m’a clairement fait comprendre qu’il allait me mener la vie dure et que si j’avais envie de m’enfoncer un cachet dans le gosier, c’était mon problème, pas le sien – hello les nausées de compèt’, continues et indépendantes de ce que je pouvais manger (ou pas d’ailleurs)
  • du coup j’avais mal de tête – et je me plaignais sec comme une loque mal lavée
  • les intestins en ultra-vrac : sur un dessin, c’aurait mimé une boule de tricot très emmêlée. Sur les WC, c’était très compliqué.
  • la peau est super jolie, mais t’as vraiment pas envie de rire : faut savoir que, mon ventre et moi, c’est une relation psychologique de premier plan. S’il y a un chou dans la tarte aux fraises, la machine pète une durite et je suis de mauvaise humeur pendant toute ma phase d’éveil. Jusqu’au coucher. Hin hin.
  • Sur la fin, tu finis par « en oublier », par-ci par-là : parce que tu commences à avoir la nostalgie des bubons qui, soyons réalistes, me fichaient des douleurs infimes comparées aux crampes
  • les probiotiques que j’ai pris  n’ont pas vraiment aidé (je devais avoir les tuyaux complètement dégommés)

 

Le plan d’attaque a donc complètement changé depuis l’arrêt de ces dragées magiques.

J’accueille à nouveau une faune et une flore qui m’est totalement propre, ça s’envoie des jets de sébum et ça bouche des pores comme si aucun traitement n’était passé par là. REGARDE COMME JE SUIS HEUREUSE.

Paraît que ça doit parfois prendre deux ou trois essais pour tout éradiquer, mais je ne suis pas du tout d’avis de remonter dans le bateau. Et si je choisis les pustules plutôt que la peau lisse, c’est vraiment pour te montrer à quel point c’était une poisse d’avoir le bedon dans les chaussettes.

 

Savoir dire non

Je vais prendre le sujet dans son ensemble, donc en incluant n’importe quelle solution qu’un dermatologue vous aurait proposée pour en finir avec l’acné : si, à un moment où à un autre, après une bien longue période, vous voyez que les effets secondaires sont toujours aussi pénibles, que vous en venez à regretter l’ère des croûtes et des cicatrices, c’est qu’il faut peut-être un peu lever le pied.

Pourquoi pas peser les POUR et les CONTRE avec son propre ressenti, et arrêter si ça prend plus la tête que cela ne la rend belle.

Je ne dis pas de tout stopper et de ne plus rien tenter, je suis pas toubib. Juste qu’avec tous ces hommes en blouses blanches qui bidouillent des formules dans les labos, on n’a pas qu’une réponse A pour un cas particulier, donc pas de regrets si on laisse tomber un antibiotique qui nous rend la vie impossible, on pourra toujours en gober un autre plus doux ou plus belly-friendly.

Personnellement, j’étais arrivée à ma limite, j’en avais ras-la-patate-douce sur la fin de la deuxième boîte, au point où j’emmerdais l’homme en lui disant  hurlant que je refusais de me soumettre aux  deux dernières semaines de gélule. 

 

Tout remettre à zéro

Sachant que ce mois d’avril a été un mois de jachère pour mon corps comme mon compte en banque (j’ai eu mon permis, mais ça a son prix 😀 ) , j’ai très peu investi en soin dans ma salle de bain.

J’ai reçu une nouvelle eau micellaire de chez La Roche-Posay, qui tombait à pic parce que (celles qui me suivent depuis un moment le savent), à chaque fois que les bourgeons s’en donnent à coeur joie sur les arbres, moi je passe en mode diète dans ma routine avec une lotion démaquillante – un sproutch d’eau thermale – un sérum – une crème et basta.

Je crois aussi que ça a un peu à voir avec le changement de saison qui, par la porte ou par la fenêtre, va t’en faire voir de toutes les couleurs jusqu’en juin, du coup tu balises – on en parle de l’écharpe et la doudoune pour sortir le chien hier soir ?

 

DONC, cette eau micellaire Ultra, je la place au même niveau que ma Klorane à l’eau de bleuet niveau douceur, même si elle est bigrement plus efficace.

Je l’ai utilisée pendant deux bonnes semaines sans vraiment regarder la compo (je te dis, j’étais dans mon mois off, sans blog ni rien, j’avais perdu mes réflexes de chieuse).

Dedans, on a surtout de l’eau, deux PEG (tensioactifs), des émulsifiants, de la glycérine jetée plus loin et du parfum. Sans compter le BHT qui est un allergène reconnu.

water, peg-7 caprylic/capric glycerides, poloxamer 124, poloxamer 184, peg-6 caprylic/capric glycerides, glycerin, polysorbate 80, disodium EDTA, BHT, myrtrymonium bromide, parfum

 

Alors, je sais qu’on ne doit pas blâmer un clown pour son nez rouge, ça fait partie du packaging, mais JE TROUVE, maintenant que je connais un peu mieux la marque, que la composition a été torchée au dessous de bras et que, pour un produit de la gamme ULTRA (censée être réservée aux peaux les plus sensibles et allergiques), il y avait moyen de s’appliquer un chouilla plus. Juste une pitchenette.

J’aime beaucoup l’utiliser pourtant, apprécie ma schizophrénie cosmétique du « ta compo est limite mais je te vide quand même chaque jour ».

 

Personnellement, pas de réaction ni rien pour ma part. A part des boutons soudains même sous le nez, et les tempes, endroits « acne free » a priori.

Je sais qu’on rapporte parfois que les PEG seraient des générateurs de points noirs et pustules mais si ce sont bien les fautifs, la goumiche va te faire un update. Il est aussi possible que ce soit simplement une sorte de remise à niveau de ma bouille après traitement.

A part ça, si tu n’as aucun problème avec les compos chimiques et que les cotons sont tes amis, tu peux toujours l’essayer, elle démaquille vraiment bien.

Ensuite, un bon gros sproutch d’eau, j’éponge mon visage.

Puis je me tartine avec le sérum Trilogy – qui me ravit toujours autant – mêlé à la crème overnight replenishing cream de trevarno qui est sûrement ma plus belle découverte de ce début d’année.

Elle sent bon la lavande, elle rend la peau souple, elle se marie divinement bien avec mon huile d’églantier et ne coûte pas une blinde du tout par rapport à sa longévité; après 3 mois il m’en reste encore un bon tiers !

Niveau masque, je n’ai vraiment pas cherché loin, j’ai jonglé entre celui de Balm Balm et le Nominoë.

 

Je t’avoue que là j’attends juste un peu de passer par l’épreuve difficile du printemps, du froid mêlé au soleil, en continuant à mettre une bonne crème solaire le matin en allant à vélo au boulot (la anthelios XL fluide, parce qu’elle laisse la peau HYPER douce et la protège un max).

Et puis, tu sais quoi aussi ? Je vais pouvoir reprendre mes expériences avec les peelings, les acides de fruits, les trucs qui piquent et mangent les pomortes. Donc faudrait que j’arrête un peu de me plaindre, je peux enfin recommencer à jeter ma bouille dans les pots qui scalpent sans rien craindre (à part ma dinguerie).

Elle est pas belle la vie ?

 

Des bisous les Caribous !
Eau Micellaire Ultra – offerte par La Roche-Posay
(tu la trouves en para-pharmacie, easy peasy, 11e / 400ml)

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18 mars 2017

Tous ces microbes sur ton corps, ou le mystère probiotique

Tu les vois toutes ces pubs qui suggèrent de s’empiffrer de yaourts parce que « hum, je suis ballonnée », « j’ai du mal à digérer », « je suis constipée comme une autoroute en pleine heure d’embout’s » ?

On nous a pas mal tartiné la mirette avec le fameux pouvoir des lactobacillus depuis des années, pour aider cette pauvre flore intestinale qui n’arrive plus bien à bosser et se met au ralenti quand on abuse des bonnes choses.

Tu m’étonnes, la tequila boom boom et les tortillas n’aident pas ton pauvre transit.

Petit à petit, on a commencé à voir éclore des marques qui prônaient une application journalière de ces bactéries…sur la peau. Est alors née la branche des cosmétiques probiotiques, une sorte d’individu à trois bosses qui fait croire au miracle, et permettrait de répondre à quasiment tous les maux de couenne.

Parce que, jusqu’à présent, on prenait le taureau par le mauvais bout de corne, apparemment.

 

Little explanation

Tu ne le sais peut-être pas, mais chaque jour où tu penses être seul dans ta salle de bain, tu ne l’es pas. Tu charries, sur ta peau, des millions de petites entités qui se côtoient gentiment en t’aidant à résister aux agents extérieurs, à repousser les infections et garantir un territoire sain.

Cette petite jungle personnelle, spécifique à chacun, s’appelle le microbiote (well, hello !). C’est un peu comme avoir sa propre team défense directement SUR SOI, qui sera toujours de ton côté et agira comme bouclier.

Par-dessous ça, en faisant un énorme raccourci, on a le film hydro-lipidique (FHL), ce fameux mélange de sueur et sébum, complexe de minéraux et éléments nécessaire à la survie de tout ce petit monde.

 

Le sur-nettoyage, le mauvais choix de produits d’hygiène, les lésions et un mauvais train de vie entament ce petit manteau douillet.

Altérer cette carapace, c’est devoir attendre au moins 2 heures pour qu’elle se rétablisse, on influe sur la qualité de ce mélange en surface d’épiderme et risque enfin de tomber dans le cercle vicieux du : j’ai la peau dégeulasse qui brille, je vais la poncer, tiens elle brille encore plus, je vais encore plus forcer. Bah merde y a des boutons partout maintenant, je vais y aller plus fort tiens, à la hache. Vive la décapitation, et qu’on en parle plus. 

Quand on vous dit NE TOUCHE PAS (trop) à ta peau, cela a à voir avec toute cette flore cutanée.

 

Il faut visualiser la peau comme un environnement dans lequel évoluent, naturellement, des microbes. Plein de microbes. Il y en a de bons, comme de mauvais, et un déséquilibre va entraîner, dans la majorité des cas, une de ces réactions : une baisse de qualité du minois, une inflammation soudaine, un visage bouffi, de l’acné, toutes ces choses peu ragoûtantes…qui se résoudraient par l’application à grande louche de lactobacillus.

En gros, va t’acheter du lactimel et laisse tout couler sur ton petit visage en hurlant de joie.

 

Leurs avantages en application externe

  • améliorent la production de collagène
  • permettent de renforcer la barrière naturelle de la peau en la stimulant
  • rééquilibrent certaines flores microbiennes endommagées
  • réduisent l’inflammation
  • augmentent la fermeté de la peau

 

Leurs inconvénients

  • ils sont compliqués à intégrer dans une formule (doit être sans conservateur selon sa forme, stable au chaud comme au froid)
  • difficulté élevée pour les garder « vivants »; certaines techniques sont utilisées
    1. La première consiste à « tuer » la bactérie pour recueillir le contenu de la cellule, qu’on appelle alors « extrait probiotique »

    2. la deuxième : on désactive la propriété de multiplication dans le processus de chauffage et refroidissement au moment de la préparation de la formule. Le probio ne peut plus vraiment modifier le microbiome, mais on garde quand même les bénéfices de base

    3. la troisième : des probiotiques vivants directement incorporés dans le flacon, sans conservateur, pour ne pas les détruire

  • le recul comme les études sont très peu fournies en informations quant à son application sur le visage

 

Esse Skincare

La marque testée pendant le mois passé a été Esse Skincare, spécialisée (à un différent niveau qu’Aurelia Probiotics) dans toute cette nouvelle « technologie » et son implication en cosmétique.

J’avais vu une conférence youtube par le fondateur de la marque et le bidule m’avait grandement intriguée.

D’abord parce qu’on a l’impression qu’on vient de nous révéler qu’en fin de compte, l’épiderme n’est pas grand chose si on ne prend pas en compte toutes ces petites entités vivantes qui se baladent incognito sur nous. Et qu’ensuite, la révolution épidermique commence « ici », aujourd’hui.

Comme si on débutait une nouvelle ère Couenne.

 

J’ai testé la crème hydro moisturiser pendant un mois, en l’appliquant chaque matin, profitant de sa petite odeur de mousse au lait, elle s’étalait très bien mais laissait ce feeling un peu « collant sec » de certains hydratants cleans.

Dedans il y a :

De l’aloe vera (pas de l’eau, non non), de l’hv de jojoba (normalisante), du squalane végétal et de la glycérine (hydratants), de l’inuline et un oligosaccharide (PRE-biotiques, servent à nourrir les PRO-biotiques et assurer leur croissance), du lactobacillus (fameux probiotiques, sous forme « d’extrait probio » – voir cadre plus haut), de l’acide hyaluronique, deux antioxydants naturels, de l’anisate de sodium (antimicrobien, a du sens vu que les probiotiques ne sont pas en culture vivante dans cette formule), de l’huile de tournesol (drôle de place pour la mettre, mais why not), entre autres.

Aloe Barbadensis (Aloe Vera) Leaf Extract*, Simmondsia Chinensis (Jojoba) Seed Oil*, Squalane, Glyceryl Stearate Citrate, Glyceryl Stearate, Glycerin, Cetearyl Alcohol, Sodium Stearoyl Lactylate, Inulin, Alpha-Glucan Oligosaccharide, Lactobacillus, Dehydroxanthan Gum, Bisabolol, Sodium Phytate, Glyceryl Caprylate, Sodium Hyaluronate, Ascorbyl Palmitate, Tocopherol, Sodium Anisate, Helianthus Annuus (Sunflower) Seed Oil, Citric Acid, Lactic Acid, Levulinic Acid, Sodium Levulinate, Aqua, Vanillin, Gamma Decalactone. *ingredients from organic farming, 100% of the total ingredients are from Natural Origin, 78% of the total ingredients are from Organic Farming

100 % des ingrédients sont d’origine naturelle (n’oublie pas de lire cet article à ce sujet, cela ne veut pas dire que l’on garde TOUT sous sa forme initiale 😉 ), dont 78% issu d’agriculture biologique.

 

Très honnêtement, de mon point de vue, j’ai juste eu l’impression d’utiliser un simple soin qui sentait bon la crème de lait et rendait la peau bien hydratée – un peu cher donc, pour le résultat obtenu. Ceci étant dit, quand on regarde la liste, je la trouve plutôt pauvre en éléments repulpants et assouplissants – il ne faut pas oublier que l’aloe vera n’est pas un hydratant à la base, à moins d’y joindre une phase grasse. 

Donc, oui, peut-être que les petits microbes ont eu un effet sur la qualité de bouille, mais il me faudrait une version plus dosée pour être sûre de ma réponse.

 

Je laisse encore un point d’interrogation, même si en théorie, toute la science autour du microbiome humain (intestinal comme corporel) a du sens et sûrement un bel avenir devant elle.
J’attends juste que le sérum d’Esse avec des probiotiques VIVANTS dedans refasse surface sur Love Lula pour me le procurer.

A 90 pounds le flacon, y a bien intérêt à ce que cela fonctionne !

 

En tout cas, j’espère que tout mon charabia vulgarisé vous a permis d’y voir plus clair sur le sujet. Parce que de loin, dans ma caboche, j’avais l’impression de voir des vaudous s’agiter avec des crête de coq.

 

Des bisous les Caribous !
Esse Hydro Moisturiser, 45 euros / 50ml
Reçu sur demande

Caribouland
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13 mars 2017

La routine soin bien zen

Je ne vais pas ENCORE te faire un dessin de la misère d’une peau sous traitement dermato, mais, histoire d’établir un référent pour ceux qui n’ont jamais connu ça, c’est comme de passer son temps à se faire picorer le minois par des moineaux en se prenant un vent frais de plein fouet.

Ni vu ni connu.

Depuis quelques mois, désert cutané oblige, je tourne avec des produits qui sont censés remettre sur pied les bouilles les plus sèches et ridées, à 29 ans, je pourrais presque mal le prendre.

Oui, bon, entre nous, je l’ai mal pris. Même si c’était le bon réflexe et que je ne regrette absolument rien.

 

First of all, petit topo dermato

J’ai été parader chez Dr. Couenne il y a une ou deux semaines, en lui montrant que « là et là, c’est impressionnant comme changement, mais que sur le menton, j’ai toujours deux boules de kystes qui s’amusent comme deux compères de blagounettes salaces ». Pas un pour dégager tant que l’autre campe sur ses positions, ça s’accroche à la couenne comme une moule à son rocher. Merde.

Elle m’a dit de continuer l’antibiotique pendant deux mois supplémentaires, « pour faire fondre ce qu’il reste, on va les avoir à force », parce que s’il n’y a pas de réaction du comité Peau, va falloir inciser dans le gras et ôter les deux rigolos.

Et on ne veut pas en arriver là, n’est-ce pas.

 

De loin, je suis assez contente, parce que j’ai bien moins à me plaindre – goumiche qui la boucle est une goumiche heureuse. Mais de près, j’ai encore des cicatrices en dormance là où Gros 1 et Gros 2 sont tapis. Ce qui, parfois, me donne encore l’impression d’avoir le menton rouge d’acné alors que ce ne sont que deux ridicules taches qui ne veulent pas dégager.

En ajoutant par-dessus le marché que j’ai l’estomac en compote à cause des cachetons, je suis mi-figue mi-raisin, alors que, très objectivement, c’est le jour et la nuit par rapport à début janvier.

 

La routine de soin pour pores en manque de tout

Je pense que n’importe quelle personne qui prend des antibios pour son acné sera d’accord avec moi : la couenne devient lunatique au possible, on dirait un gosse hyperactif incapable de se décider entre un tour de balançoire ou fabriquer une compote de tourbe.

Souvent, l’hystérie ressemble au désert puis vire gras, honnêtement, j’ai beau avoir de la connaissance couennale sous la sandale, ça ne m’a pas menée bien loin dans cette bataille-ci; j’ai bien mis deux semaines avant d’arriver à un combo valable.

En gros, et comme chaque fois que je nage dans la semoule, j’ai repris mes basiques et me suis imposé un classicisme cosmétique. 

 

Le nettoyant / démaquillant

Pour le démaquillage, je suis toujours bloquée sur le baume, raclant les bords du De Mamiel (j’ai du lui dire adieu il y a peu)(snif snurf), ou vidant celui de chez Liz Earle.

J’avais énormément besoin de douceur, donc je préférais rester sur des valeurs sûres et grasses en amont.

 

En revanche, j’ai du dire adieu au no cleanse du matin, à grands renforts de « non non non » qui n’ont rien changé.

Vu que je mets un gel antibio sur certaines zones avant de dormir, je suis obligée de passer ma bouille sous le robinet le lendemain – j’ai donc plutôt choisi l’option safe qui avait déjà très bien fonctionné sur moi : la crème lavante cleanance hydra d’Avène.

Ce produit en particulier a plus une connotation nostalgique qu’autre chose, il a toujours fait partie de mes routines anti-pustules.

Au lieu de l’appliquer sur peau mouillée, j’en masse une petit noisette un peu partout sur peau sèche, puis je rajoute de l’eau au fur et à mesure. J’ai l’impression que le résultat est meilleur et plus hydratant (même si pour un wash-wash pour face à problèmes, il est déjà très doux). De temps en temps, je ressors aussi ma Foreo Luna, pour défriper la toile et ajouter de la douceur au nettoyage; j’avais complètement oublié le côté agréable de ce genre d’engin, mais il est plus que bienvenu !

 

Le sérum

Mêlé à la crème, de toute façon, pour avoir une meilleure pénétration et ne pas me retrouver avec un épiderme huileux (sinon on se tape un minois qui ne veut rien boire juste parce que l’hydratant n’arrive pas à traverser la barrière grassouillette)(et crois-moi, tu veux du soulagement i-mmé-diat).

Le massage a été une étape ultra importante pour m’éviter la bouille d’un crocodile en fin de vie, j’assouplissais les zones les plus déshydratées en pétrissant ma couenne comme un boulanger travaille sa baguette (de pain); qui dit meilleure texture dit maquillage qui ressemble à quelque chose dès le matin – sinon impossible de mettre un blush poudre sans ressembler à Mémé La Folle, c’aurait fait des paquets monstrueux.

En sérum, j’ai d’abord siphonné le Repair & Renew d’Angela langford, synonyme de bain de jouvence pétillant, il a très probablement sauvé mes journées et mon humeur en adoucissant les plaques des joues et en réduisant l’inconfort. Mais depuis peu, je suis passée à la fameuse huile d’églantier de Trilogy (best seller, toussa), en espérant qu’elle agisse un peu plus précisément sur mes taches résiduelles – ça fera ENCORE l’objet d’un topic grassouillette, tiens, tu l’avais pas vue venir, celle-là.

La crème

De manière générale, si vous commencez un traitement trash de la nouille, je vous conseille de ne PAS vous diriger vers le 100% naturel bourré d’huiles essentielles si vous n’y comprenez rien.

Certes, certaines d’entre elles font des miracles et permettent de remettre sur pied une peau ravagée jusqu’à l’os, mais…ce n’est pas ce qu’il y a de plus safe si on n’a jamais été du côté vert de la force.

 

Il vaut mieux éviter :

  • toutes les substances très/trop actives
    HE, donc, mais aussi les peelings – j’ai utilisé mon revival masque d’amour alors que je savais pertinemment que j’avais la face un peu réticente; résultat des courses, j’ai passé deux jours à me tartiner du baume B5 cicaplast pour rattraper la misère sur les joues. FACEPALM
  • des ingrédients en tête de liste auxquels on a jamais touché: on est déjà sur un terrain glissant, pourquoi tenter le diable ?
  • du purifiant/le décapage : ça tombe peut-être sous le sens, mais ça fait double emploi
  • et enfin de chipoter ou de vouloir traiter PAR-DESSUS le traitement pour que « ça aille plus vite ». NON.

 

J’ai choisi une crème douce chez Trevarno avec des composants safes et non agressifs que j’avais déjà pu croiser lors d’autres tartinages, donc pas de surprise de ce côté-là.

Il y a 3 huiles essentielles en fin de liste, mais, de un, elles viennent après les conservateurs – donc la dose est limitée à 1/3 de larmichette maximum par pot, et de deux, elles ne font pas partie des plus irritantes.

 

Dedans il y a : de l’eau florale de lavande (apaisante olfactive et cicatrisante), du macérât de carotte (pour la bonne mine grâce à la vitamine A, reconnu comme revitalisant des couennes sèches), de la jojoba (normalisante), de l’huile de germe de blé (réparatrice, apporte un beau glow), de la cire d’abeille (protectrice), un émulsifiant naturel, du beurre de cacao (assouplissant profond), de l’extrait de pamplemousse (conservateur), de la vitamine E (conservateur number 2), de l’huile essentielle d’encens et de bois de rose  (réparatrices) et de cèdre atlantique (tonique et bénéfique dans les cas d’eczéma).

Organically Produced* Lavendula Angustifolia Flower Distillate* (Lavender Flower Water) Sesamum Indicum Daucus Carota* (Sesame with Carrot Oil) Simmondsia Chinensis* (Jojoba Oil) Triticum Vulgare* (Wheatgerm Oil) Cera Alba* (Beeswax) Emulsifying Wax (Vegetable based-used to combine Flower Water and oil) Theobroma Cacao* (Cocoa Butter) Citrus Grandis* (Grapefruit Seed Extract) Tocopherol (Vitamin E) Boswellia Thurifera Essential Oil (Frankincense) Octea Caudata Essential Oil (Rosewood) Cedrus Atlantica Essential Oil* (Cedarwood) (Constituents of Essential Oil: Linalol, Gerariol)

 

Le soin hydratant de chez Esse Skincare aux probiotiques m’a tellement laissée pantoise qu’il m’arrive d’utiliser celle de Trevarno également le matin. De loin, elle me fait penser à la crème essentielle de Trilogy, avec une texture plus agréable encore et une odeur de lavande à relaxer les patounes les plus tendues.

Malgré son onctuosité, elle n’engorge pas les pores pour un sou (oui parce que le côté « riche » me décourage parfois, par peur de me muer en point noir géant). Elle laisse la couenne douce et souple au réveil – ce qui n’était pas gagné d’avance et surtout, sa composition est TOP DE CHEZ TOP sans pour autant exagérer au niveau des actifs. Un bien belle formule, quoi !

Son prix peut paraître élevé, mais il vous en faut peu pour le visage et le cou, donc un très bon achat sur le long terme  🙂

 

C’est vraiment TOUT, et super simple. Je ne me suis pas foulée, ça se résume à un baume, un nettoyant, une crème régulière et deux sérums.

Le contour des yeux est un peu oublié dans ma routine, j’ai juste eu le réflexe de monter ma crème jusque-là plutôt que d’investir dans un énième tube minuscule qui ne m’aurait servi à rien. Ceci étant dit, je garde toujours celui de La Roche-Posay sous la main quand j’ai la paupière qui tire (on a de ces problèmes).

Pour les lèvres, je t’en parlais ici, ça n’a pas changé d’un iota. Et quand je dois passer un moment en balade dehors, je fais ultra-gaffe au soleil – pas envie de me débarrasser de boutons et de décrocher la timbale en me brûlant avec les UV, au besoin, j’applique le fluide ultra-léger visage Anthélios de LRP en bonne couche. The best.

 

Mon seul regret, pour le moment est de ne pas pouvoir faire mumuse avec les bidules qui me plaisent le plus au monde comme les acides, les antioxydants, le micro-needling, de l’éclaircissant, du fouettant qui me ferait hurler « vavavoum! »… C’est tout un pan cosmétique que je boude par obligation, pour ne pas empirer ma situation.

Mais, oh god, qui me titille tellement. J’en rêve parfois, la nuit.

 

Des bisous les Caribous !
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Replenishing night cream de Trevarno, 25 euros / 60ml
Produits reçus par Love Lula sur demande

Caribouland
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