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23 avril 2018

THE gommage sans grains purifiant Nominoë

Quand on me parle de Nominoë, c’est l’amour fou, l’amour proche, l’odeur est typique et reconnaissable entre mille.
Certains disent que ça vient de l’ajonc, mais la campagne bretonne n’a pas été fort foulée par mes petons ces dernières années.
Je suis juste tentée de dire que ça sent BON, voire trop bon.
Mais que c’est un parfum typique qui ne plaira pas à tous les nez.

 

J’ai déjà testé tout la gamme (crazy girlita)
Le philtre de beauté : amour immense pour cette crème, parfait jus d’entre-saison pour les peaux normales à mixtes (même grasses tu sais). Les peaux sèches auront besoin d’un petit sérum nourrissant dessous
Le baume exfoliant : qui a une fois changé de formule, je lui préférais la texture du premier, mais il est rudement efficace et laisse la peau douce comme de la soie
L’huile hydratante : dure longtemps, sent la même odeur que le reste de la gamme, pénètre vite et bien, rien à redire
La mousse nettoyante : qui avait également changé de formule, mais était toujours aussi agréable à utiliser, nettoyait impeccablement le minois
Le masque nuit hydratante éclat : un vrai bonheur de se tartiner une bonne dose de produit couleur licorne sur la couenne, c’est un des produits les plus ludiques de la gamme. Aussi extrêmement hydratant et cocoon.

Cela me semblait donc logique de jeter mon dévolu sur le dernier né (qui est en fait apparu dans ma boîte aux lettres magique avant même que je ne clique sur « payer » en ligne).

 

Comme à chaque fois qu’ils lancent une nouveauté, je me mets en mode « agaga », je trépigne, j’attends de voir la version finale pour enfin lancer des ha et des hooooo. Je fais partie de la team de blogueuses qui teste leurs petits échantillons avant leur sortie, ça aide pour se faire un avis entre la formule test et le batch définitif.

 

Gommage sans grains Nominoë

En gommage sans grains, on a deux types 

  • Les mécaniques : qui vont sécher sous forme d’une petite pellicule qu’il faudra frotter en massages circulaires pour l’ôter – souvent peut recommandés pour les peaux sensibles car friction totale avec la couenne, je te dis pas les ravages à coups de rougeurs et plaques joyeuses sur le bout du naseau.
    Les gommages à grains font aussi partie de cette catégorie. 😉
  • Les chimiques : qui grignotent lentement mais sûrement ce dont votre peau n’a plus besoin pour la rendre claire et nette,
    ils peuvent être à base d’enzymes (action moins hard qu’avec les acides de fruits purs), d’AHA-BHA-PHA, ils sont là pour casser ce qui lie les cellules mortes à ton épiderme pour les dégager de ton beau minois. Peau fraîche garantie !

Et puis t’as Nominoë qui décide de mixer les deux, un peu de rub-rub, un peu de scrountch-scrountch et PAF, c’est magique Patrick !

Le petit tube ressemble si fort à celui du masque nuit hydratante que je les ai confondus à plusieurs reprises – une fois ouvert tu te rends quand même compte du malentendu, les textures sont totalement différentes.

Dedans il y a de l’algue brune (reminéralise le visage, plus d’infos sur les algues ici), de l’eau, de la microcrystalline cellulose (polymère naturel, donne de la sensorialité au masque), un alcool gras, de l’huile de coco fragmentée, des glycérides végétaux hydrogénés (assouplissants), un émulsifiant, de la criste marine (raffermissant cutané), encore un émulsifiant (qui rend la peau doudouce 🙂 ), de l’eau de mer (pour cicatriser et enlever les cellules mortes), de l’extrait de pomme (pour l’acide malique qui va gentiment aplanir le grain de peau), du genêt (pour son astringence), du blé noir (pour son action antioxydante et son coup de fouet), un alcool gras, de la glycérine et du parfum, entre autres.

ascophyllum nodosum extract*, aqua (water), microcrystalline cellulose, cetearyl alcohol, coco-caprylate/caprate, hydrogenated vegetable glycerides, glyceryl stearate, crithmum maritimum extract*, cetearyl glucoside, maris aqua (sea water), pyrus malus fruit extract*, cynara scolymus leaf extract*, cytisus scoparius branch/flower/leaf extract*, polygonum fagopyrum seed extract*, benzyl alcohol, glycerin, parfum (fragrance), dehydroacetic acid, glycine soja (soybean) oil, tocopherol, linalool, limonene, benzyl salicilate, sodium hydroxide

 

Pour commencer, la matière est généreuse et donne envie de s’en prendre une louche. Sans rire. c’est onctueux mais ferme comme une crème tassée et compacte, rien qu’au niveau sensoriel on y est déjà.

La première utilisation a été un record de pose, car, au lieu des 5 minutes conseillées, je l’ai gardé tout le temps d’un bain (et d’une série)(j’ai trouvé la parfaite table basse pour poser mon ordi pendant que je fais plouf plouf), à savoir 40mn au moins.

La bonne nouvelle : le masque n’est absolument pas irritant, malgré la présence d’extrait de pomme
La mauvaise nouvelle : si vous cherchez un vrai traitement aux AHA surdosés, il n’est pas celui qui vous conviendra

Une fois que le masque a gentiment séché sur le visage, on va pouvoir passer ses mains en mouvements circulaires pour enlever la pellicule (qui n’est ni sèche ni humide), cela va gommer sagement mais sûrement la bouille, activer les vaisseaux, donner du peps aux bajoues quoi.

Quand la majorité est tombée, on passe deux trois fois son visage à l’eau claire et on sèche.

 

Plus qu’un masque gommant ou exfoliant, je trouve que ce masque aurait du s’appeler « tonifiant ». Il y a des ingrédients qui participent au tonus qui nous manque au quotidien, nous donnent du peps, le massage apporte le rose aux joues, on voit qu’il y a de la vie.

Honnêtement, après la première application j’avais une belle peau parce que j’avais pris le temps de masser comme à mon habitude.

Vu son dosage ultra-réduit en composants potentiellement irritants, on peut entièrement faire confiance à ce nouveau produit de la marque si on est du côté sensible de la force.

A voir si l’exfoliation mécanique à l’aide de ses patounes sera tolérée ou non. Mais comme la crème ne se transforme pas en peel-off, on évite déjà de se retrouver avec un masque collé au visage et dans le refus total de bouger d’un iota de nos pores.

Non, ici, c’est comme une petit balade au grand air, ce n’est pas pénible, ça fait du bien, et on est tout détendu après.
Un vrai petit soin du dimanche pour commencer la semaine comme une reine.

 

Des bisous les Caribous !
Produit offert par MON CORNER B (merci beaucoup 🙂 )

Caribouland
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21 mars 2016

Quand Nominoë te transforme en licorne, Nuit Hydratante éclat

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Si j’avais le choix, je m’achèterais un ranch avec une maison aux murs bardés de paillettes, un verger où les poires poussent en forme de diamant, des poneys dorés caracolant sur la verdure.

Si j’avais le choix.

Je suppose que ça doit venir de mon obsession pour tout ce qui brille, reflète la lumière, les petits bonheurs sont quand même plus beaux quand ils évoquent une rivière étincelante.

 

Mais force est de constater que je ne suis pas une princesse, les peintures qui flashent font kitch (les gens n’ont aucun goût, la vie serait plus excitante vue par le trou d’un kaléidoscope), on ne parade pas chaque jour dans le métro avec une robe arc-en-ciel parce que ça choquerait et enverrait un bon coup dans la bienséance générale.

La frivolité ne se partage qu’en petit comité.

I get it.

 

D’où ma recherche constante de produits qui seraient comme une tiare intime, un bijou qu’on ne sort de ses tiroirs que pour les grandes occasions.

Et depuis quelques semaines, je suis une licorne euphorique dans ma salle de bains parce que j’ai mis la main sur un doudou de couenne auquel je suis complètement accro.

C’est d’ailleurs la première fois que je siphonne un tube de 40ml aussi vite, mais j’ai pas du tout honte.

 

Le masque nuit hydratante éclat Nominoë

En terme de masque, je suis assez parée. Je dois en avoir une dizaine d’ouverts (fofolle inside), la plupart plus proches de leur date de péremption que d’ouverture, ils paradent un peu partout sur les armoires en attendant leur tour de manège.

 

Quand on en reçoit un (ou achète un, c’est selon), on s’attend à :

  • avoir la peau repulpée comme une framboise
  • sentir une douceur incomparable sous les doigts
  • être dans une harmonie totale avec la déesse des soins de la couenne

Mais on oublie souvent une variable qui a toute son importance : le rituel.

 

Avec le masque Nominoë, je m’attendais à un énième « tu te tartines, t’attends, tu rinces, et TADAM », sauf que les bretons ont mis le paquet sur l’expérience sensorielle.

 

Au niveau de la composition, on trouve :

Helianthus Annuus Seed Oil* (de l’HV de tournesol, très pénétrante et riche en antioxydants), Glycerin (pour l’hydratation), Caprylic/Capric Triglyceride, Oleic/Linoleic/Linolenic Polyglycerides, Sucrose Laurate (du sucre pour l’hydratation encore), Parfum (le fameux, celui qui sent Nominoë), Sucrose Stearate (émulsifiant), Aqua, Eryngium Maritimum Callus Culture Filtrate (du chardon bleu des dunes, pour la fermeté), Polygonum Fagopyrum Seed Extract (le blé noir, tonifiant cutané), Cynara Scolymus Leaf Extract* (de l’artichaut, pour booster le renouvellement des cellules), Cytisus Scoparius Branch/Flower/ Leaf Extract*(du genêt, pour le côté purifiant), Ulex Europaeus leaf/root/stem extract (de l’ajonc, pour apaiser), Centaurea Cyanus Flower Water*(du bleuet, pour bazarder les rougeurs des peaux sensibles), Benzyl Alcohol, CI 77891 (Titanium Dioxide), Mica (à l’origine de la couleur de dingue), Glycine Soja Oil (de l’huile de soja, adoucissante), Tocopherol, Dehydroacetic Acid, Linalool, Benzyl Salicylate, Lactic Acid, Geraniol. * ingrédients issus de l’agriculture biologique 98,5% du total des ingrédients sont d’origine naturelle. 43% du total des ingrédients sont issus de l’agriculture biologique.

Une base très hydratante et pas mal d’ingrédients pour remettre sur pied n’importe quel minois en manque de fermeté, tonus, et sujet aux rougeurs. On croise de l’ajonc, composant de la majorité des produits de la marque et que j’adore à haute dose dans leur philtre de beauté. Mais aussi d’autres substances qu’on a peut l’habitude de voir dans les cosmétiques bios (l’artichaut, le genêt, le chardon bleu des dunes).

Tout ça s’annonce comme un cocktail plaisir après une journée à se traîner les baskets, quand on a envie d’un bain chaud, d’un chocolat (bah chaud aussi) et de ne rendre de compte à personne.

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Là où je suis gaga comme une gamine qui reçoit son premier vélo deux-roues à pompons, c’est que ce masque est absolument sublime.

Un magnifique festival de nacres roses (et vertes, on dirait) explose devant les mirettes, chaque changement de lumière me faisant trépigner d’impatience à mesure que la couleur se métamorphose.

L’expérience

Le premier soir, je ne voyais pas l’intérêt de me l’appliquer sur la bouille, je préférais observer la matière évoluer sur le dos de ma main, aplat duochrome qui avait le don de me relaxer le neurone (oui, j’en ai qu’un, blogueuse beauté oblige).

Une fois posée sur la peau, la matière devient moins nacrée, on brille de mille feux, certes, mais pas de quoi effrayer un hibou en passant sa caboche par la fenêtre.

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Au niveau de la marche à suivre, j’ai adapté les instructions à mon rythme d’escargot :

  • je le laisse poser en couche moyenne pendant plus d’une heure (contre les 10-15 minutes recommandées) – c’est le moment où il stagne un peu et se transforme en plaid pour la bouille
  • puis je masse pour chauffer la matière et la rendre plus huileuse
  • enfin, j’alterne malaxage de la bajoue et spray d’eau thermale (pour émulsifier le masque) afin d’aider le soin à pénétrer dans mes pores
  • s’il reste un surplus trop important après mes 5 bonnes minutes de pétrissage, je tamponne doucement avec un essuie
  • puis au dodo

 

Il a absolument tout pour lui.

Quand on l’applique, on sent qu’il enveloppe la peau comme un cocon de douceur (pas humide ni huileux, plutôt baumesque), l’odeur se développe lentement pendant qu’on vaque à ses occupations de nuit (me concernant: apprendre à Marty à s’asseoir comme un lémurien).

Et comme il ne faut pas le rincer, on profite du soir au matin de tout ce qu’il peut apporter de bon à l’épiderme – le minois tendu, les pommettes rebondies, le doux parfum des plages bretonnes sans le relent des algues.

 

Vu que j’ai absolument tout testé chez eux, je peux assurément dire que ce soin est une tuerie qui rendrait n’importe qui heureux. Pour les reflets, avant tout, mais aussi son effet fifou sur moi le lendemain, y a pas à tourner trois plombes autour du pot, CA HYDRATE GRAND-MERE et apporte un bon coup d’éclat.

Concernant la contenance (et c’est bien le seul bémol), j’aurais aimé du 50 voire 75 ml histoire de pouvoir un peu plus en abuser et ne pas devoir me modérer quand le tube aspire plus d’air qu’il ne délivre de produit (c’est là qu’on sent qu’il arrive en fin de vie).

 

CLAIREMENT, de tous les sleeping masks testés, le Nuit Hydratante est le plus convaincant de la troupe parce qu’il combine moment détente et cure intense d’hydratation.

Après, à toi de voir si tu as autant envie que moi d’être une licorne nocturne qui sent bon la lande.

 

Des bisous les Caribous !

Masque Nuit Hydratante Eclat, reçu par la marque, à shopper sur le site de Nominoë
25 euros les 40ml

Caribouland
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9 juillet 2014

Les petits basiques beauté que j’aime

soin1.jpgLes achats massifs ne sont pas mon truc (même avec 1000 euros, je serai capable de ne m’acheter qu’un seul vêtement plutôt que plein de petites fringues), la démesure transformerait mes armoires en hall de stockage cosmétique et ce n’est pas l’idée que j’ai du consumérisme raisonnable.

Du coup, je la joue fine, j’accumule des basiques, c’est mon truc, mon trip, trouver des indémodables, ce genre de produits qui répondent à plein de problèmes et font leur job sans faillir.

Pareil pour le maquillage, dès que je sens que je n’arrive pas à vivre sans un blush ou un mascara, c’est foutu, il se passe un syndrome bien connu sous le nom de « je vais dormir mais je pense déjà à comment je vais me maquiller demain », petit sentiment de contentement qui persiste jusqu’au matin quand je m’assied enfin pour prendre soin de moi avant de m’habiller.

 

Je vous ai donc pondu une liste de produits que je pourrais conseiller les yeux fermés, pour leur grande tolérance et mon recul appréciable dessus.

WELCOUME to the Cocoon awards et enjoy !

 

Les soins

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Le Philtre de beauté de Nominoë

Sûrement une des crèmes que j’adore le plus au monde, avis inchangé après avoir mangé plus de trois petits tubes. Elle hydrate parfaitement la peau, elle la laisse rebondie et pulpeuse comme les fesses d’une framboise dodue et son effet raffermissant est directement visible.

Ce que j’aime le plus dans ce soin c’est son effet douceur sur mon visage, comme de la soie (non je ne délire pas). Elle est plus adaptée aux entre-saisons, comme septembre ou au début du printemps, mais même en été j’y succombe, quand les jours jouent à me faire danser sous la pluie comme une marionnette.

 

L’ultrasimple de Lush

Utilisé pendant plus d’un an, et racheté illico.

Ce baume a une composition quasiment impeccable (juste deux parabens pour la conservation), et même si j’ai cherché d’autres produits du même genre à tester, j’ai fini par me réapprovisionner en boutique dès que j’ai eu fini le premier pot. Il démaquille parfaitement, ne coûte pas l’Amérique entière et laisse la peau douce et apaisée.

Pas de grand discours, il s’agit du meilleur démaquillant gras simplissime que je connaisse, même s’il est souvent décrié parce qu’il « ne se rince pas bien à l’eau chaude ». Il faut l’ôter avec un linge en coton bien humide et les résidus partent sans problème, un bon outil change tout.

 

Le Sérum Midnight recovery concentrate, le skin rescuer et l’ultra light daily defense de Kiehl’s

Ah oui, Kiehl’s quoi.

J’ai du me séparer de la première bouteille du midnight parce qu’après un an et demi d’utilisation, je n’avais siphonné qu’un tiers du flacon, et la date après ouverture était dépassée.

J’ai déjà entamé un deuxième flacon et je suis toujours aussi fan : c’est le sérum que je sors quand j’ai besoin d’un coup de boost, de revitaliser ma peau, quand elle est à la dérive et boutonneuse, ou sèche à cause du temps froid de l’hiver. L’odeur appelle le calme et le massage, je l’applique par pressions pour répartir l’huile puis je passe à mon soin de nuit. Un des meilleurs sérums à tout faire à la texture fine vraiment divine.

Le skin rescuer est une crème basique qui m’a duré plus de 8 mois en utilisation biquotidienne (au point qu’à la fin j’en avais ras-le-bol). Mais pour sa longévité et son très bon rapport qualité-prix, elle vaut vraiment le coup de pore (coup d’oeil, coupde pore, mouahahah), surtout qu’elle diminue vraiment les rougeurs diffuses quand la peau est un peu irritée.

Et pour finir leur solaire, la Ultra light DD, impeccable, elle a vraiment une texture incroyable pour une crème solaire et s’applique comme un charme. Rien à signaler, ni boutons ni taches dues au soleil, un excellent produit qui protège sans blanchir le teint.

 

Cicalfate lotion et crème et huile essentielle de niaouli

Après trois flacons de la lotion, on peut aisément dire qu’il s’agit de mon meilleur allié pour tuer les indésirables, surtout les boutons sous peau que j’avais en grappe l’an passé, mes kystes, qui mettaient trop de temps à partir si je ne faisais rien.

J’appliquais d’abord de l’huile essentielle de niaouli à l’aide d’un coton tige pour mieux cibler la pustule, puis je mettais une sclotch de lotion par-dessus. Son effet patch tenait toute la nuit et dès le lendemain j’y voyais un peu plus clair. La cicalfate en crème prenait ensuite le relais s’il restait une croûte et cicatrisait la zone en un temps record.

 

L’eau thermale Avène et le masque hydratant apaisant

Que dire. En brume le matin pour se rafraîchir, en surdose le soir quand j’avais des irritations cutanées, c’est ma lotion à tout faire qui m’a très souvent sauvé la vie. Combinée avec le masque hydratant apaisant, elle fait des merveilles : j’applique le soin en grosse couche, et je pshiiit l’eau d’Avène à intervalles réguliers tout en massant le produit.

Un combo qui fonctionne quand la météo joue au yo-yo avec ses températures.

 

Eau florale démaquillante au bleuet de Klorane et eau nettoyante cleanance d’Avène

J’en ai vidé des bidons, comme une grande malade, mais ces deux lotions démaquillantes sont des basiques impeccables dans leur genre : la Klorane pour enlever le maquillage le soir quand j’utilise ma clarisonic, elle ne laisse pas la peau collante, elle enlève tout sans broncher et ne coûte pas un rein. A noter que son packaging est très bien pensé pour ne pas perdre trop de produit (contrairement à la sébium de Bioderma).

Pour le matin, l’eau nettoyante cleanance d’Avène est un bon basique pour une routine sans eau du matin, surtout quand on a une peau réactive/sensible et mixte : elle n’a pas tellement de micelles, donc il ne faut pas compter sur elle pour décrasser votre peau. Elle tient plutôt le rôle d’une lotion fraîcheur qui réveille la peau sans l’agresser. TopTopTop!

 

L’huile de douche Eucerin

Je n’ai jamais fait de revue dessus, pourtant je l’ai utilisée pendant des mois et des mois, son bidon d’un litre très économique se vidant lentement. Même si j’adore l’huile de douche de nivea pour son parfum qui me rappelle les retours de plage en Sardaigne, la Eucerin respecte la peau, l’assouplit et la nettoie comme un charme, elle est cocoon.

 

Le maquillage

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Pot rouge en fresh melon et brow shaper de Bobbi Brown

Je suis amoureuse de ce blush. D’un amour infini qui va jusqu’au ciel, je l’utilise tous les jours depuis que je l’ai acheté, parce qu’il réveille instantanément mon teint et apporte une touche de « c’est le printemps, je pète la forme » sans en faire trop. Il s’applique au doigt (donc se suffit à lui-même), perdure toute la journée sans s’affadir et ne me donne pas de boutons.

Incroyablité de blushouille.
Quant au brow shaper, j’ai vraiment du mal à m’en passer depuis mon coup de coeur en boutique quand la vendeuse m’en a appliqué sur mes petits pwalus. Il dompte mes sourcils dodus en leur laissant leur côté « broussaille qui s’assume ». Sa plus grande qualité étant qu’il résiste à la pluie, la sueur et aux frottements légers, et qu’il ne fait pas de chutes pendant la journée. Love.

 

Le mascara Givenchy Noir Couture et le High Impact de Clinique

Au niveau des cils, je n’ai pas à me plaindre, ils sont longs et nombreux, donc je recherche souvent de quoi les séparer comme il faut sans que les paquets soient au rendez-vous (pas fan de l’effet twiggy sur moi, les cils collés ne me donnent l’air pas réveillée).

Du coup quand j’ai découvert le mascara noir couture, j’ai eu une révélation.

Un peu quitte ou double, certaines personnes ne l’aiment pas du tout quand d’autres l’adulent, je fais partie des conquis, même si j’utilise le plus souvent la boule à la fin de la brosse pour me maquiller (ce qui me fait penser que le Phenomen’eyes de la marque me conviendrait peut-être mieux).

Le High Impact de Clinique donne un peu le même genre de résultat, un air de « j’ai plein de cils » séparés un à un, mais avec un peu moins de volume, j’utilise donc plus souvent le Gyvenchy en soirée et l’autre de jour. Ce sont les deux seuls mascaras que j’ai qui ne deviennent pas pâteux aux fil des mois : la texture est pareille du début à la fin du tube, chose rare !

 

La cream foundation de Mud et l’expert face brush de Real Techniques

C’est l’alliance naturelle, un fond de teint crème fabuleux et bien réparti grâce au meilleur des pinceaux RT, l’expert face brush.

Il est doux, il sèche en deux secondes après le lavage et ne bouge pas d’un poil (ni n’en perd). On parle plus souvent du buffing brush de la marque, qui a eu droit à un grand moment de gloire sur le net, mais personnellement, vu la densité et sa coupe courte, l’expert face brush est parfait pour bien écraser la matière sur le visage et la répartir uniformément.
Je ne m’en sépare plus non plus de la cream foundation de Make-updesignory, elle a le bon taux de jaune dedans et est extrêmement chargée en pigments, donc a little goes a long way et elle annule la rougeur de mes cicatrices persistantes comme une reine.

 

Les outils de soin

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Le magic mitt de Jane Iredale

Depuis que je l’ai, il n’a pas bougé, il est resté fidèle à lui-même à part quelques peluches DANS le gant, mais on s’en balance les rouflaquettes, je l’adore.

Pour ceux qui n’auraient pas suivi, il s’agit d’un gant démaquillant, qui débarbouille, enlève toute trace de make-up et de résidus de sébum/sueur uniquement grâce à de l’eau chaude ou tiède.

Une petite révolution que je réservais aux jours de flemme et qui s’est finalement imposé deux fois par semaine de lui-même. Aucun regret, je le trouve efficace sans arracher l’épiderme, et malgré un matériau qui paraît fragile, je suis contente qu’il tienne la route, plusieurs mois après l’avoir acheté.

 

L’embout peau délicate clarisonic

Après être passée de l’embout pour peau sensible  à l’embout delicate, je ne voulais plus revenir en arrière, no way. Le nettoyage est doux, les poils sont bien plus serrés (et nombreux ?), et donnent une impression de massage plus intense (graou le palpage de la bajoue).

Je crois toujours aussi fermement au pouvoir intense et sans limite du nettoyage à la Clarisonic, et, après plusieurs mois, je ne l’utilise plus que 3 fois par semaine pour maintenir un terrain viable et bien poli sur mon visage, j’entretiens le jardin quoi.

 

Les muslins cloth de Liz Earle

Souvent, on me demande quel tissu utiliser avec un baume démaquillant qui ne s’émulsionne pas, et je rétorque sans faillir qu’un bête carré de coton suffit.

Dans mes tiroirs, les muslins cloth de Liz Earle sont toujours de la partie, et même s’il en existe d’autres sur le marché, tant que ceux-ci ne me lâchent pas, je ne vois pas l’intérêt d’aller voir ailleurs. Après un an et demi, pareil, la fabrique est quasiment intacte, sans tache incrustée, tout part au savon de marseille et un nettoyage en machine de temps en temps les entretient. C’est de la bonne.

 

Voilà.

Je reste une goumiche, j’ai mes favoris du moment, mais c’est surtout dans le temps que je vois si un produit vaut vraiment le coup et qu’il a droit au badge « sans lui, je meurs avec un poireau en travers de la gorge tellement je me morfonds, bleuaaargh ».

Une histoire qui ressemble à une boîte de chocolats Merci, dans laquelle j’aime plusieurs goûts, mais surtout le praliné, qui fond dans la bouche et m’emplit de bonheur.

 

Il ne faut parfois pas chercher très loin quand un produit convient et qu’on y revient, qu’on en use et en abuse jusqu’à racler le fond d’un pot, c’est qu’il y a une petite évidence qui se dégage dans l’air : on tient un basique qui remplit tous les critères.

Et on en demande pas plus, Mylène, vraiment pas.

 

Des bisous les Caribous !
Liste des produits testés sur le blog

Caribouland
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10 juin 2014

La nouvelle mousse nettoyante Nominoë

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Quand j’ai commencé à utiliser la clarisonic, je savais que je devais encore plus faire attention à mes nettoyants.

Pas de face-wash trop agressif, toujours aller vers la douceur et cibler les rayons bisounours des magasins et e-shop favoris (ceux qui envoient du rêve sous LSD), et ne jamais, JAMAIS regarder en arrière.

Donc quand j’ai vu que Nominoë en avait profité pour revisiter sa popote derrière mon dos et sortir une nouvelle version de la mousse nettoyante, j’étais contente mais sceptique : parce que parfois, les recettes traditionnelles souffrent d’un changement, même mineur, et perdent les faveurs des plus grands gagas de cosmétiques, comme moi.

C’est en ouvrant My Little Box de mai que j’ai découvert avec plaisir une petite bouteille que je connaissais bien, cachée au fond du pochon de soins comme une petite fiole perdue.
Je voulais attendre le soir pour la tester, sauf qu’en bonne fille à la volonté de fer blanc, cinq minutes plus tard, j’étais totalement démaquillée et armée de ma Mia pour tester ce nouveau cru.

Incroyable goumiche.

 

La différence entre l’ancienne et la nouvelle

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Elle se situe au niveau de la base lavante, qui s’est enrichie de sucrose (pour adoucir la peau) et de tensioactifs encore plus doux, le reste de la composition étant à peu de choses près pareil.

 

Ancienne version

aqua (water), saccharum officinarum (sugar cane) extract*, cocamidopropyl betaine, sodium lauroyl sarcosinate, glycerin, cynara scolymus (artichoke) leaf extract*,polygonum fagopyrum seed extract*, cytisus scoparius branch/flower/leaf extract*, crithmum maritimum extract, ulex europaeus leaf/root/stem extract, parfum (fragrance),dehydroacetic acid, sodium chloride, benzyl alcohol, linalool.*

 

Nouvelle version

aqua (water), sucrose*, cocamidopropyl betaine, sodium lauryl glucose carboxylate, lauryl glucoside, glycerin, cynara scolymus (artichoke) leaf extract*, cytisus scoparius branch/ flower/leaf extract*, polygonum fagopyrum (buckwheat) seed extract*, crithmum maritimum extract, ulex europaeus leaf/root/stem extract, sodium chloride, citric acid, parfum (fragrance), benzyl alcohol, dehydroacetic acid, sorbic acid, linalool*

 

Là où j’attendais la marque au tournant, c’était au niveau du rendu sur la peau après nettoyage.

Vrai, avec l’ancienne version, ma peau ne tirait pas, mais il manquait ce petit plus qui me permettait de dire que oui, il ne s’agissait pas simplement d’un nettoyant qui mimait l’ouate lavante, mais qu’il pouvait faire le ménage en prime.

 

Le constat est surprenant puisque les simples changements dans la liste d’ingrédients l’ont rendue vraiment hydratante pour la peau, de quoi la monter au même rang que la Cattier sur l’échelle d’amour de mon petit coeur, j’ai donc maintenant deux nettoyants qui se disputent le même barreau, c’est bien le bonheur.

Je trouve juste que l’odeur est un chouilla différente de celle de l’ancienne version.

 

Un petit code promo pour vous remercier

Je vous en avait déjà touché un mot, mais Nominoë a désormais sa propre boutique en ligne où (fait plus qu’intéressant) les frais de ports sont gratuits pour l’Europe !

Cette nouvelle version de la mousse est vendue en exclusivité chez les bretons, et, pour tout achat vous recevrez le format voyage en mentionnant MONABELLA (ça vaaaaaa, je n’ai pas choisi le code) dans la zone « message au vendeur » au moment de payer sur Paypal.

 

Le concours muy caliente

Vu que vous avez été des amours depuis le début de ce blog, et pour finir la triade de concours qui ont permis de dignement fêter l’anniversaire de Rose Cocoon, c’est Nominoë qui clôt les festivités avec un lot à vous faire chavirer l’épiderme cet été…

Je vous présente la NomiBox (bave pas).

nomibox.jpg

 

Elle comprend :

  • une version voyage de la mousse nettoyante

Un magnifique cadeau d’une valeur de plus de 100 euros, non ce n’est pas une blague !
Pour participer :

  • il faut habiter en Belgique, en France, en Suisse, en Allemage, au Luxembourg, en Espagne ou au Portugal
  • entrer  une adresse mail valide dans le formulaire de commentaire pour que je puisse vous contacter facilement si vous êtes le fifou gagnant
  • répondre à cette question  sous cet article (OBLIGATOIRE) : combien y a-t-il de consonnes dans l’alphabet ?

 

Le concours prendra fin mardi 24 juin à 18h30, et le gagnant sera tiré au sort, comme d’habitude !

Aucune réponse divulguée sur les réseaux sociaux, facebook, twitter ou autre ne sera validée, uniquement celles sous ce billet.
PS : les commentaires sont modérés jusqu’à la fin du concours !

Mais vous pouvez quand même venir nous faire coucou sur nos pages facebook, Nominoë et Rose Cocoon, parce que plus on est de dingodingues, plus on rit !

 

CONCOURS TERMINÉ !!

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Que la force soit avec vous, bande de Caribous !
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21 juin 2013

Mes soins gnougnougnouh de l’été par Nominoë !

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Gnougnougnouh, dans mon langage de saperlipopette, ça veut dire « les favoris », ceux que j’aime ou SURLOVE.

Je suis saisie d’un glougloutement qui va de la tête au pieds (sûr que c’est possible), et je me sens bien rien qu’à penser au plaisir que procurent ces soins.

Si je voue un culte à cette marque et que je vous en ai déjà parlé ici et en des termes élogieux, c’est parce que je suis assez addict à l’odeur des produits qu’elle propose.

 

Dans la vie, certaines odeurs m’écoeurent vite et comme j’ai le nez capricieux, je plutôt attirée par les senteurs florales qui évoquent le bien-être, la nature, les balades en forêt, ou le gros bouquet de fleur qui s’épanouit dans un vase posé sur la table, plutôt que par les parfums sucrés.

 

Nominoë c’est plutôt l’odeur d’un souvenir, que je tiens de je-ne-sais-où, qui m’évoque la chaleur d’été, les câlins, les quelques brins d’herbe roussis du jardin, le soleil.

Et depuis la première fois où j’ai senti ce petit bonheur en flacon avec le philtre de beauté, je n’arrive plus à m’en défaire.

(Je sais que ça va faire pleurer Jérémias le koala, un des co-fondateur de la marque, c’est pour ça que j’en rajoute, mais j’en pense pas moins)

 

Le gommage pour le corps

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J’ai la peau du corps ultra-sèche et ce, quelle que soit la saison.

Même si les dégâts sont moins importants en été, j’aime bien avoir cet aspect de peau un peu veloutée, qui réfléchit la lumière parce qu’elle est bien lisse et pas aussi rugueuse que les bords d’un cratère.

Pour tout gommage, jusqu’à présent, j’utilisais du savon noir et son petit gant kessah, transformant la salle de bains en hammam pour faire « genre je profite de la magie de l’instant et je sue par tous mes pores ».

Oui MAIS, ça prend du temps pour recréer l’ambiance, et je n’ai pas toujours la motivation nécessaire pour commencer à me faire un round tartinage – rinçage – gratounette au gant – re-rinçage – séchage.

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Du coup, j’étais contente de revenir à une version classique de l’exfoliation maison : une pâte, des grains, et roule ma poule.
Le pot est tout à fait simple, et UN PEU trop petit à mon goût.

Bon, il faut aussi se remettre en situation, on n’est pas censé se scalper la peau tous les jours avec un produit de ce genre, mais, foi de moi, une fois que t’y goûtes, t’en prendrais même au petit-déjeuner avant d’attaquer les rillettes.

 

La texture est particulière

On sent la base qui est huileuse et extrêmement facile à manier et les akènes de fraise mêlés aux grains plus petits de sucre qui servent à exfolier la peau

Sesamum indicum (sesame) seed oil*, saccharum officinarum (sugar cane) extract*, caprylic/ capric triglyceride, aqua (water), cera alba (beewax)*, sodium lauroyl sarcosinate, fragaria vesca (strawberry) seed, parfum (fragrance), arachidyl alcohol, glyceryl dibehenate, behenyl alcohol, tribehenin, crithmum maritimum extract, tocopherol, glycine soja (soybean) oil, helianthus annuus (sunflower) seed oil, arachidyl glucoside, glyceryl behenate, sodium chloride, linalool, geraniol.
* ingrédients issus de l’agriculture biologique

 

Pour la quantité à utiliser, ça dépend principalement de ton envergure corporelle, moi j’en prends une bonne cuiller à soupe.

Je l’ai reçu il y a deux mois et il m’en reste pour trois ou quatre utilisation (rooooh ça va, j’avoue, je l’utilise plus que de raison).

nominoe3.jpgJe recommande de l’utiliser sur peau sèche, parce que ça n’a pas forcément le même rendu nourrissant que sur peau humide (rapport à l’eau qui fait barrière, je suppose).

Tu étales, tu travailles la matière, tu vas commencer à sentir la peau s’assouplir PENDANT le gommage, c’est assez excellent.

Souvent, je laisse un peu poser pour encore un peu profiter des actifs, puis je rince le tout assez facilement en sentant que ma peau est ultra-douce sous la douche.

Résultat : une peau de bombasse et qui glisse comme une piste de ski (j’ai pas plus constructif comme conclusion).

 

L’huile pour le corps… 

nominoe4.jpg…et les cheveux, et pour soigner les mains, et les pieds aussi, et pour se parfumer en douce avant d’aller faire dodo.

En fait, depuis que je l’ai, cette huile me suit partout.

 

Au début elle trônait dans ma salle de bains, comme une huile pour le corps classique, puis j’ai commencé à l’utilisé sur mes mains le soir avant de dormir, puis le matin après m’être lavé les cheveux pour les nourrir, ou en fin de brushing pour les parfumer et hydrater les pointes.

Je m’en sers après le rasage aussi, pour chouchouter instantanément mes gambettes.

Le flacon pompe contient 100ml de produit, et croyez-moi c’est largement suffisant.
 

 

Dedans il y a

  • de l’extrait de blé noir pour lutter activement contre le vieillissement prématuré de la peau, qui a une action anti-oxydante
  • de la criste marine, la reine du raffermissement à la bretonne
  • de l’huile de sésame, bonne pour régénérer la peau et l’assouplir (très conseillée pour les peaux sèches, eczémateuses ou qui desquament fort)

 

Coco caprylate/caprate, caprylic/ capric triglyceride, sesamum indicum (sesame) seed oil*, parfum (fragrance), crithmum maritimum extract, polygonum fagopyrum extract, tocopherol, glycine soja (soybean) oil, helianthus annuus (sunflower) seed oil, linalool, geraniol.
* ingrédients issus de l’agriculture biologique

 

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C’est rare que j’utilise un produit avec autant de régularité.

Cette huile pénètre très vite, elle a une texture un peu sèche, qui ne donne pas du tout une impression de gras et permet de s’habiller rapidement après l’application (excellent point pour ceux qui n’aiment pas attendre trois plombes).

L’odeur typique de Nominoë tient bien pendant la journée, sans qu’on crée une hécatombe dans le bus en asphyxiant les passagers tellement on cocotte sec.

Niveau efficacité, c’est tout aussi excellent que le gommage, on se retrouve avec une peau hydratée et toute douce en deux minutes chrono.

 

La petite conclusion de la goumiche

Concrètement, ces produits valent leur prix (mais on demanderait bien un plus gros contenant pour le gommage).
Si vous avez déjà goûté au philtre de beauté ou à la mousse nettoyante de la marque, vous ne devriez pas être dépaysés, c’est la même odeur.

En fait ce qui me réjouis le plus c’est que le plaisir à l’utilisation participe à ma motivation pour les dégainer dans la salle de bains, sans que je fasse des « pfff » et « roooh ».

 

Comme une révélation, je me dis que OUI je peux aussi prendre soin de ma peau ultra-sèche avec des soins qui vendent du rêve (et pas seulement avec mon gros bidon de Trixéra, qui est efficace, mais bon, pas fort girly-bandant).

Enfin voilà, j’ai élu ce duo « soins gnougnougnouh de l’été » parce qu’ils le valent bien.

Toi aussi gnougnoute toi le body, tu verras, tout paraîtra fade après l’expérience Nominoë.

 

Des bisous les Caribous !

Le gommage / 29 euros les 150ml
L’huile / 38 euros les 100ml
En vente sur Mon Corner Bio
et sur Inenuy (mondial relay pour la Belgique)

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